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Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

Le smic brut actuel est de 1393,82 euros

le smic net 1094,70

soit 299,12 de cotisations sociales part ouvrière (salaire différé : maladie, retraite, famille...)

Les cotisations sociales part entreprise sont calculées sur la base du smic brut : 1393,82

La proposition du FN

smic brut 1393,82

smic net 1294,70

cotisations sociales : 99,12 au lieu de 299,12

Les 200 euros de différence pour la sécurité sociale seraient financés par l'impôt sur le revenu...

un smicard avec une part est imposable...

Aucune conséquence pour les cotisations sociales part entreprise dans l'esprit de FN part patronale...

Aucune incidence sur les autres salaires et les grilles salariales (le FN préconise l'individualisation des salaires sans référence à des grilles salariales...)

La proposition du Front de Gauche

porter le smic brut de 1393,82 à 1700 euros en plusieurs étapes (sur 6 à 9 mois comme en 1968/1969)

soit de porter le smic net de 1094,70 à 1334,50 euros (environ)

et les cotisations sociales part ouvrière de 299,12 à 365,50 euros

l'ensemble des salaires et des grilles salariales seraient adaptés en conséquence sur la base de cette valeur du smic.

Les cotisations sociales part entreprise seraient calculés en fonction des augmentations et donc à terme sur la base des 1700 euros bruts du smic.

La proposition finale du Front de gauche est de porter le smic net à 1700 euros (valeur 2012) soit environ 2165 euros bruts (à la fin du quinquennat :2017).

Cherchez les différences, elles sont de taille...

Ok merci de la précision

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merci DOM pour les précisions le jour ou l’extrême droite travaillera pour le bonheur du prolétariat les poules auront des dents

quant aux propositions de la méluche " stupide ":

l'utopie c'est le moteur de la révolution, le réalisme le moteur de la régression (l'avis des grecs,portugais et espagnols serait intéressant sur le sujet)

le progrès social mais c'est la ruine mon bon messier ,en 36 les congé payé devait plonger cette pauvre France dans la ruine et le chaos !!!!!!

différence entre un économiste et un météorologue :y a n'a un qui te donne le temps de la veille et l'autre le temps du lendemain, et puis on s'en fou vu que les 2 ce plantent comme des buses

salut

ps:les premiers cas de mal-nutrition des gosses et arrivés des OMG en Gréce ! vive le réalisme!

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Les lignes continuent de bouger en Grèce

Réunion de la dernière chance dimanche en Grèce

http://fr.news.yahoo.com/réunion-la-dernière-chance-dimanche-en-grèce-131800600.html

ATHENES (Reuters) - Les chefs des trois principaux partis politiques grecs ont renoncé samedi à tenter de former un nouveau gouvernement d'union, laissant le soin au président Karolos Papoulias d'organiser une réunion de la dernière chance dimanche avant la tenue plus que probable de nouvelles élections législatives.

Le chef du Parti socialiste (Pasok), Evangelos Venizelos, a remis dans la matinée son mandat au chef de l'Etat après avoir échoué, comme les dirigeants des deux partis arrivés devant le sien le 6 mai dernier, à former un gouvernement de coalition.

Face à ce nouveau revers, le président a décidé de convoquer dimanche à 09h00 GMT Evangelos Venizelos, le conservateur de Nouvelle Démocratie Antonis Samaras et le leader de la Coalition de la gauche radicale (Syriza) Alexis Tsipras, tous trois sortis en tête des législatives.

Karolos Papoulias recevra ensuite individuellement les chefs de file des petits partis qui ont obtenu des sièges au Parlement, dont les ultranationalistes de l'Aube dorée, précise la présidence dans un communiqué.

En cas d'échec des consultations, ce qui est probable, de nouvelles élections législatives devraient être organisées à la mi-juin.

Illustrant les maigres chances de voir l'initiative du chef de l'Etat aboutir, la Coalition de la gauche radicale a d'ores et déjà prévenu qu'elle ne changerait pas de position et qu'elle ne participerait pas à un gouvernement de coalition favorable au plan de sauvetage imposé par les créanciers internationaux de la Grèce.

