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Un article daté du 10 novembre rédigé par l'anticonformiste Sapir, signe que certains médias commencent à changer leur fusil d'épaule.
C'est mieux que rien, même si le figaro ne prend pas un grand risque maintenant que l'élection est faite. Même le "grand économiste" lechypre sur BFMTV a félicité wall street pour les records après l'élection, lui qui prédisait un effondrement total...

(J'aurais du mettre une limite au 8 novembre, parce qu'on risque d'en voir fleurir d'ici la fin de l'année, maintenant que c'est fait).

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il y a 17 minutes, cc27001 a déclaré:

Un article daté du 10 novembre rédigé par l'anticonformiste Sapir, signe que certains médias commencent à changer leur fusil d'épaule.
C'est mieux que rien, même si le figaro ne prend pas un grand risque maintenant que l'élection est faite. Même le "grand économiste" lechypre sur BFMTV a félicité wall street pour les records après l'élection, lui qui prédisait un effondrement total...

(J'aurais du mettre une limite au 8 novembre, parce qu'on risque d'en voir fleurir d'ici la fin de l'année, maintenant que c'est fait).

des guignols qui ont du mal a nous donner la météo de d'hier et qui vont nous donner le temps de demain!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Il y a 3 heures , cc27001 a déclaré:

Un article daté du 10 novembre rédigé par l'anticonformiste Sapir, signe que certains médias commencent à changer leur fusil d'épaule.
C'est mieux que rien, même si le figaro ne prend pas un grand risque maintenant que l'élection est faite. Même le "grand économiste" lechypre sur BFMTV a félicité wall street pour les records après l'élection, lui qui prédisait un effondrement total...

(J'aurais du mettre une limite au 8 novembre, parce qu'on risque d'en voir fleurir d'ici la fin de l'année, maintenant que c'est fait).

En même temps depuis que les journaux et médias dits réellement d'opinions ont disparus, il est facile aux médias d'aujourd'hui de faire le grand écart en fonction de la conjoncture.

Hier contre aujourd'hui interrogateurs et dés demain matin pour.....

Dans le milieu naturel les caméléons sont le parfait exemple d'adaptation à la couleur ambiante .... ;)

 

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Publication: (modifié)
Il y a 17 heures , cc27001 a déclaré:

 

(J'aurais du mettre une limite au 8 novembre, parce qu'on risque d'en voir fleurir d'ici la fin de l'année, maintenant que c'est fait).

Nouveau défi : avec au moins un article trouvé avant le 8 novembre (le 3 novembre) :-)

http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/11/03/31002-20161103ARTFIG00158-clinton-ou-trump-un-president-mal-aime-bientot-a-la-maison-blanche.php-)

Le titre renvoie dos à dos. Dans l'article, chacun en prend pour ses faiblesses.

Sur le résultat : "Aujourd'hui, la campagne prend fin sur une course on ne peut plus serrée dans les sondages".

J'en mets un deuxième, pour montrer qu'il y a eu au moins un article avec une approche "factuelle", sans aucun commentaire

http://www.lefigaro.fr/elections-americaines/2016/11/06/01040-20161106ARTFIG00014-presidentielle-americaine-le-duel-des-programmes-de-clionton-et-trump.php

 

Modifié par PN407
Publication:
Il y a 1 heure , PN407 a déclaré:

Nouveau défi : avec au moins un article trouvé avant le 8 novembre (le 3 novembre) :-)

http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/11/03/31002-20161103ARTFIG00158-clinton-ou-trump-un-president-mal-aime-bientot-a-la-maison-blanche.php-)

Le titre renvoie dos à dos. Dans l'article, chacun en prend pour ses faiblesses.

Sur le résultat : "Aujourd'hui, la campagne prend fin sur une course on ne peut plus serrée dans les sondages".

J'en mets un deuxième, pour montrer qu'il y a eu au moins un article avec une approche "factuelle", sans aucun commentaire

http://www.lefigaro.fr/elections-americaines/2016/11/06/01040-20161106ARTFIG00014-presidentielle-americaine-le-duel-des-programmes-de-clionton-et-trump.php

 

Pour le premier article, je ne suis pas d'accord, il est nettement à charge contre Trump, avec les mêmes poncifs qui formatent les esprits faibles:

" d'un côté, l'une des figures politiques les plus expérimentées, les mieux entourées et aux tactiques les plus soigneusement élaborées ; et d'un autre, un outsider au franc parlé effarant et aux discours entièrement improvisés, parvenu à s'aliéner une bonne partie du clan républicain."

