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Le Web des Cheminots

Messages recommandés

Publication:

Un soutien de Sarko en difficultés pour s'être rempli les fouilles.

Basile Boli en garde à vue à la PJ financière

L'ex-footballeur international Basile Boli a été placé en garde à vue à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE), soupçonné d'abus de confiance et de recel d'abus de confiance, a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information de francesoir.fr.

Basile Boli, président de l'association «Entreprendre et diriger en Afrique» (ERA), et un responsable administratif de cette association, se trouvent en garde à vue depuis mardi matin dans le cadre d'une enquête préliminaire menée par le parquet de Nanterre.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/basi...2009-714841.php

Rappel Sarko c'est notre président, il est tout petit et ça le complexe. Bon il porte des talonnettes mais ça se voit. Merci Audrey de ne pas fermer ce sujet. C'était juste un rappel. Merci lotrela lotrela

Publication:

Forte augmentation du nombre de ménages surendettés

Reuters

Le nombre de ménages surendettés ayant engagé des procédures de demande d'aide a atteint 162.171 sur les trois premiers trimestres de 2009, contre 137.842 sur la même période de 2008, selon le journal Le Parisien, qui cite la Banque de France.

Les situations sont de plus en plus graves, puisque la procédure exceptionnelle de "rétablissement personnel", qui consiste à vendre la totalité du patrimoine d'un ménage en contrepartie de l'effacement des dettes, a été déclenchée 32.000 fois déjà cette année contre 25.000 durant la même période un an plus tôt.

La moyenne de surendettement atteint 40.000 euros par dossier en France, contre une somme deux fois moindre en Allemagne et 18.000 euros en Belgique.

Le phénomène s'est développé notamment depuis les années 1980 en France, avec l'usage très large du crédit à la consommation par les banques, sous des formes aujourd'hui contestées comme le "revolving".

Cette pratique consiste à mettre à disposition des sommes importantes en échange de taux de rémunération très élevés. Le gouvernement a refusé d'interdire cette pratique en octobre, Christine Lagarde expliquant qu'elle créait des emplois.

A été lancé simplement un projet d'encadrement léger des pratiques bancaires qui doit être examiné en 2010.

Publication:

CORR - Le grand emprunt ne concernerait plus les particuliers

Reuters

Le "grand emprunt" annoncé par Nicolas Sarkozy en juin dernier ne concernerait finalement pas les ménages mais s'opérerait uniquement sur les marchés financiers, une option politiquement plus banale.

L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, chargé de réfléchir à ce dossier avec le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé, et qui remettra ses propositions jeudi, le déclare dans un entretien publié mercredi par le journal gratuit Direct matin.

"Pour lever auprès des particuliers, il faudrait les allécher, ce qui coûte plus cher. Ça ne vaut pas le coup. Nous lèverons tout auprès des marchés, sans doute en deux fois, mais avec une sélection de secteurs", a-t-il déclaré.

La ministre de l'Economie Christine Lagarde a confirmé cette option sur France info, en confirmant le chiffre déjà évoqué de 35 milliards d'euros.

"Ca me parait, si c'est le cas, une bonne décision sur le plan financier. Un grand emprunt qui est financé par appel aux marchés coûte généralement moins cher qu'un grand emprunt qui s'adresse à l'ensemble de nos concitoyens", a dit Christine Lagarde.

"Je crois que ce qui est important dans le grand emprunt, c'est le mot 'grand', c'est pas forcément le mot 'emprunt'", a-t-elle dit.

TOURNANT POLITIQUE

Si elle se confirmait, une telle orientation serait un tournant politique, le "grand emprunt" ayant été conçu au départ par Nicolas Sarkozy comme un moyen de relancer la confiance dans le pays et de solliciter symboliquement l'appui des Français.

Par ailleurs, il est évoqué l'idée d'utiliser l'argent des aides remboursées par les banques, soit 13 milliards d'euros, pour financer l'opération, ce qui ramènerait l'emprunt proprement dit à 22 milliards d'euros.

Ce chiffre ne sera peut-être in fine que d'une douzaine de milliards en 2010 car, selon le Canard enchainé, le Trésor a déjà augmenté pour cette année ses emprunts habituels sur les marchés de dix milliards d'euros.

La France, qui présente des budgets en déficit depuis les années 1970, emprunte tous les jours sur les marchés financiers et l'opération annoncée sera donc en elle-même banale, même si le montant reste important.

L'emprunt sur les marchés est une option d'autant plus économique que les taux sont très bas actuellement.

Solliciter les ménages supposerait une rémunération attractive et des frais bancaires, ce qui coûterait, selon une estimation officielle évoquée aussi mercredi par le Canard enchaîné, cinq milliards d'euros.