"Notre position ne change pas", a indiqué Panos Skourletis, porte-parole de Syriza. "Il est évident qu'il s'agit d'une tentative de former un gouvernement qui soutiendrait le plan de sauvetage. Nous ne participerons pas à ce type de gouvernement."

"GOUVERNEMENT OECUMÉNIQUE"

Lors de sa rencontre avec le chef de l'Etat, Venizelos a exhorté Karolos Papoulias à faire pression sur Tsipras afin de l'inciter à rejoindre un "gouvernement oecuménique".

"Je l'ai proposé à M. Tsipras, je n'ai pas reçu de réponse positive", a dit le leader socialiste dont les propos ont été retransmis à la télévision. "Je pense que vous devriez concentrer vos efforts sur ce point lors des consultations."

"Il y a des signes optimistes dans ce que vous me dites et j'espère que je pourrai contribuer à la formation du gouvernement, parce que la situation est plutôt compliquée", lui a répondu le chef de l'Etat.

Un sondage publié samedi confirme l'avance de la Coalition de la gauche radicale dans les intentions de vote en cas de nouvelles élections législatives.

Deuxième du scrutin dimanche dernier, avec 16,78% des voix, Syriza est confortée dans son intransigeance par les enquêtes d'opinion. Un premier sondage la hissait cette semaine à 27,7% des intentions de vote, un deuxième publié samedi confirme sa première place avec un score un peu moins élevé (25,5%).

Un tel résultat permettrait à la Gauche radicale d'empocher, en plus des sièges attribués à la proportionnelle, la "prime" de cinquante élus garantie au premier parti pour favoriser, en théorie, la formation d'un gouvernement stable.

Cela ne suffirait peut-être pas pour constituer un gouvernement rejetant l'austérité et les plans de sauvetage européens, mais cela écarterait encore un peu plus l'hypothèse d'une coalition permettant le maintien de la Grèce dans la zone euro.

Les deux piliers de la coalition sortante, les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) et les socialistes du Pasok, qui ont échoué à deux sièges de la majorité absolue dimanche (149 sur 300), voient aussi leurs intentions de vote augmenter (21,7% contre 20,3% pour ND et 14,6% contre 12,6% pour le Pasok) mais leur alliance se trouverait fragilisée par la perte de la prime de 50 élus.

Tangi Salaün et Marine Pennetier pour le service français

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va y avoir des faillites à la pelle.

ne pas oublier que la grande majorité des entreprise en France, ce sont des petites PME qui ont du mal à vivre, pas les multinationales du CAC qui surpaient leurs dirigeants.

Une proposition dans un programme , et la promulgation d'une loi est autre chose .

Il est prévu dans cette loi du programme du Front de gauche , que la loi donnerait du temps aux PME et TPE par rapport aux autres entreprises .

D'autre part , il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un programme avec une certaine cohérence , et que d'autres mesures viennent donner encore plus de sens et de possibilités à la mise en place de cette proposition de loi .

Quand au FHaine , on sait bien qu'il ne s'agit pas d'un parti qui fait du social .

Il utilise ce domaine dans ces programmes pour tromper les cerveaux débranchés .

Je rappelle que Lepen dénonce le système de la loi de 1973 , et disait ceci :

" s'il n'y avait pas cette loi , alors la France serait même excédentaire aujourd'hui " .

Donc , j'en déduis qu'il n'y a pas de problème avec les étrangers ?

Elle se grille toute seule , et tous ces citoyens qui ne voient rien.....

Modifié par dav1077
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mais je n'ai jamais dit le contraire

quant à ce qu'elle se "grille" toute seule, tu préconises l'arroseur arrosé ?

:jesuisdehors:

Modifié par cyclodocus
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mais je n'ai jamais dit le contraire

quant à ce qu'elle se "grille" toute seule, tu préconises l'arroseur arrosé ?

:jesuisdehors:

Non , l'arroseuse arrosée , qui n'a comme seule cohérence de prôner la haine , le fascisme .