" plus de 50 pourcent des Américains n'ont presque jamais cessé d'avoir une mauvaise opinion d'Hillary Clinton. Les chiffres réalisés par Donald Trump sont pires encore."

" En accusant à de nombreuses reprises le scrutin d'être «truqué», il a discrédité l'ensemble du système électoral américain."

Et pour le 2e, se voulant factuel sur la comparaison des programmes, on remarque nettement la différence de rédaction qui fait passer subtilement le message que le programme Trump est irréaliste, fasciste, raciste, anti-écolo, mais qui relativise le risque de guerre avec la Russie que les américains ont bien ressenti dans les discours de Clinton.

Donc pour moi, ce n'est pas neutre.

Publication:

Bref de toutes façons on s'en fout  désormais toutça est derrrière.

l'homme est élu et tout le monde va devoir composer avec lui....peu ou prou.

Rapellons tout de m^me que l'home qui qu'il soit n'est aps à la tête d'une petite principauté de second ordre.

donc va faloir faire avec....le restant c'est désormais du Blabla stérile .

la suite est devant pas derrière . :)

 

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Publication:
il y a 27 minutes, capelanbrest a déclaré:

Bref de toutes façons on s'en fout  désormais toutça est derrrière.

l'homme est élu et tout le monde va devoir composer avec lui....peu ou prou.

Rapellons tout de m^me que l'home qui qu'il soit n'est aps à la tête d'une petite principauté de second ordre.

donc va faloir faire avec....le restant c'est désormais du Blabla stérile .

la suite est devant pas derrière . :)

 

 c'est là le probleme la suite qui commence même a être "les suites"

Publication:
il y a 32 minutes, capelanbrest a déclaré:

la suite est devant pas derrière . :)

La suite pour nous français, ce sont des médias toujours aveugles qui diffusent la pensée unique dans les haut-parleurs. Et une grosse surprise ensuite parce que "c'était inattendu, imprévisible".

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Publication:
il y a 9 minutes, capelanbrest a déclaré:

Bref de toutes façons on s'en fout  désormais toutça est derrrière.

l'homme est élu et tout le monde va devoir composer avec lui....peu ou prou.

Rapellons tout de m^me que l'home qui qu'il soit n'est aps à la tête d'une petite principauté de second ordre.

donc va faloir faire avec....le restant c'est désormais du Blabla stérile .

la suite est devant pas derrière . :)

 

La suite est évidemment devant :-)

S'il est vrai que "l'homme est élu et tout le monde va devoir composer avec lui....peu ou prou", je pense que la réciproque est vraie : Il va lui falloir composer avec beaucoup de monde et de choses :

---l'état du "monde réel", interne et externe aux USA, extrêmement complexe et mouvant : dans son cas, ya à faire, et çà a apparemment commencé

---les garants et partenaires des engagements internationaux ratifiés en vigueur, les gouvernements étrangers et les organisations diverses dans les endroits sans Etat ;

---les parlementaires de son bord : il n'y a pas de primauté de l'exécutif aux USA, la constitution a été montée pour çà, on ne fait pas n'importe quoi avec des parlementaires qui occupent leur siège et les commissions depuis un paquet d'années pour certains ; ok il a fait gagner le parti en sénateurs et représentants, mais il est du monde de l'entreprise, il n'est pas "du sérail", d'où l'importance de son vice-président, par ailleurs automatiquement Président du Sénat, et de quelques autres dont on commence à donner les noms.

---les Etats composant les USA : c'est un pays fédéral, on n'en a pas idée en France (Allemagne et Suisse voient mieux les limites du pouvoir national), et même au-dessous il y a plein de choses décentralisées.

Pour moi, la campagne électorale est à la tenue d'un poste politique ce que l'entretien d'embauche est à la tenue d'un poste en entreprise : deux sports différents, et une chose qui ne se teste pas avant tenue du poste est la capacité de faire face à l'imprévu, juste parce que tu es en charge à ce moment précis, même si c'était pas au programme.

 

.

 

Publication:
il y a 27 minutes, cc27001 a déclaré:

La suite pour nous français, ce sont des médias toujours aveugles qui diffusent la pensée unique dans les haut-parleurs. Et une grosse surprise ensuite parce que "c'était inattendu, imprévisible".