Le débat sur ce dossier a enflammé la majorité depuis plusieurs mois. Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino, appuyé par certaines personnalités de l'UMP, souhaitait que soit emprunté jusqu'à 100 milliards d'euros.

Le ministre du Budget Eric Woerth et d'autres ont cependant obtenu finalement que l'opération soit ramenée à des niveaux plus banals, en insistant sur le fait que les déficits publics français atteindront des records en 2010 en raison de la crise et des dépenses de l'Etat visant à stimuler l'économie.

Thierry Lévêque, édité par Pascal Liétout

J'ai comme l'impression qu'ils nous prennent vraiment pour des billes...

Allez je retourne jouer dans la cour de récré...

Publication:

un petit fichier qui va vous faire bien rigoler je l'ai retrouver dans mes archives

Vraiment Excellent...

et Véridique au propre comme au figuré...

Publication:

Vraiment Excellent...

et Véridique au propre comme au figuré...

Ouaip! et guignol, il donnait des coups de batons, bon c'est juste la façon de se servir du baton qui a changé.

Publication: (modifié)

Dons aux associations : Bruxelles épingle le régime fiscal français

LePoint.fr

La Commission européenne exige que la France modifie son régime fiscal pour les dons aux organismes d'intérêt général et sans but lucratif, qu'elle juge discriminatoire et contraire aux règles de l'Union européenne (UE).

Bruxelles demande dans un "avis motivé" la suppression des différences de fiscalités qui existent aujourd'hui selon que l'organisme concerné est basé et actif en France ou à l'étranger. Elle menace de saisir la Cour de justice européenne si Paris n'agit pas dans les deux mois. Actuellement, les contribuables français bénéficient d'un régime fiscalement avantageux s'ils versent des dons ou des cotisations à des organismes d'intérêt général, mais seulement si ces derniers réalisent leurs activités en France.

Les organismes en question peuvent également être exemptés d'impôts sur les dons qu'ils reçoivent, mais là encore, seulement s'ils sont en France. Les organismes d'intérêt général basés ou actifs dans un autre pays de l'UE doivent, eux, payer des impôts sur les dons obtenus en France.

"La différence de régime fiscal entre les donations effectuées à des organismes français et celles des organismes étrangers constitue un obstacle injustifiable à la liberté de circulation des capitaux" dans l'UE, dénonce la Commission dans son communiqué.

Mode ironique On

Quand on sait que ce sont ceux qui gagnent le moins

qui donnent le plus pour aider ceux qui ont encore moins qu'eux ...

Ah ces technocrates...

Mode ironique OFF

Modifié par Dom-trappeur
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Une garde à vue à 1 million d’euros

http://www.france-info.com/chroniques-le-p...508-81-184.html

Un entrepreneur versaillais va réclamer cet après-midi

un million d’euro de dommages et intérêts contre la police.

Bernard Copin soutient qu’il a été victime, avec deux autres personnes dont sa compagne,

d’une garde à vue abusive au mois d’aout 2008.

Une véritable histoire de fous...

Publication:

Une garde à vue à 1 million d’euros

http://www.france-info.com/chroniques-le-p...508-81-184.html

Un entrepreneur versaillais va réclamer cet après-midi

un million d’euro de dommages et intérêts contre la police.

Bernard Copin soutient qu’il a été victime, avec deux autres personnes dont sa compagne,

d’une garde à vue abusive au mois d’aout 2008.

Une véritable histoire de fous...

:Smiley_41:.......les starky et Hucht en ballerine étaient de sortie. !

Publication:

Mais que fait Notre très Cher Président Sarkozy ?

Le chômage repart vivement à la hausse : +25% en un an...

Reuters

La hausse du chômage qui se modérait depuis cinq mois en France s'est brutalement accentuée en octobre avec 52.400 demandeurs d'emplois supplémentaires en catégorie A, selon les données publiées jeudi par le ministère de l'Economie et Pôle Emploi.

Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A, c'est-à-dire n'occupant aucune activité, augmente ainsi de 2,0% par rapport à septembre pour atteindre 2.627.300 en métropole.

Sur un an, l'augmentation est de 25,0%.

En ajoutant les demandeurs d'emploi exerçant une activité réduite (catégories B et C), la progression ressort à 1,1% (+43.000 personnes) en variation mensuelle et à 20,3% d'une année sur l'autre.

En comprenant les départements d'outre-mer, le nombre de demandeurs d'emplois en catégories A, B, C dépasse le cap des quatre millions pour atteindre 4.019.700 personnes, contre 3.972.400 en septembre et 3.348.100 en octobre 2008.

Il faut remonter à avril pour trouver un chiffre supérieur à 50.000 en catégorie A en métropole. Le record avait été atteint en janvier avec 90.200 demandeurs d'emplois de plus.

Dans un communiqué, la ministre de l'Economie Christine Lagarde déclare "prendre note de cette augmentation qui fait suite à cinq mois de hausse plus contenue et reflète la poursuite des effets de la crise sur le marché du travail."