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Non , l'arroseuse arrosée , qui n'a comme seule cohérence de prôner la haine , le fascisme .

OK Dav mais notre belle France est de "bonne" droite et elle choisi toujours les réactionnaires contre les révolutionnaires je suis marxiste et j'en suis fier car un très grand économiste américain Nouriel Roubini a dit au moins sur le constat Marx avait raison.

le capitalisme c'est une minorité qui se gave et la grande majorité qui se partage les miettes, deux solutions:

-on continu et on attends qu'il crève, mais combien de Gréce et bientot de Chine et d'USA avec leur cohorte de malheureux y aura t'il avant que ça change.

-ou basta on virent les affameurs et nous le prolétariat,peuple, ceux d'en bas, je me fou du nom c'est pas ça qui est important ,on prend le pouvoir est on décidera de comment on partage les richesses que nous travailleurs produisons.

salut A+

un peu de philosophie :"LES RICHES SONT ENCORE PLUS RICHES , LES PAUVRES ENCORE PLUS PAUVRES , JE VOIS PAS OU EST LA CRISE"

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,on prend le pouvoir est on décidera de comment on partage les richesses que nous travailleurs produisons.

Qui c'est, "on" ?

Quand on voit comment se traduisent localement, lors d'une simple AG de grève, les discours syndicaux de démocratie directe, on peut craindre la manière dont ça va se passer le matin du Grand Soir au niveau politique national.

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démocratie participative

quand la région RA a lancé ça

je me suis inscrit pour la rubrique "transport"

j'ai été convoqué pour les deux premières réunions en six mois environ

puis plus rien (depuis 3 ans !)

en rapport avec le fait que je n'allais pas systématiquement dans le sens du vent et pointais du doigt certaines aberrations ENORMES et en posant qq questions qui dérangent (notamment la présence/absence d'agents en gare) ?

ce serait anti démocratique,

c'est pas possible

pas avec un conseil régional qui clame haut et fort que la démocratie participative c'est l'avenir.......

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Pas qu'au FN...d'ailleurs... mon brave Monsieur... Ma brave Dame...

L'important c'est de se faire voir, d'être vu, qu'on parle de vous (mais pas de vos idées...)

Au Front national, la méthode «bien bien démago» pour les «clients-électeurs»

http://www.liberation.fr/politiques/06013326-fn-les-portugais-ca-vote-aussi

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Sarkozy va leur manquer…

http://www.liberation.fr/politiques/2012/05/10/sarkozy-va-leur-manquer_817833

Par PASCAL BRUCKNER Philosophe

Pour rassembler un peuple, disait Freud, il faut lui donner un objet d’exécration qui canalise sa rage. Nicolas Sarkozy a été pendant cinq ans l’ennemi intérieur de toute une partie de la France. L’animosité à son égard est allée d’emblée à la personne et à son physique et non au chef de la droite proprement dite. Est-ce sa morgue, son arrogance de classe, son mépris des faibles, son goût de la confrontation ?

Toujours est-il que les humoristes ont raillé ses talonnettes, sa taille, ses amours contrariées, sa démarche chaloupée. Dans un Hexagone confit dans l’antiracisme de convenance, les moqueries envers sa petitesse ont constitué la seule exception permise.

D’origine hongroise, un quart juif, Sarkozy avait toutes les caractéristiques du cosmopolite qu’on peut accabler parce qu’il n’est pas de chez nous. A son endroit, toutes les censures ont été levées, aucune discrimination n’avait d’importance. On l’a comparé aux pires personnages de l’histoire du XXe siècle, Pétain, Hitler, Franco, Mussolini et j’en passe. Mais en suscitant cette formidable acrimonie, il a sauvé aussi tout un pan de la presse et des médias. Sans lui, aucun des grands quotidiens et hebdomadaires de l’opposition n’auraient connu de tels tirages. Sur qui vont-ils s’acharner maintenant ?