Tu es en train de dire que les français sont assez c... Et que des électeurs ne sont pas capables de se faire une idée autre que celle des médias

Publication:
il y a 16 minutes, PN407 a déclaré:

La suite est évidemment devant :-)

S'il est vrai que "l'homme est élu et tout le monde va devoir composer avec lui....peu ou prou", je pense que la réciproque est vraie : Il va lui falloir composer avec beaucoup de monde et de choses :

---l'état du "monde réel", interne et externe aux USA, extrêmement complexe et mouvant : dans son cas, ya à faire, et çà a apparemment commencé

---les garants et partenaires des engagements internationaux ratifiés en vigueur, les gouvernements étrangers et les organisations diverses dans les endroits sans Etat ;

---les parlementaires de son bord : il n'y a pas de primauté de l'exécutif aux USA, la constitution a été montée pour çà, on ne fait pas n'importe quoi avec des parlementaires qui occupent leur siège et les commissions depuis un paquet d'années pour certains ; ok il a fait gagner le parti en sénateurs et représentants, mais il est du monde de l'entreprise, il n'est pas "du sérail", d'où l'importance de son vice-président, par ailleurs automatiquement Président du Sénat, et de quelques autres dont on commence à donner les noms.

---les Etats composant les USA : c'est un pays fédéral, on n'en a pas idée en France (Allemagne et Suisse voient mieux les limites du pouvoir national), et même au-dessous il y a plein de choses décentralisées.

Pour moi, la campagne électorale est à la tenue d'un poste politique ce que l'entretien d'embauche est à la tenue d'un poste en entreprise : deux sports différents, et une chose qui ne se teste pas avant tenue du poste est la capacité de faire face à l'imprévu, juste parce que tu es en charge à ce moment précis, même si c'était pas au programme.

 

.

 

Bien vu et ça calque avec ce que je pense....

Je ne me fais aucun soucis pour les États Unis comme je ne me fais aucun soucis pour l’Angleterre suite au Brexit....ces nations savent s'adapter et rebondir.

Elles ne restent pas pleurer sur leur propre sort en se lamentant et en s'auto flagellant comme nous, nous savons si bien le faire.

En général elles savent se servir de l'échec/inattendu/l'imprévu pour mieux rebondir.

Jusqu'ici l'histoire leur a donné raison. :)

Après comme je l'ai dit Trump ou Clinton, passés les effets de manche et de posture je ne suis pas certains que ce  sera un bouleversement pour la middleclass et

encore moins pour les plus démunis... ;)

 

il y a 7 minutes, jackv a déclaré:

Tu es en train de dire que les français sont assez c... Et que des électeurs ne sont pas capables de se faire une idée autre que celle des médias

à défaut d'avoir cette pensée, nos institutions sont tout de même bâties depuis la 5ème république pour que le choix soit restreint et pour que le système laisse au final assez peu le choix.

C'est le principe même d'une élection à deux tours sans la moindre once de proportionnelle et sans prise en compte du vote blanc.

Reste une seule solution pour ceux qui ne sont pas satisfaits de ce choix étroit  : l'abstention et on voit où ça nous mène dés lors que celle ci devient importante... ;)

 

 

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Invité Le briquetier
Publication:
Il y a 1 heure , cc27001 a déclaré:

La suite pour nous français, ce sont des médias toujours aveugles qui diffusent la pensée unique dans les haut-parleurs. Et une grosse surprise ensuite parce que "c'était inattendu, imprévisible".

Au pire, un peu de foot ou de loft machin pour ramener les éventuels moutons égarés dans le troupeau...

Publication:
Il y a 3 heures , capelanbrest a déclaré:

B

 

à défaut d'avoir cette pensée, nos institutions sont tout de même bâties depuis la 5ème république pour que le choix soit restreint et pour que le système laisse au final assez peu le choix.

C'est le principe même d'une élection à deux tours sans la moindre once de proportionnelle et sans prise en compte du vote blanc.