"La tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre quelques trimestres, car une reprise graduelle de l'activité ne se traduirait pas par un repli immédiat du chômage", ajoute-t-elle.

TAUX DE CHOMAGE DE 10% SELON EUROSTAT

La France ne publie pas de taux de chômage mensuel mais celui-ci a grimpé en septembre à 10,0% contre 9,8% en août, selon l'agence européenne de statistiques Eurostat (plus de détails ).

L'Insee publiera le 3 décembre le taux de chômage trimestriel au sens du Bureau international du travail. Celui-ci était de 9,1% au deuxième trimestre en métropole, en hausse de 0,6 point par rapport aux trois premiers mois de l'année.

Après une flambée sur les quatre premiers mois de l'année, la hausse du chômage avait sensiblement ralenti depuis avril et le nombre de destructions d'emplois a parallèlement baissé à 5.500 au troisième trimestre contre 85.400 au deuxième et 185.900 au premier (plus de détails ).

Dans son communiqué, Christine Lagarde rappelle les mesures en faveur de l'emploi prises par le gouvernement et ajoute que leur influence "va continuer à monter en puissance".

Elle cite ainsi le soutien renforcé à l'activité partielle dont le nombre de bénéficiaires a atteint 319.000 au deuxième trimestre, le dispositif "zéro charges" dans les entreprises de moins de 10 salariés qui a contribué à l'embauche de 650.000 personnes, les contrats de transition professionnelle, le plan d'urgence pour l'emploi des jeunes ou le renforcement temporaire des moyens de Pôle Emploi dans les régions les plus touchées.

Laurent Wauquiez, le secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, avait indiqué la semaine dernière que 1,5 million de personnes avaient bénéficié des mesures de soutien .

"Le coeur de la crise commence à être derrière nous même s'il faut rester vigilant parce qu'on connaîtra sans doute encore des mois où on va retomber", avait-il déclaré.

HAUSSE DU CHÔMAGE DES JEUNES

Chez les jeunes de moins de 25 ans, le nombre de chômeurs a augmenté de 2,5% en catégorie A (+28,1% sur un an) et de 1,2% pour les catégories A, B et C (+26,4% sur un an).

Le nombre de chômeurs de longue durée - inscrits à Pôle emploi depuis un an ou plus - a quant à lui augmenté de 2,5% en octobre pour les catégories A, B, C (+22,8% sur un an).

Les entrées au service public de l'emploi en catégories A, B, C ont progressé de 0,8% en octobre par rapport à septembre.

Les sorties ont quant à elles augmenté de 0,2% en octobre mais celles motivées par des "cessations d'inscription pour défaut d'actualisation" ont baissé de 3,2% alors qu'elles avaient augmenté les mois précédents, contribuant à modérer les chiffres mensuels des inscrits à Pôle emploi.

Véronique Tison, édité par Sophie Louet

Certains économistes estiment que le nombre réel de personnes sans emploi s'élèverait à plus de 6 millions

(rappel il y a en France 64 millions d'habitants

environ 35 millions entre 18 et 60 ans...)

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«Dix millions de personnes souffrent de la crise du logement»

INTERVIEW

31 associations appellent à une grande mobilisation citoyenne vendredi soir à l'occasion de la 2e édition de la nuit solidaire pour le logement.

Entretien avec Christophe Robert, directeur d'études à la fondation Abbé Pierre.

Recueilli par MARIE PIQUEMAL

C'est un appel à l'aide.

31 associations, réunies en collectif, organisent vendredi soir la 2e édition de la nuit solidaire pour le logement dans plusieurs grandes villes, pour alerter sur la crise du logement en France.

Loyers trop chers, appartements insalubres ou cabanons de fortune...

Le problème du logement revient régulièrement sur la table et paraît insoluble.

Les acteurs de terrains ne sont pas de cet avis :

des solutions existent à condition qu'il y ait une volonté politique.

Entretien avec Christophe Robert, directeur d'études à la fondation Abbé Pierre.

...

http://www.liberation.fr/societe/010160528...ise-du-logement

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Salaires et effectifs : le train de vie des ministères épinglé

http://www.leparisien.fr/politique/salaire...2009-726045.php

Le nombre de conseillers des cabinets ministériels a augmenté de 17,2% entre 2008 et 2009. Les salaires des personnels contractuels de ces cabinets ont crû de 12,8% pour atteindre 7 157 euros brut. Les effectifs globaux ont enregistré une croissance de 11,1%... voilà le type de données révélées jeudi par le député apparenté socialiste René Dosière.