Comment un magazine tel que Marianne va- t-il survivre, privé comme il est de sa tête de turc favorite ? Sarkozy a fait plus fort : il a participé à la résurrection des morts. C’est grâce à lui, par exemple, qu’un philosophe comme Alain Badiou, inconnu du grand public, a pu émerger dans la lumière médiatique à partir de son pamphlet, De quoi Sarkozy est-il le nom, en 2007. Qui dit mieux ? C’est vraiment le retour de la Momie et il est à craindre là aussi qu’elle ne retourne dans ses bandelettes une fois l’ex-président oublié. Sarkozy a carbonisé ses supporteurs mais il aura été, depuis 2007, une véritable rente de situation pour les médias, la littérature, la philosophie, la sociologie, le journalisme, la bande dessinée.

Son départ va s’apparenter pour tous ces secteurs en crise à un avis de banqueroute. En politique, la détestation est un ciment plus fort que l’amour. On tient à ses ennemis plus qu’à tout, ils sont la garantie or de votre existence. Combien vont se sentir orphelins en l’absence de leur croque-mitaine ? Ce président qu’on disait cliveur et diviseur a été en même temps un formidable facteur de cohésion. C’était par sa faute que tout allait mal en France, du chômage au dérèglement climatique. On l’a vomi avec une ferveur inégalée. Jamais François Hollande ne pourra rivaliser avec lui dans l’aversion. C’est pourquoi il tombe à point. Sous sa présidence, les Français vont comprendre qu’il n’est pas de sauveur ni de salaud suprême et qu’ils doivent seuls résoudre leurs problèmes, sans recours à un bouc émissaire. Il signe le retour au principe de réalité. Il devra rassembler non pas autour de la haine, mais d’un sursaut collectif. Si l’élection du candidat socialiste n’avait servi qu’à cela, elle serait déjà une œuvre de salubrité publique.

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Sur la situation en Grèce...

Grèce : vers de nouvelles élections législatives

http://www.humanite....s-gauche-496404

Alexis Tsipras, coup de jeune et coup de pied dans le monde politique grec

http://www.humanite....que-grec-496151

Grèce: Syriza, histoire de la coalition de gauche qui monte

http://www.humanite....-monte-496055?x

Syriza « Il faut une alliance de gauche, anti-austérité »

http://www.humanite....ite »-496150?x

Grèce : confusion à l'issue de la réunion destinée à former une coalition

http://www.liberation.fr/monde/2012/05/13/grece-un-accord-aurait-ete-conclu-entre-trois-partis-pour-un-gouvernement-interimaire_818383

Modifié par Dom Le Trappeur
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Qui c'est, "on" ?

Quand on voit comment se traduisent localement, lors d'une simple AG de grève, les discours syndicaux de démocratie directe, on peut craindre la manière dont ça va se passer le matin du Grand Soir au niveau politique national.

j'ai pas dit que c'est facile mais pour avoir travaillé dans une SCOP ça marche si chacun tiens sa place et reste conscient de ses capacités

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Pression des pro-libéraux-austérité Pasok et ND sur le Peuple Grec?

La Gauche radicale grecque rejette de nouvelles tractations

http://fr.news.yahoo.com/la-gauche-radicale-rejette-nouvelles-tractations-en-grèce-054207654--business.html

ATHENES (Reuters) - Le chef de file de la Gauche radicale grecque,Alexis Tsipras, a refusé de participer lundi à des tractations de ladernière chance pour former un gouvernement d'union nationale en Grèce, ouvrant la voie à l'organisation probable de nouvelles élections législatives en juin.

Après l'échec d'un premier round de négociations avec les dirigeants des sept partis ayant obtenu des représentants au parlement lors des législatives du 6 mai, le président grec Karolos Papoulias avait prévu de rencontrer à nouveau lundi soir (16h30 GMT) les dirigeants de quatre partis politiques.

Mais l'une des formations, la Coalition de la gauche radicale Syriza, deuxième du scrutin du 6 mai et favorite pour la première place au parlement en cas de nouvelles élections, a refusé. "Alexis Tsipras ne participera pas à la réunion de demain", a dit Nikos Pappas, responsable du parti.