Reste une seule solution pour ceux qui ne sont pas satisfaits de ce choix étroit  : l'abstention et on voit où ça nous mène dés lors que celle ci devient importante... ;)

 

 

les institutions des USA datent de bien avant et ils ne cherchent pas a modifier leur constitution tous les 5 ans....

 en France la pris en compte  vote blanc avec un quorum  minimum oui se serait une avancée...mais la proportionnel si on pouvait eviter , j'ai connus dans ma jeunesse le merdier de la 4emme avec la proportionnel ce n'est pas a renouveler c'est ingouvernable et cela ouvre la porte a tous les compromis bancals les magouilles ou pire pour avoir le pouvoir..franchement l’alternance et la cohabitation c'est plus sain que la proportionnelle..la proportionnelle est une idée des petits partis pour des dirigeants qui veulent se faire une place au chaud

Publication:
Il y a 8 heures , jackv a déclaré:

les institutions des USA datent de bien avant et ils ne cherchent pas a modifier leur constitution tous les 5 ans....

 en France la pris en compte  vote blanc avec un quorum  minimum oui se serait une avancée...mais la proportionnel si on pouvait eviter , j'ai connus dans ma jeunesse le merdier de la 4emme avec la proportionnel ce n'est pas a renouveler c'est ingouvernable et cela ouvre la porte a tous les compromis bancals les magouilles ou pire pour avoir le pouvoir..franchement l’alternance et la cohabitation c'est plus sain que la proportionnelle..la proportionnelle est une idée des petits partis pour des dirigeants qui veulent se faire une place au chaud

je ne suis pas tout à fait d'accord avec la fin de ton post même si l'ensemble se tient.

Effectivement alternance et cohabitation peuvent concourir à assainir certaines situations pour autant nos institutions ne sont pas faites dans ce but.

il reste la voie de de la coalition qui parfois pourrait rendre bien des service au pays mais culturellement là encore c'est impossible et pourtant ....y a des fois ce serait bien nécessaire.

Bref on ne va réécrire le mode de fonctionnement de nos instituions contentons nous déjà à notre humble niveau de citoyen, de les faire fonctionner et ce sera un grand pas en avant.

 

Allez patience!

encore un bon mois avant la trêve des confiseurs, plus de pont ou de week end à rallonge...alors qu'est ce qui va bien pouvoir sortir sur le devant de la scène pour occuper le terrain médiatique....???

Publication: (modifié)

déjà qu'il devra renoncer à ses tweets perso (l'épisode Clinton a dû le faire réfléchir), loger dans une vieille et étroite masure (son commentaire : "c'est une demeure historique"), et abandonner son avion personnel, et ses boucles de ceinture de sécurité en or, pour le frugal Air Force One et ses menus au standard "haute personnalité politique" tel que prévu dans le règlement : bon, il ne déjeune pas, donc..., et Melania lui apportera peut-être en douce du Secret Service de bons petits plats slovènes :-)

Pour ceux qui veulent comparer, je mets les titres des clips sur Youtube (pas les liens, çà les fait s'incruster ici, çà serait un comble !!!)

Mr Trump's 757

Air Force One, l'avion presidentiel americain

Mais que ne ferait-il pas pour honorer son tweet de victoire : "l'homme et la femme oubliés ne le seront plus jamais" ("what a beautiful and important evening! The forgotten man and woman will never be forgotten again." )

D'évidence, son compte tweeter realdonaldtrump est bien différent de celui de politiciens professionnels

et les "pourquoi voter Trump" des cireurs de pompes, on peut en rire, mais...çà a fonctionné, et le Parti Républicain "établi" n'a pu dompter le taureau tout au long du rodéo. Chez nous, c'est pas tout le monde qui pouvait tenir tête à Nanard à la télé ou à une tribune !

Modifié par PN407
Publication:

Nicolas Sarkozy, agacé par des journalistes : "C'est des sauvages, passez-leur dessus !

Nicolas Sarkozy ne perd jamais une occasion de s'en prendre aux journalistes. Le candidat à la primaire à droite l'a une nouvelle fois prouvé fin octobre, lors d'un déplacement à Marseille, comme le montre cette séquence du documentaire Opération Elysée, de Franz-Olivier Giesbert, diffusé lundi 14 novembre à 21h55 sur France 3.

http://www.francetvinfo.fr/politique/les-republicains/primaire-de-la-droite/video-nicolas-sarkozy-agace-par-des-journalistes-c-est-des-sauvages-passez-leur-dessus_1920059.html

Publication:

« Si les Américains l’ont fait, alors nous aussi, on peut »

Sur les terres agricoles et industrielles de l’Aisne en crise, les scores du Front national progressent aussi vite que le taux de chômage, qui frôle les 14 %.......ils sont nombreux dans ce département  à espérer que le scrutin américain libère le vote frontiste : « Si les Américains l’ont fait, alors, nous aussi, on peut ! », lance cet ancien conducteur de train de 58 ans, qui jubile six jours après l’élection de Donald Trump. ......Pourtant, comme 75 % des Français,( selon un sondage IFOP pour Dimanche Ouest-France ) ont une mauvaise opinion du candidat américain..