L'homme est un habitué des dépenses de l'Elysée, des documents budgétaires ardus qu'il faut décortiquer et analyser... Un travail fastidieux auquel l'élu de l'Aisne s'attèle chaque année et qui prend, en ces temps de crise, une couleur toute particulière. Après avoir pointé l'envol des dépenses de l'Elysée en juin, puis fustigé la facture de la présidence française de l'union européenne en octobre, le député a passé au peigne fin le train de vie des ministères. Il livre ses résultats dans un communiqué intitulé «Le gouvernement ne connaît pas la crise».

Des «augmentations démesurées», «incompréhensibles dans la période de crise qui frappe durement les Français», note le député qui s'insurge : «Pendant qu’il réduit les moyens humains et matériels de ses administrations, le gouvernement ne cesse d’augmenter son train de vie.»

«Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais»

Ces chiffres, le poil à gratter des grands dépensiers les a obtenus en analysant le document budgétaire « jaune » consacré aux «personnels affectés dans les cabinets ministériels», que le ministère du Budget a envoyé cette semaine au Parlement dans le cadre de l'examen du budget 2010. «Quelle confiance peut-on accorder à un gouvernement dont la devise est : Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ?» interroge M. Dosière.

Dans le détail :

- Le nombre de conseillers ministériels est passé de 534 à 626 en un an (+17,2%).

- Le personnel d'intendance (cuisines...) est celui qui a le plus augmenté, passant de 257 à 303 en une année (+17,8%).

- Les effectifs globaux des cabinets (conseillers, chauffeurs, cuisiniers, secrétaires, gardes du corps...) ont progressé de + 11,1% (3 277 personnes).

- La rémunération mensuelle moyenne des membres contractuels (non fonctionnaires) de ces cabinets a augmenté de + 12,8% sur la même période pour s'établir à 7 157 euros brut.

- Le montant global des indemnités de sujétion particulière (primes de cabinet) s'élève à 31,7 millions d'euros sur l'ensemble de l'année 2009, soit une progression de + 20,6%. Des primes qui ont bénéficié à 3 465 personnes, pour un montant moyen de 9 155 euros.

- L'ensemble des rémunérations et traitement des effectifs des ministères ont dès lors augmenté de + 38,1 % passant de 50, 9 millions d'euros en 2008 à 70,3 millions d'euros en 2009.

Palmarès des ministères :

René Dosière a également effectué un «palmarès» des ministres selon différents critères. Se classent ainsi premiers Jean-Louis Borloo (Ecologie) pour le nombre de conseillers (39), mais aussi de chauffeurs (48); Brice Hortefeux (Intérieur) pour le nombre de membres de son cabinet, hors conseillers (232) et Bernard Kouchner (Affaires étrangères) pour le personnel d'intendance (40) et les agents de sécurité (59).

Par ailleurs, le cabinet ministériel le plus féminin est celui d'Henri de Raincourt (Relations avec le Parlement) avec 45% de femmes. Les cabinets les moins féminins sont ceux de Brice Hortefeux et de Christine Lagarde (Economie) avec seulement 16%. Les cabinets les plus féminins des secrétaires d'Etat sont ceux de Valérie Létard (Technologie vertes; 66%), Fadela Amara (Politique de la ville; 58%) et Nadine Morano (Famille et de la Solidarité; 57%)

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Point de vue

Laissez Marc Bloch tranquille, M. Sarkozy,

par Suzette Bloch et NicolasOffenstadt

LE MONDE | 28.11.09 |

Petite-fille de Marc Bloch et historien médiéviste, nous avons décidé de joindre nos voix pour dire stop à l'utilisation abusive de l'historien, de l'intellectuel, du résistant Marc Bloch par le président de la République, Nicolas Sarkozy - et ceux qui l'entourent - pour habiller leurs discours idéologiques

Un jour, moi, Suzette Bloch, j'ai demandé à mon père : "Mais comment as-tu fait pour avoir le courage physique de résister à l'occupant ?" Il m'a répondu : "Tu sais, quand tu es agressé, tu ripostes, c'est comme un réflexe, tu ne te poses même pas la question." Mon père s'appelait Louis Bloch. Il était modeste. Ses hauts faits de résistant contre les nazis et leurs auxiliaires français, je les ai appris par le récit d'autres. J'aurais pu poser la question à mon grand-père. Mais je ne l'ai pas connu. Il a été fusillé. Le 16 juin 1944. Il est tombé sous les balles allemandes. Le soir, dans un champ. A Saint-Didier-de-Formans (Ain). Il était lui aussi dans la Résistance. Il s'appelait Marc Bloch. J'aurais pu poser la question à ma grand-mère. Mais je ne l'ai pas connue. Elle est morte le 2 juillet 1944. A Lyon. De douleur, de privations, sans nouvelles de son mari, de ses fils, Etienne, Louis et Daniel, tous engagés dans l'armée de l'ombre. Elle s'appelait Simonne.