En son absence, ce seront les chefs de file de Nouvelle Démocratie (droite), Antonis Samaras, du Pasok (socialiste) Evangelos Venizelos et du parti de la Gauche démocratique Fotis Kouvelis qui seront reçus normalement par le chef de l'Etat.

C'est au président de convoquer de nouvelles élections s'il constate l'absence de solution pour former un gouvernement. L'hypothèse d'un nouveau scrutin anticipé est évoquée par la presse depuis plusieurs jours, à la date du 17 juin.

Nouvelle Démocratie (ND), arrivée en tête des législatives, et le Pasok, troisième, ont signé le mémorandum fixant les conditions de l'aide de l'Union européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international, tandis que Syriza y est opposé.

"ROULETTE RUSSE"

La Gauche démocratique, qui a obtenu autour de 6% des voix et 19 des 300 élus du Parlement lors des élections législatives du 6 mai, se dit elle prête à participer à un gouvernement de coalition mais à condition que Syriza en soit.

"Un gouvernement qui ne garantit pas la participation du deuxième parti du pays n'aura pas le soutien populaire et parlementaire nécessaire", a dit son chef de file Fotis Kouvelis

sur Antenna TV, quelques heures avant la tenue des tractations de la dernière chance.

Le parti d'Alexis Tsipras est donné vainqueur d'un nouveau vote par tous les sondages avec un score en hausse de près de 10%, ce qui lui permettrait d'empocher en outre la "prime" de 50 élus promise au parti qui arrive en tête.

Syriza se dit favorable au maintien de la Grèce dans la zone euro tout en rejetant le mémorandum et l'austérité qui l'accompagne, ce qui est intenable selon les partenaires européens d'Athènes.

"Acropolis, Adieu! Pourquoi la Grèce doit quitter l'euro", clame cette semaine la "une" du très respecté magazine allemand Der Spiegel, rejoignant le choeur des personnalités économiques et politiques allemandes qui se demandent si la sortie de la Grèce de la zone euro n'est pas la meilleure solution.

La Constitution ne fixe pas de date limite au président Karolos Papoulias pour tenter d'arracher un accord.

Lui-même n'a donné aucune indication sur le temps qu'il prendra avant de demander de nouvelles élections, qui pourraient parachever le naufrage des conservateurs de Nouvelle Démocratie et des socialistes du Pasok.

Les deux partis qui ont dominé la vie politique grecque depuis des décennies tablent quant à eux sur un sursaut des électeurs en leur faveur en cas de nouvelles élections, dans le but de sauver la place d'Athènes au sein de la zone euro.

Selon un sondage publié par le quotidien To Vima, 78% des Grecs souhaitent que leur gouvernement fasse tout pour conserver la monnaie unique.

Le journal de centre gauche Ethnos a estimé qu'avec son économie au bord du gouffre, la Grèce joue aujourd'hui à la "roulette russe".

Lefteris Papadimas, Pierre Sérisier et Marine Pennetier pour le service français

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Invité necroshine

Sur le Web, "passation de pouvoirs" entre antisarkozysme et antihollandisme

Pas d'état de grâce pour François Hollande : sur Internet, "l'antihollandisme" démarre de manière fulgurante. Le terme n'est pas encore popularisé, mais il a une réalité tangible, en tous cas sur le Web. Depuis le 6 mai à 20 heures, une partie du Web politique français est entré en "résistance", pour reprendre un terme souvent employé.

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/05/15/sur-le-web-l-antihollandisme-succede-a-l-antisarkozysme_1701058_1471069.html#xtor=RSS-3208

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Invité necroshine

Affaire Karachi :

Thierry Gaubert, ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy, a annoncé, mardi 15 mai, avoir été mis en examen pour blanchiment aggravé dans le cadre du volet financier de l'affaire Karachi, une décision qu'il a qualifiée d'"absurde".