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2016/11/15/si-les-americains-l-ont-fait-alors-nous-aussi-on-peut_5031472_4854003.html

Lorsque Marine Le Pen s’est empressée de le féliciter Trump  cela a poussé certains à s’interroger sur leur responsabilité de citoyens. Ils se sont alors posé la question : « Faut-il aller aussi loin que les Américains pour exprimer notre colère et notre frustration ?  et en plus lorsque l'on voit le détricotage de ses promesses non tenables (comme celles du F haine) ceux qui veulent voter Fhaine en croyant au père noël vont être déçu ou cela va finir mal..et malheureusement plus rapidement pour ceux en bas de l'echelle que pour les autres

Publication: (modifié)

la gauche n'a pas de mémoire?

les enseignements des trois derniers scrutins présidentiels, semblent pourtant relever du b.a.-ba.Trois règles élémentaires.

  Règle numéro  1 en 2002 : la division, c'est la mort. Cette année-là, la gauche disposait avec Lionel Jospin d'un candidat incontestable, vainqueur des législatives de 1997, premier ministre pendant cinq ans, fort d'un bilan tout à fait honorable (35h etc..), opposé un président sortant, Jacques Chirac, miné par les " affaires ".

La dispersion des voix de gauche sur sept autres candidats – trois trotskistes, un communiste, un écologiste, une radicale de gauche et Jean-Pierre Chevènement – lui fut fatale. Ce ne fut pas la seule, mais la plus rédhibitoire, des causes de son échec le 21  avril.

 Règle numéro  2, cinq ans plus tard : le soutien de l'opinion est nécessaire mais non suffisant. Portée tout au long de l'année 2006,  Ségolène Royal écarta tout sur son passage : les caciques chevronnés Fabius et Strauss-Kahn, balayés lors de la primaire interne,la direction du Parti socialiste, prise de court par la tornade. Mais, quand la campagne de 2007 fut venue, la candidate se trouva fort dépourvue, non pas d'audace et d'énergie, mais d'un projet suffisamment partagé par son camp et du relais indispensable que constitue un parti mobilisé. Trop décalée, trop isolée, elle échoua.

De ces deux échecs, les socialistes ont déduit, en  2011-2012,

la règle numéro  3 : la victoire passe, nécessairement, par une dynamique unitaire. La primaire élargie à tous les électeurs de gauche en a été le levier efficace. Elle a ouvert un débat public qui a intéressé bien au-delà des seuls socialistes ; elle a limité la dispersion des candidatures, limitée à deux trotskistes, une écologiste et un Front de gauche en plus du socialiste ; enfin, elle a rassemblé le PS et convaincu l'opinion que le candidat désigné pouvait s'imposer contre Nicolas Sarkozy.

Les gauches semblent bien parties pour oublier ces trois commandements élémentaires. Au train où vont leschoses on pourrait égaler le record de candidatures de 2002. Dès à présent, quatre postulants sont entrés en lice en plus du candidat socialiste qui sera désigné a la primaire sans oublier,E.Macron va, à son tour, se mettre sur les rangs et peut être aussi le PCF et C.Taubira.. Quel que soit le vainqueur, de la primaire de la droite, il n'a guère de souci à se faire ." Les gauches" lui auront dégagé le terrain.

Modifié par jackv
Publication: (modifié)
Il y a 2 heures , jackv a déclaré:

la gauche n'a pas de mémoire?

les enseignements des trois derniers scrutins présidentiels, semblent pourtant relever du b.a.-ba.Trois règles élémentaires.

  Règle numéro  1 en 2002 : la division, c'est la mort. Cette année-là, la gauche disposait avec Lionel Jospin d'un candidat incontestable, vainqueur des législatives de 1997, premier ministre pendant cinq ans, fort d'un bilan tout à fait honorable (35h etc..), opposé un président sortant, Jacques Chirac, miné par les " affaires ".

La dispersion des voix de gauche sur sept autres candidats – trois trotskistes, un communiste, un écologiste, une radicale de gauche et Jean-Pierre Chevènement – lui fut fatale. Ce ne fut pas la seule, mais la plus rédhibitoire, des causes de son échec le 21  avril.