Marc, Simonne, Louis m'ont laissé une mémoire, la mémoire d'une famille qui a érigé la liberté d'esprit au rang de première des valeurs humaines. Aujourd'hui, je suis indignée. Au point où j'en arrive à surmonter la timidité que j'ai aussi reçue en héritage. Pour dire "Assez !".

Le 12 novembre à La-Chapelle-en-Vercors, dans la Drôme, le président de la République a prononcé un discours destiné à apporter sa "contribution" au débat qu'il a lancé sur l'"identité nationale", une notion qui ne s'impose en rien et qui peut servir les pires desseins idéologiques. Il en a appelé à mon grand-père à l'appui de son hymne à la France repliée, chrétienne et éternelle. "Honneur", "patrie", "fierté d'être français", "identité nationale française", "héritier de la chrétienté" : ces termes sont légion dans ce discours où le chef de l'Etat prétend décrire ce que doit être sa France, cautionnée par le "plus grand historien".

A plusieurs reprises, pendant la campagne présidentielle, il avait cru bon de citer L'Etrange Défaite, ce retour réflexif sur 1940, écrit par l'historien, qui avait été aussi combattant. Mais là, trop, c'est trop. Je suis révulsée. Pourquoi ce besoin de recourir à Marc Bloch pour se vêtir de ses qualités d'homme irréprochable. Peut-être parce qu'il faut rendre noble et acceptable un débat qui sert à la fois de courtes visées électorales et un projet idéologique de retour au "national", sans rapport aucun avec les engagements et la vision du monde, savant et citoyen, de Marc Bloch.

Je refuse que mon grand-père soit utilisé pour célébrer la patrie selon Nicolas Sarkozy, qui joue de la peur de "l'Autre". "L'étranger" ? "L'immigré" ? Toujours sommé de se justifier, forcément marginalisé par un débat centré sur l'"identité nationale", pourchassé quant il n'est pas "en règle", obligé de se cacher, de cacher ses enfants ou de travailler aux sinistres conditions du travail au noir. Quels sont ces "renoncements" qui menacent la patrie ? Toute cette phraséologie n'a rien à voir avec Marc Bloch, qui s'est battu dans un tout autre contexte contre de vrais ennemis des libertés.

"Je suis, je m'en flatte, un bon citoyen du monde et le moins chauvin des hommes. Historien, je sais tout ce que contenait de vérité le cri fameux de Karl Marx : "Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !"", écrivait aussi le médiéviste dans L'Etrange Défaite, soucieux d'articuler son intense patriotisme et de plus larges horizons.

Non, moi, sa petite-fille, je ne veux pas que Marc Bloch soit instrumentalisé par Nicolas Sarkozy. Il n'aurait pas approuvé cette idéologie nationaliste malsaine. Je demande au président de laisser la pensée de mon grand-père à l'étude, à la critique, aux historiens, ainsi qu'à tous les lecteurs de ses oeuvres.

L'historien coauteur de ces lignes doit dire, avec bien d'autres, que le fameux passage cité à plusieurs reprises par le président et ses proches, et encore à La Chapelle-en-Vercors, pour faire croire que l'histoire de France s'adopte comme un tout, comme un animal de compagnie, est un détournement bien abusif. Voici la phrase exacte : "Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l'histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération."

Lorsqu'on remet cette phrase dans son contexte, on comprend qu'elle sert avant tout à dénoncer l'étroitesse d'esprit du patronat des années 1930, incapable de saisir l'élan des luttes ouvrières, et en particulier de celles de 1936. "Dans le Front populaire", ajoute Bloch - le vrai, celui des foules, non des politiciens -, il revivait "quelque chose de l'atmosphère du Champ de Mars, au grand soleil du 14 juillet 1790." Surtout, Marc Bloch dénonce ici l'incapacité des élites à bâtir de grands moments de rassemblement autour des idéaux démocratiques, face à ceux des régimes fascistes. Les spécialistes de Marc Bloch invitent à la prudence dans l'usage de la phrase, déjà formulée pendant la Grande Guerre. Ils en ont proposé de multiples lectures, insistant sur ce double contexte de guerre. A l'évidence, ce genre de discours d'union sacrée est un lieu commun pendant un conflit et mérite d'être entendu dans ce contexte.

Comme d'habitude, le président sort des mots et des icônes de leurs contextes et de leurs engagements pour les peindre aux couleurs du jour, les plus nationales en l'occurrence, oubliant l'époque qui les a produits, empêchant toute compréhension des enjeux du temps. Comme le note l'historien Gérard Noiriel, "alors que Nicolas Sarkozy n'a cessé de stigmatiser la pensée critique comme une menace sur l'identité nationale, Marc Bloch l'a, au contraire, toujours encouragée".