"Après m'avoir mis en examen pour recel d'abus de biens sociaux, pour des sommes prétendument de M. Takieddine, le juge Van Ruymbeke vient de me mettre en examen pour blanchiment pour des sommes que j'aurais soi-disant dépensées", a-t-il déclaré à la sortie du bureau du juge.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/05/15/affaire-karachi-thierry-gaubert-annonce-sa-mise-en-examen-pour-blanchiment-aggrave_1701399_3224.html#xtor=RSS-3208

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Invité necroshine

DSK porte plainte contre Nafissatou Diallo pour "fausses accusations"

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/05/15/dsk-porte-plainte-contre-nafissatou-diallo-pour-fausses-accusations_1701604_3224.html#ens_id=1700645&xtor=RSS-3208

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A Dieu et à Diable...

Retour à la case élections pour la Grèce

http://fr.news.yahoo.com/echec-des-discussions-en-grèce-nouvelles-élections-législatives-133350006.html

ATHENES (Reuters) - Les tractations entamées en Grèce après les législatives du 6 mai en vue de la formation d'un gouvernement ont échoué mardi et un nouveau scrutin qui pourrait accélérer une hypothétique sortie de l'union monétaire devrait avoir lieu en juin.

Un gouvernement chargé des affaires courantes sera nommé mercredi, a annoncé un porte-parole de la présidence, où les chefs de file des partis représentés au Parlement avaient été conviés pour une réunion de la dernière chance.

"Nous nous dirigeons vers des élections", a-t-il dit sans évoquer de date. Les exigences du code électoral laissent toutefois supposer que le scrutin aura lieu à la mi-juin.

"Pour l'amour de Dieu, allons vers un mieux plutôt que vers le pire !", a déclaré Evangelos Venizelos, chef de file du Parti socialiste (Pasok), s'adressant à la presse à sa sortie du palais présidentiel. "Notre Mère patrie peut s'en sortir. Nous nous battrons pour qu'elle s'en sorte", a-t-il ajouté.

Depuis les élections législatives du 6 mai, marquées par l'affaiblissement spectaculaire des grands partis et une fragmentation du paysage politique, tous les efforts déployés pour former un gouvernement de coalition ont buté sur les positions incompatibles des partisans et des adversaires de l'austérité.

Arrivée en deuxième position, la Coalition de la gauche radicale (Syriza), formation hostile aux coupes budgétaires exigées par les créanciers internationaux, fait désormais figure de favorite pour le prochain scrutin. La première place est assortie d'une prime de 50 sièges à la Vouli, qui en compte 300.

"QU'ILS AILLENT AU DIABLE"

Le non respect des engagements pris par Athènes en échange de l'aide internationale entraînerait l'arrêt de son versement, a averti Bruxelles. Un tel scénario entraînerait à coup sûr la faillite et le retour à la drachme, disent les observateurs.

"Il y a maintenant un risque considérable de voir la Grèce manquer tout simplement d'argent le mois prochain, ne plus pouvoir verser les salaires, faire fonctionner les transports publics, entretenir les infrastructures, et que le pays sombre dans le chaos total", a commenté Jonathan Loynes, responsable de l'Europe chez Capital Economics, selon lequel Athènes pourrait quitter la zone euro avant la fin de l'année.

Le président de l'Eurogroupe s'est indigné lundi soir de ces rumeurs, estimant que l'hypothèse relevait de la "propagande" et du "non-sens". Au terme d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker s'est dit fermement opposé à cette idée, tout en rappelant Athènes à ses engagements.

Les marchés financiers, qui craignent la contagion à des économies plus importantes telles que l'Espagne ou l'Italie, ont toutefois accusé le coup mardi.

Alexis Tsipras, chef de file de Syriza, conteste les plans d'austérité mais se dit attaché à la monnaie unique, tout comme une énorme majorité de ses concitoyens. Près de 80% d'entre eux souhaitent que le gouvernement fasse le nécessaire pour le maintien de la monnaie unique, selon un sondage récent.

D'abord ravis du revers infligé aux "partis de gouvernement" jugés responsables de la crise, les Grecs craignent désormais de ne plus pouvoir sortir de l'impasse.