 Règle numéro  2, cinq ans plus tard : le soutien de l'opinion est nécessaire mais non suffisant. Portée tout au long de l'année 2006,  Ségolène Royal écarta tout sur son passage : les caciques chevronnés Fabius et Strauss-Kahn, balayés lors de la primaire interne,la direction du Parti socialiste, prise de court par la tornade. Mais, quand la campagne de 2007 fut venue, la candidate se trouva fort dépourvue, non pas d'audace et d'énergie, mais d'un projet suffisamment partagé par son camp et du relais indispensable que constitue un parti mobilisé. Trop décalée, trop isolée, elle échoua.

De ces deux échecs, les socialistes ont déduit, en  2011-2012,

la règle numéro  3 : la victoire passe, nécessairement, par une dynamique unitaire. La primaire élargie à tous les électeurs de gauche en a été le levier efficace. Elle a ouvert un débat public qui a intéressé bien au-delà des seuls socialistes ; elle a limité la dispersion des candidatures, limitée à deux trotskistes, une écologiste et un Front de gauche en plus du socialiste ; enfin, elle a rassemblé le PS et convaincu l'opinion que le candidat désigné pouvait s'imposer contre Nicolas Sarkozy.

Les gauches semblent bien parties pour oublier ces trois commandements élémentaires. Au train où vont leschoses on pourrait égaler le record de candidatures de 2002. Dès à présent, quatre postulants sont entrés en lice en plus du candidat socialiste qui sera désigné a la primaire sans oublier,E.Macron va, à son tour, se mettre sur les rangs et peut être aussi le PCF et C.Taubira.. Quel que soit le vainqueur, de la primaire de la droite, il n'a guère de souci à se faire ." Les gauches" lui auront dégagé le terrain.

N'est ce pas ce qui s'appelle  : atteindre les limites de son incompétence ?

certains pronnent l'alternance ...donc on y est  !

mais pour el coup dans le genre machine à perdre on peut se dire et constater qu'il était difficiile de faire mieux non ?

Bon au lendemain de la présidentielle et des legislatives de 2017, on aura des manifs etc....

Pour autant faudra penser à la suite....un peu comme au black jack '(ou à la roulette)  : rien ne va plus ...noir  impaire perd et passe...

Modifié par capelanbrest
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Il y a 3 heures , jackv a déclaré:

« Si les Américains l’ont fait, alors nous aussi, on peut »

Sur les terres agricoles et industrielles de l’Aisne en crise, les scores du Front national progressent aussi vite que le taux de chômage, qui frôle les 14 %.......ils sont nombreux dans ce département  à espérer que le scrutin américain libère le vote frontiste : « Si les Américains l’ont fait, alors, nous aussi, on peut ! », lance cet ancien conducteur de train de 58 ans, qui jubile six jours après l’élection de Donald Trump. ......Pourtant, comme 75 % des Français,( selon un sondage IFOP pour Dimanche Ouest-France ) ont une mauvaise opinion du candidat américain..

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2016/11/15/si-les-americains-l-ont-fait-alors-nous-aussi-on-peut_5031472_4854003.html

Lorsque Marine Le Pen s’est empressée de le féliciter Trump  cela a poussé certains à s’interroger sur leur responsabilité de citoyens. Ils se sont alors posé la question : « Faut-il aller aussi loin que les Américains pour exprimer notre colère et notre frustration ?  et en plus lorsque l'on voit le détricotage de ses promesses non tenables (comme celles du F haine) ceux qui veulent voter Fhaine en croyant au père noël vont être déçu ou cela va finir mal..et malheureusement plus rapidement pour ceux en bas de l'echelle que pour les autres

Eternrelle ambivalence franco française (ou la séance d'auto flagellation en direct live ...!).

Publication:

Autre son de cloche chez le figaro (court extrait d'un article réservé aux abonnés) : http://www.lefigaro.fr/elections-americaines/2016/11/14/01040-20161114ARTFIG00232-la-victoire-de-trump-fait-resurgir-brutalement-cet-oublie-le-peuple.php

Citation

Les classes moyennes et populaires, pour qui l'enracinement n'est pas seulement un choix esthétique mais une nécessité vitale, souffrent de la désindustrialisation du pays et de la dénationalisation de l'identité américaine. Leurs repères culturels traditionnels sont non seulement fragilisés mais disqualifiés : un discours politiquement correct n'a voulu voir dans le patriotisme ordinaire de l'Américain moyen que le masque d'un nationalisme blanc n'osant plus dire son nom. Et comme d’habitude, la criminalisation du patriotisme par son identification au racisme engendre le populisme. Ce malaise culturel s'est presque vu justifié depuis bientôt une semaine par le traitement médiatique des résultats électoraux. Diplômé ou sous-diplômé, l'homme blanc qu'on aime dire en colère serait la plaie de la civilisation occidentale. Dans les médias américains, des journalistes militants accusent les Blancs, soit ouvertement soit à demi-mot, d'être une force régressive appelée heureusement un jour à se dissoudre. Son comportement politique serait réactionnaire. Cette propagande médiatique radicalise le sentiment d'aliénation des électeurs concernés. Ce discours culpabilisateur s'est retourné contre ceux qui le tiennent : le mépris de classe a entrainé une révolte de classe.