Suzette Bloch est Journaliste, petite-fille de Marc Bloch

Nicolas Offenstadt est Maître de conférences en histoire à l'université Paris-I, auteur de "L'Histoire bling-bling", Stock

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Le PCF prêt à reconduire le Front de gauche dans 16 régions

Mardi 24 novembre,

Libération.fr

Reçus 16 sur 22. Consultés depuis vendredi dans toutes les régions, les militants du Parti communiste se sont prononcés largement pour des listes «Front de gauche élargi», indépendante du PS, au premier tour des régionales de mars. Dans 16 régions, les communistes ont fait le choix de renouveler l'expérience des européennes de juin : une alliance avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, ouverte à d'autres formations ou personnalités issues de la gauche radicale. Avec une participation de 63,7%, les militants PCF suivent dans leur grande majorité l'offre proposée par leur direction nationale fin octobre. Pour l'instant, seuls les militants de quatre régions (Bretagne, Lorraine, Champagne-Ardenne et Basse-Normandie) sont prêts à partir dès le premier tour avec le PS. En attendant les résultats en Poitou-Charentes et Bourgogne qui seront connus aujourd'hui Dans ces deux régions, les délégués départementaux ont plaidé ces dernières semaines pour un ticket PS-PCF. Lors des régionales de 2004, les communistes avaient choisi l'autonomie dans huit régions seulement. Et passé la barre des 5%, nécessaire pour fusionner, dans cinq d'entre elles.

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Ce que représentent les minarets en France

L'Express

Alors que le débat sur l'interdiction des minarets en Suisse rebondit en France, retour sur une tradition musulmane.

C'est quoi?

Un minaret est un élément architectural d'une mosquée. Une sorte de "tour" qui dépasse tous les autres sommets du lieu de culte. Les mosquées n'ont pas toutes un minaret, souvent par souci de discrétion sur une terre non musulmane et pour des raisons financières ou techniques. Certaines mosquées, comme La Mecque, ont plusieurs minarets.

Ça sert à quoi?

La fonction principale du minaret est de lancer l'appel à la prière, cinq fois par jour. C'est le muezzin qui est chargé de répandre, par la voix, cet appel. Lorsque la mosquée possède plusieurs minarets, l'appel est lancé depuis une des tours. L'autre attrait du minaret est de repérer facilement la présence d'une mosquée.

Combien y en a-t-il en France?

La France compte moins de dix minarets qui coiffent tous des mosquées dites "cathédrales". Le minaret de la grande mosquée de Paris grimpe, par exemple, jusqu'à à 30 mètres tandis qu'il atteint 25 mètres à Créteil.

Et à l'avenir?

En novembre 2011, pour la fête de l'Aïd, le député-maire Jean-Claude Gaudin inaugurera la grande mosquée de Marseille, l'une des plus grandes jamais construites en France. Le lieu de culte, qui sera érigé dans les quartiers nord de la ville, aura un minaret haut de 25 mètres. L'appel à la prière sera lancé grâce à un faisceau lumineux. D'après La Mosquée de Paris, il n'y a pas, en France, d'appels "classiques" à la prière, c'est-à-dire par la voix.

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L'onde de choc du "non" aux minarets

se propage en France

Reuters

L'onde de choc du "non" suisse aux minarets s'est propagée lundi en France,

où l'UMP s'interroge sur la justification de ces édifices,

ce que l'opposition dénonce comme une manoeuvre "électoraliste".

Interrogés par référendum, les citoyens suisses ont approuvé à une nette majorité dimanche l'interdiction de construire dans la Confédération de nouveaux minarets ornant les mosquées, prenant de court le monde politique et le gouvernement.

Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, s'est déclaré "un peu scandalisé" par cette "expression d'intolérance".

"Si on ne peut pas construire de minarets cela veut dire qu'on opprime une religion", a-t-il dit sur RTL.

L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard a de son côté jugé que la peur était "mauvaise conseillère".

"C'est quand même un affichage de méfiance. C'est un vote de violence", a-t-il regretté sur Radio Classique.

Mais des responsables politiques français ont estimé que la France pourrait ou devrait prendre exemple sur la Suisse.

Pour le Front national, ce vote est un signal envoyé aux "élites", qui doivent "cesser de nier les aspirations et les craintes de peuples européens (face) à des signes ostentatoires que veulent imposer des groupes politico-religieux musulmans, souvent à la limite de la provocation".

Plusieurs responsables de l'UMP ont fait des commentaires qui ont été vivement critiqués à gauche.

Dimanche soir, le secrétaire général du parti majoritaire, Xavier Bertrand, a jugé qu'on n'avait pas "forcément besoin" des minarets en France.

"AMALGAMES"

Le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, a abondé dans son sens lundi sur France Info. Si les salles de prière sont "évidemment tout à fait indispensables", il n'en va pas de même pour les minarets, a-t-il dit.