"Qu'ils aillent au diable ! Dieu seul sait ce qui nous attend maintenant. J'ai très peur de l'avenir. Je ne pense pas que les élections résoudront quoi que ce soit, parce que, dans un mois, on sera dans la même situation", dit Giouli Thomopoulou, une chômeuse de 59 ans.

Jean-Philippe Lefief pour le service français, édité par Gilles Trequesser

Modifié par Dom Le Trappeur
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Sur le Web, "passation de pouvoirs" entre antisarkozysme et antihollandisme

Pas d'état de grâce pour François Hollande : sur Internet, "l'antihollandisme" démarre de manière fulgurante. Le terme n'est pas encore popularisé, mais il a une réalité tangible, en tous cas sur le Web. Depuis le 6 mai à 20 heures, une partie du Web politique français est entré en "résistance", pour reprendre un terme souvent employé.

http://www.lemonde.f...l#xtor=RSS-3208

Bah ils préparent peut être déjà les prochaines élections...en juin...

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ça commence bien...

Frappé par la Foudre, l'avion de François Hollande fait demi-tour...

Pour un peu on était reparti pour de nouvelles élections... :Smiley_06:

Modifié par Dom Le Trappeur
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Mélenchon : «Monsieur le Premier ministre, cher camarade...»

http://www.liberation.fr/politiques/2012/05/15/melenchon-monsieur-le-premier-ministre-cher-camarade_818888

Dans une lettre ouverte à Jean-Marc Ayrault, le leader du Front de Gauche appelle le nouveau chef du gouvernement à «stopper l'hémorragie industrielle.» Et assure: «Composante décisive de la victoire, les nôtres veulent recueillir les fruits du changement.»

Hénin-Beaumont, le 15 mai 2012

Monsieur le Premier ministre, cher camarade,

L'élection de François Hollande et votre nomination ouvrent une possibilité pour qu’enfin les exigences de notre peuple soient entendues. Composante décisive de la victoire, les nôtres veulent recueillir les fruits du changement.

Je sais que tout ne se fait pas en un jour. Pour l’immédiat, cependant, je veux attirer votre attention sur la situation intolérable d’une vingtaine d’entreprises emblématiques et de leurs salariés.

Certaines décisions peuvent immédiatement être prises par simple décret ou par l’action du gouvernement pour résoudre ces situations d’urgence. Notamment pour faire appliquer les décisions de justice rendues en faveur des salariés. Agissez pour faire appliquer les jugements qui ont donné raison aux ouvrières de Sodimédical et ordonné le versement de leurs salaires non payés depuis sept mois.

D’autres propositions nécessitent des modifications législatives. Je forme le vœu qu’elles soient soutenues dès cet été par le gouvernement lors de leur présentation à l’Assemblée nationale par les députés du Front de Gauche.

Par la loi, il est possible dès à présent de stopper l’hémorragie industrielle grâce à :

-L’interdiction des licenciements boursiers et suppressions d’emplois dans les entreprises bénéficiaires. Cette mesure de bon sens économique vise à empêcher des saccages comme ceux de Continental ou Samsonite. Elle empêcherait les actionnaires de préparer de nouvelles suppressions d’emplois dans des groupes bénéficiaires, de l’automobile (PSA, Renault etc), à la chimie (Sanofi-Aventis) en passant par les banques.

-La création d’un droit de véto des élus du personnel en cas de fermeture ou délocalisation et l’obligation d’examiner les propositions des salariés. Ces droits nouveaux des travailleurs permettraient par exemple aux salariés de l’automobile de Sevelnord ou de PSA Aulnay de faire entendre leur point de vue à des actionnaires jusqu’ici tout puissants.

-Un droit de préemption de l’activité par les salariés réunis en coopérative, avec un soutien juridique et financier public, comme le réclame depuis plus de 600 jours les salariés de l’usine Univelever-Fralib. Un tel droit aurait aussi permis d’envisager sous une perspective autrement plus positive la reprise de l’activité de SeaFrance.