Un tel pamphlet anti-politiquement-correct aurait difficilement pu être écrit par un auteur français, car il aurait certainement été traduit en Cour Martiale pour avoir commis ce crime.... L'auteur est québecois : Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada.

Publication:

La victoire de Trump fait ressurgir brutalement cet oublié : le peuple... (l'article au dessus)

ce titre du figaro cité au dessus n'est pas complet il devrait être:

 le peuple mais seulement une partie , pas les plus démunis...mais les plus blancs

En fait, ce sont dans l'ensemble les plus riches qui ont voté Trump, et les plus pauvres Clinton ..

Pour obtenir  une distinction franche entre les votants, il n'y a que l'" ethnie ".

Pour les " non-Blancs ", le rapport Clinton-Trump s'établit à 78-22 et, pour les seuls Noirs, à 92-8.

Le niveau d'éducation, qui se situe dans une zone intermédiaire entre contrainte et choix, renforce les cli-vages liés aux variables subies et les rend plus massifs :

ainsi, pour les hommes, le rapport est de 56-44 en faveur de Trump,il passe à 67-33 pour les hommes blancs et à 76-24 pour les hommes blancs sans diplôme universitaire.

C'est encore plus net pour les préférences religieuses,

 Les sans-religion se manifestent à 72-28 en faveur de Clinton, tandis qu'à l'inverse les protestants se situent à 62-38 pour Trump.

La distribution des électeurs selon les gradients d'urbanité est impressionnante.

Dans les comtés des aires urbaines , on obtient, en compilant les résultats réels cette fois, un rapport Clinton-Trump de 72-28

dans les comtés centraux (qui correspondent en France au centre d'une ville et à sa banlieue proche) des 17 aires urbaines de plus de 3  millions d'habitants, avec souvent des scores de plus de 80  % dans les plus grandes . A de très rares exceptions, toutes les grandes villes ont voté Clinton.

l'électeur type de Trump est plutôt un blanc,un commerçant ou un chef d'entreprise, petite ou moyenne, résidant dans les lointaines périphéries de ces villes ou un habitant de "l'Amerique profonde" . Ce n'est que rarement un ouvrier au chômage vivant à côté de son ancienne usine automobile ou sidérurgique en faillite. Celui-là a plutôt voté Clinton.

pour les choix: Clinton/Trump

l'urbanité /ou son rejet,

l'espace public /contre l'espace privé

éducation, productivité, créativité, mondialité, ouverture, demande de justice, présence du futur  côté Clinton / de l'autre,coté Trump, mépris de l'intellect, enclavement écono-mique, absence d'innovation, appel au protectionnisme, peur de l'étranger, affirmation d'une identité fondée sur la pureté biologique, la loyauté communautaire, le respect de l'autorité et la référence nostalgique à un passé  mythifié..

c'est sur ces idées , ces promesses  que ce sont divisée les étasuniens  mais pas le peuple (comme on veut le faire croire du cote des extrêmes en France), les blancs ,classe moyenne et au dessus ....et ......les autres...

Ce mouvement de fond qui divise les Etats-Unis se déploie sur plusieurs décennies dans l'ensemble de l'Occident.

En Europe, on rencontre la même carte, avec le même poids d'urbanité /campagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Finlande, en Italie du Nord, en Autriche ou encore en Suisse, votation après -votation, chaque fois qu'il est question de choisir entre ouverture (aux homosexuels, aux musulmans, à l'Europe, au monde…) et fermeture.