"Il faut pouvoir assumer ses convictions sans que cela blesse qui que ce soit et sans que cela transgresse le principe de laïcité", a-t-il estimé, faisant le distinguo entre les minarets et les clochers des églises catholiques qui sont "un héritage historique".

Jean-François Copé a refusé de commenter ces déclarations, joignant sa voix à celles de la gauche.

"Ce vote n'aide pas car il va encourager toutes les formes d'amalgames", a dit le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale sur France Info.

Au Parti socialiste, Pierre Moscovici a jugé sur LCI "électoralistes" les propos de Xavier Bertrand qui, selon lui, reviennent à dire "qu'au fond les Suisses montrent la voie".

Pour Benoît Hamon, en Suisse comme en France, "la stratégie du bouc émissaire porte".

"Les populations européennes sont sensibles à ces thématiques, dès lors que les gouvernements n'apportent pas d'autre réponse au plan économique et social", a dit le porte-parole du PS lors d'un point de presse.

Les Verts dénoncent l'avancée des idées "xénophobes et islamophobes" en Europe.

"Tous les prétextes sont bons: débat sur la burqa, mariage gris, minarets, amalgame entre la sécurité et l'immigration, identité nationale pour faire peur et nourrir un sentiment de rejet contre certains immigrés ou européens issus de l'immigration venant de pays musulmans", accuse le parti écologiste dans un communiqué.

Comme les Verts, le député socialiste européen Vincent Peillon et le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, font le lien entre le vote suisse et le débat lancé par Nicolas Sarkozy et la droite sur l'identité nationale en France.

En Europe, "nous sommes dans un temps où, par défaut de vigilance, par confusion, par électoralisme, on commence à jouer avec des questions fondamentales", a estimé Vincent Peillon sur i>Télé. "Cessons de jouer avec des concepts, avec des émotions mauvaises et dangereuses. N'animons pas la campagne des (élections) régionales (de mars prochain) avec des sujets qui n'ont rien à voir, comme l'identité nationale", a-t-il dit.

Bernard Thibault, de son côté, a déploré qu'en période de crise "certains trouvent avantage à mettre en exergue des coupables tout désignés". "Chacun a son immigré dans son pays en Europe", a-t-il dit.

Laure Bretton, édité par Yves Clarisse

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Salut, je n'ai aucun avis sur l'histoire des minarets, mais au moins en suisse, les politiques ont au moins les couillent de demander l'avis au peuple en le faisant voter ( votations ) et non de traiter le sujet en faisant voter des lois en catimini. bigbisous Donc, les politiques " made in chez nous" ont encore le beau rôle de commenter ce qui se passe chez nos voisins helvets. ( bientôt des élections? ). Y sont pitoyablent à vouloir donner des leçons à tout le monde.

Publication: (modifié)

L'onde de choc du "non" aux minarets

se propage en France

Reuters

L'onde de choc du "non" suisse aux minarets s'est propagée lundi en France,

où l'UMP s'interroge sur la justification de ces édifices,

ce que l'opposition dénonce comme une manoeuvre "électoraliste".

Interrogés par référendum, les citoyens suisses ont approuvé à une nette majorité dimanche l'interdiction de construire dans la Confédération de nouveaux minarets ornant les mosquées, prenant de court le monde politique et le gouvernement.

Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, s'est déclaré "un peu scandalisé" par cette "expression d'intolérance".

"Si on ne peut pas construire de minarets cela veut dire qu'on opprime une religion", a-t-il dit sur RTL.

Sauf que toutes les religions ...ont répandu l'oppression partout !

Les religions opprimées , et quoi encore ....

L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard a de son côté jugé que la peur était "mauvaise conseillère".

"C'est quand même un affichage de méfiance. C'est un vote de violence", a-t-il regretté sur Radio Classique.

Voté a un référendum .....est violent ...Faut qu'il arrête de trainer dans les couloirs ministériels , il s'enrhume .

Mais des responsables politiques français ont estimé que la France pourrait ou devrait prendre exemple sur la Suisse.

Pour le Front national, ce vote est un signal envoyé aux "élites", qui doivent "cesser de nier les aspirations et les craintes de peuples européens (face) à des signes ostentatoires que veulent imposer des groupes politico-religieux musulmans, souvent à la limite de la provocation".

Plusieurs responsables de l'UMP ont fait des commentaires qui ont été vivement critiqués à gauche.

Pendant toute sontl'histoire, la gauche a combattu les religions (catho entre autre ) notamment pour arriver à la séparation de l'église et de l'état et là...

il faut qu'ils la ramène .Elle est con à bouffer du foin ....

Dimanche soir, le secrétaire général du parti majoritaire, Xavier Bertrand, a jugé qu'on n'avait pas "forcément besoin" des minarets en France.

Pas plus que des cynagogues , des églises etc....des temples indoux etc...