-L’adoption de sanctions pour punir les atteintes «aux éléments essentiels du potentiel économique de la Nation» prévues à l’article 410-1 du code pénal. Parmi ces sanctions devrait figurer la réquisition des sites industriels d’intérêt général en danger. C’est le cas d’ArcelorMittal à Florange, où l’arrêt des hauts fourneaux menace la souveraineté industrielle de la France en matière d’acier. Un tel droit de réquisition empêcherait également le dépeçage d’Arkéma, leader français du PVC. Il permettrait également de dissuader des entreprises comme Alstom de se séparer d’activités hautement qualifiées comme la fabrication des ailettes de turbines.

-L’instauration de visas sociaux et écologiques aux frontières pour empêcher le dumping social ou environnemental. Ces protections passent aussi par des mesures d’harmonisation sociale par le haut dans les entreprises de transports, en particulier maritime où des milliers d’emplois sont menacés comme à la SNCM et à la CMN.

-La mise en place de «plans écologiques de filières industrielles»pour mettre en relation les entreprises entre elles autour d’un projet ambitieux comme, par exemple, entre la papeterie M’Réal dans l’Eure et la raffinerie Petroplus en Seine-Maritime.

-La protection des sous-traitants par la responsabilisation des entreprises donneurs d’ordre, permettrait de pérenniser de nombreuses productions de haut niveau comme celle de PreventGlass, des Fonderies du Poitou ou encore de Faurécia.

Enfin, monsieur le Premier ministre, je vous demande solennellement d’intervenir pour faire cesser les poursuites engagées par le précédent gouvernement contre de nombreux syndicalistes comme Xavier Mathieu ou les agents «robins des bois» d’EDF et de GDF.

Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Premier ministre, cher camarade, l’expression de ma très haute considération.

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JL Mélanchon dimanche (13 Mai) sur France 5 :

Pouvoir "enfin" expliquer les propositions du programme du front de gauche devrait faire avancer le schmilblick .

Peut-être dès les législatives .

http://www.pluzz.fr/c-politique.html

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En attendant que Hollande s'occupe de la Finance

les banquiers mettent la pression...

J'aurais pas voulu être à la place du jeune homme...

Brest. Comptes bancaires : victime d'une erreur à 43 millions d'euros !

15 mai 2012

http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-comptes-bancaires-victime-d-une-erreur-a-43-millions-d-euros-15-05-2012-1704019.php

Au surlendemain de sa mésaventure, ce jeune Brestois paraît toujours sonné. "Quand j’ai vu le montant des sommes débitées, je me suis senti très mal. J’étais tellement stressé que ma copine a dû prendre le volant pour rentrer chez moi", témoigne Kevin, 20 ans.

Lundi soir, peu après 21 h, le jeune homme circule dans le quartier des facs sur le plateau du Bouguen. Il repère un distributeur bancaire, à l’enseigne de sa banque, le Crédit Mutuel de Bretagne, et décide de vérifier l’historique de ses comptes. Et là, le choc ! A la lecture du bordereau récapitulatif, Kevin constate avec effroi que deux de ses trois comptes présentent un débit pour le moins inhabituel. L’un présente un découvert de 21,474 millions d’euros, un deuxième de 21,470 millions; soit un total de près de 43 millions. Une fois ses esprits retrouvés, le jeune homme décide d’aller conter sa mésaventure au commissariat. "Ils m’ont invité à prendre contact avec mon conseiller bancaire, ce que j’ai fait dès le lendemain".

Après une nuit que l’on imagine bien volontiers emplie de stress et de questionnements, le jeune client a obtenu les explications attendues. "C’est une erreur informatique. Ne tenez pas compte de ce ticket", a souligné le banquier.

Kevin est aujourd’hui rassuré. Mais il entend désormais éplucher ses prochains relevés de compte pour vérifier si, le cas échéant, des agios ne lui ont pas été facturés par la faute d’un ordinateur farceur.

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a ces ordinateurs! par contre il va recevoir la lettre 15 euros, a suivre.

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Invité
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