 

 carte ,sencus bureau,sedac ,service des élections de états fédérés Clinton en bleu ,Trump en rouge

Sans titre.jpg

 

 

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Déconnexion des élites avec le peuple ??????Où l’inverse

Le " petit Blanc "est peut-être en souffrance, mais par la faute de qui que fait il pour evoluer ? Sur les deux rives de l'atlantique certain, séduit par la violence autoritaire, nationaliste et virile des populistes sont prêts à sacrifier la démocratique, sur le ton de " je l'avais bien dit "….. Et beaucoup en Europe sont prêts à jeter par-dessus bord un des meilleurs modèle jamais inventé mais pas terminé bien-sur, celui d'une Europe apaisée et prospère grâce à l'économie sociale de marché, humaniste, fondée sur le droit, protectrice des faibles et respectueuse des minorités et oui ..........comparez un peu avec l’ailleurs.

Un constat déjà. La preuve est faite par Trump que la vague populiste mondiale n'a rien à voir avec l'euro, Schengen ou les institutions européennes…et que ce n’est pas un rejet du néo libéralisme, il n’y a pas plus néo que Trump… En tout cas en France, pays le plus socialisé du monde (57  % du PIB en dépenses publiques) qui a introduit depuis la rigueur de 1983 ,le RMI, les 35  heures, la couverture maladie universelle,……. nous sommes encore loin du néo libéralisme étasunien.

La victoire de Trump succède à celle du Brexit et se poursuit en Europe de l'Est : après la Hongrie et la Pologne, la Bulgarie vient de basculer dans la démocratie illibérale. L'Europe a désormais les yeux rivés sur la France et Marine Le Pen…..

On connaît les recettes des populistes : construire des murs. Trump a promis d'expulser 11  millions d'immigrés illégaux. Mais il se concentre désormais sur les 2  à 3  millions qui seraient délinquants. Un chiffre à rapprocher des 2,5  millions d'expulsions sous Obama, qui démontrent que Trump a déjà renié sa promesse.

 Le président élu a aussi proposé d'instaurer des barrières douanières de 45  % avec la Chine pour relocaliser l'industrie aux Etats-Unis. C'est aussi la recette Le Pen. On attend pour voir : s'il faut acheter sa tenue de sport made in France au Vieux Campeur plutôt que made in China chez Décathlon, il n'est pas certain que le " petit Blanc " y retrouve son pouvoir d'achat…

Le monde est de plus en plus complexe et, n'en déplaise aux  trumpistes et leurs idées simplistes car les solutions sont plutôt transnationales. Ce discours est inaudible en  2016. On peut rêver qu'il le soit plus lors des élections françaises, allemandes et néerlandaises de 2017. Rêver .....car lorsque l'on entend il faut essayer le Fhaine puisque l'on a essayer les autres, comme projet de vote, nous sommes proche du niveau zéro de la politique , de la responsabilité civique ,de la réflexion..

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De nombreuses personnalités disent «stop au Hollande bashing»

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2016/11/20/25001-20161120ARTFIG00044-de-nombreuses-personnalites-disent-stop-au-hollande-bashing.php

les défenseurs du chef de l'Etat, au plus bas dans les sondages et malmené au sein même de la gauche. «Dès le départ, François Hollande a fait face à un incroyable procès en illégitimité. Ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle», selon les signataires. «Il perdure encore aujourd'hui malgré la stature d'homme d'État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées.»

http://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/catherine-deneuve-patrick-pelloux-juliette-binoche-des-celebrites-demandent-la-fin-du-hollande-bashing_1929977.html

C'est comme si, en quatre ans, on n'avait jamais entendu parler ni retenu tout ce qui a été accompli, systématiquement effacé par ce Hollande-bashing»,

http://www.lejdd.fr/Politique/Deneuve-Binoche-Biolay-Une-cinquantaine-de-personnalites-disent-stop-au-Hollande-bashing-825751

les créations de postes dans l’Éducation nationale, l’alignement du traitement des instituteurs sur celui des professeurs, l’augmentation du nombre de policiers et de magistrats, les emplois d’avenir, la garantie jeunes, le soutien à l’apprentissage, le compte personnel de formation, le compte pénibilité, la complémentaire santé pour tous, la généralisation du tiers payant, la prime d’activité, la retraite à 60 ans pour les carrières longues, la refondation de l’école, les droits rechargeables à l’assurance-chômage, le mariage pour tous, la sanctuarisation du budget de la culture, le renforcement de l’égalité professionnelle hommes-femmes, l’extension de la parité dans les conseils départementaux, le remboursement complet de l’IVG et de la contraception, une meilleure protection des femmes contre le harcèlement sexuel, la mise en œuvre concrète de la transition énergétique, le non-cumul des mandats, etc., etc.....Ajoutons un déficit public passé de 5,1% en 2011 à 3,5% en 2015,

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