Déjà , je garderais le gros oeuvre et j'en ferais des salles de sport.....Bon , on éviterais de mettre un religieux à la surveillance des vestiaire ... !

"AMALGAMES"

Le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, a abondé dans son sens lundi sur France Info. Si les salles de prière sont "évidemment tout à fait indispensables", il n'en va pas de même pour les minarets, a-t-il dit.

"Il faut pouvoir assumer ses convictions sans que cela blesse qui que ce soit et sans que cela transgresse le principe de laïcité", a-t-il estimé, faisant le distinguo entre les minarets et les clochers des églises catholiques qui sont "un héritage historique".

Jean-François Copé a refusé de commenter ces déclarations, joignant sa voix à celles de la gauche.

"Ce vote n'aide pas car il va encourager toutes les formes d'amalgames", a dit le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale sur France Info.

Au Parti socialiste, Pierre Moscovici a jugé sur LCI "électoralistes" les propos de Xavier Bertrand qui, selon lui, reviennent à dire "qu'au fond les Suisses montrent la voie".

Pour Benoît Hamon, en Suisse comme en France, "la stratégie du bouc émissaire porte".

"Les populations européennes sont sensibles à ces thématiques, dès lors que les gouvernements n'apportent pas d'autre réponse au plan économique et social", a dit le porte-parole du PS lors d'un point de presse.

Les Verts dénoncent l'avancée des idées "xénophobes et islamophobes" en Europe.

"Tous les prétextes sont bons: débat sur la burqa, mariage gris, minarets, amalgame entre la sécurité et l'immigration, identité nationale pour faire peur et nourrir un sentiment de rejet contre certains immigrés ou européens issus de l'immigration venant de pays musulmans", accuse le parti écologiste dans un communiqué.

Comme les Verts, le député socialiste européen Vincent Peillon et le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, font le lien entre le vote suisse et le débat lancé par Nicolas Sarkozy et la droite sur l'identité nationale en France.

En Europe, "nous sommes dans un temps où, par défaut de vigilance, par confusion, par électoralisme, on commence à jouer avec des questions fondamentales", a estimé Vincent Peillon sur i>Télé. "Cessons de jouer avec des concepts, avec des émotions mauvaises et dangereuses. N'animons pas la campagne des (élections) régionales (de mars prochain) avec des sujets qui n'ont rien à voir, comme l'identité nationale", a-t-il dit.

Bernard Thibault, de son côté, a déploré qu'en période de crise "certains trouvent avantage à mettre en exergue des coupables tout désignés". "Chacun a son immigré dans son pays en Europe", a-t-il dit.

Laure Bretton, édité par Yves Clarisse

Finalement , juste une idée .

Qu'ils soient pour ou contre.Qu'ils organisent le même référemdum.Qu'ils acceptent le résultat et qu'ils l'assument .

Et là ils pourront commenter.....Parce que s'interresser aux problème ...suisse =ok mais coucou les bidochons politiciens ...pensez au peuple français .Après , lors de vos temps morts , vous irez en Suisse et éventuellement , vous nous tiendrez au courant

Bref , ils n'ont rien à foutre!

Quand j'étais petit , je faisais comme TOTO :" caca derrière l'église car je ne pouvais pas faire sur le clocher"...Donc les autres monuments religieux ... !

Modifié par MarcM
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Le PCF prêt à reconduire le Front de gauche dans 16 régions

Mardi 24 novembre,

Libération.fr

Reçus 16 sur 22. Consultés depuis vendredi dans toutes les régions, les militants du Parti communiste se sont prononcés largement pour des listes «Front de gauche élargi», indépendante du PS, au premier tour des régionales de mars. Dans 16 régions, les communistes ont fait le choix de renouveler l'expérience des européennes de juin : une alliance avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, ouverte à d'autres formations ou personnalités issues de la gauche radicale. Avec une participation de 63,7%, les militants PCF suivent dans leur grande majorité l'offre proposée par leur direction nationale fin octobre. Pour l'instant, seuls les militants de quatre régions (Bretagne, Lorraine, Champagne-Ardenne et Basse-Normandie) sont prêts à partir dès le premier tour avec le PS. En attendant les résultats en Poitou-Charentes et Bourgogne qui seront connus aujourd'hui Dans ces deux régions, les délégués départementaux ont plaidé ces dernières semaines pour un ticket PS-PCF. Lors des régionales de 2004, les communistes avaient choisi l'autonomie dans huit régions seulement. Et passé la barre des 5%, nécessaire pour fusionner, dans cinq d'entre elles.

reconduire le Front ...mais avec qui ? Car si c'est un front dégarni...

Déjà sorti , !

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On pourrait transformer tous les lieux de cultes en hôtels pour les sans abris...

Aussi Les casernes que NS a "libéré" ...

Invité
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