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Le Web des Cheminots

Messages recommandés

Publication:

S'il est vrai que Peillon n'était pas prévu au début du débat, mais "en seconde partie", il a eu raison de ne pas marcher et de ne pas permettre à la chaine de trouver un autre pigeon comme faire valoir de Besson/LP ...

Publication: (modifié)

Bon moi aussi j'ai boycotté France deux hier soir

parce que ce qui me gonfle

c'est le fond du débat sur la soi-disant "identité nationale".

Avec en plus Besson et Le Pen ...Non merci...

Peillon a manifestement préparé son coup entre autre pour empêcher un autre membre du Parti Socialiste d'y participer

et il est sûr qu'il l'a fait avec l'accord de la direction de son Parti...

D'ailleurs suffit d'écouter aujourd'hui les réactions de certains socialistes...

C'est vrai qu'en attendant on parle de l'attitude de Peillon et plus du fond du débat...

Pour le coup il a gagné son pari mais ça ne fait pas avancer le schmilblick...

France 2 a servi la soupe à Besson une fois de plus. Ce n'est pas un phénomène nouveau...

Chabot, Pujadas et quelques autres franchement moi je n'appelle pas ça des journalistes mais des présentateurs animateurs.

Aucun esprit critique.

Il m'arrive de regarder le journal de 13h ou celui de 20h sur la 2 mais perso je ne supporte pas plus que quelques minutes.

Le traitement des informations est affligeant :

surtout ne pas parler des sujets de la vie quotidienne sauf ... la délinquance et les faits divers...

faut bien faire peur au bas peuple.

Quand au droit d'accès ...à la télé nationale...

Tiens quasiment tous les matins à Télématin de france 2 on a droit à un ministre ou dirigeant UMP

et quand on a droit à un socialiste c'est Jack Lang...

Les autres courant de pensée... c'est tellement rare qu'on les rate à tous les coups...

Enfin moi c'est à tous les coups maintenant je prends ma douche à cette heure là...

Modifié par Dom-trappeur
Publication:

Bon moi aussi j'ai boycotté France deux hier soir

parce que ce qui me gonfle

c'est le fond du débat sur la soi-disant "identité nationale".

Avec en plus Besson et Le Pen ...Non merci...

Peillon a manifestement préparé son coup entre autre pour empêcher un autre membre du Parti Socialiste d'y participer

et il est sûr qu'il l'a fait avec l'accord de la direction de son Parti...

D'ailleurs suffit d'écouter aujourd'hui les réactions de certains socialistes...

C'est vrai qu'en attendant on parle de l'attitude de Peillon et plus du fond du débat...

Pour le coup il a gagné son pari mais ça ne fait pas avancer le schmilblick...

France 2 a servi la soupe à Besson une fois de plus. Ce n'est pas un phénomène nouveau...

Chabot, Pujadas et quelques autres franchement moi je n'appelle pas ça des journalistes mais des présentateurs animateurs.

Aucun esprit critique.

Il m'arrive de regarder le journal de 13h ou celui de 20h sur la 2 mais perso je ne supporte pas plus que quelques minutes.

Le traitement des informations est affligeant :

surtout ne pas parler des sujets de la vie quotidienne sauf ... la délinquance et les faits divers...

faut bien faire peur au bas peuple.

Quand au droit d'accès ...à la télé nationale...

Tiens quasiment tous les matins à Télématin de france 2 on a droit à un ministre ou dirigeant UMP

et quand on a droit à un socialiste c'est Jack Lang...

Les autres courant de pensée... c'est tellement rare qu'on les rate à tous les coups...

Enfin moi c'est à tous les coups maintenant je prends ma douche à cette heure là...

Pour ma part, je ne regarde quasiment pas la télévision et surtout pas les infos. C'est du blabla dirigé lêche cul du pouvoir.

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Le Lipdub de l'UMP et la SNCF : déraillement en vue ?

Lipdub: les jeunes UMP ont encore oublié de payer des droits ?

Le Post

Vous vous souvenez de cette chanson tellement entraînante "Changer le monde" qu'on a entendu jusqu'à plus soif pendant des semaines?

C'est reparti pour un tour, car la SNCF a fait remarquer qu'elle pourrait réclamer des droits à l'image, révèle Street Press.

"Ils m’ont fait une demande pour se filmer en train de chanter une chanson dans le but d’animer leur congrès en interne. Il n’y avait pas écrit que c’était un outil de promotion de l’UMP, explique le pôle "tournage et production" de la SNCF sur Street Press.

Comme c'est un clip promotionnel, la SNCF réclame habituellement un droit à l'image. De l'ordre de 2500 à 4500 euros, explique la SNCF à Street Press. Mais, cette fois-ci, elle ne présentera pas la note. "C’est gênant. On est dans une situation à la SNCF où on ne peut pas prendre parti. Le PS c’est les régions et l’UMP le gouvernement, donc quoi qu’on fasse c’est mal interprété."

Contacté par Street Press, le président des Jeunes Pop évacue le sujet: "La seule communication qu’on a eue avec la SNCF c’était pour privatiser le TGV… Je suis pas juriste, je suis étudiant en école de commerce. Honnêtement, j’en sais rien. Je veux pas dire de bêtises mais à partir du moment où le TGV était privatisé, je vois pas où est le débat."

J'adore la formule "pour privatiser le TGV"....

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France 2 a servi la soupe à Besson une fois de plus. Ce n'est pas un phénomène nouveau...

Chabot, Pujadas et quelques autres franchement moi je n'appelle pas ça des journalistes mais des présentateurs animateurs.

Aucun esprit critique.

ils ne sont pas les seuls , écoutez les questions d' Elkabach. à Georges Frêche ,on ne peut pas dire qu'il le pousse dans ses derniers retranchements , alors ,imaginez Pernaut et Ferrari devant notre guide suprême !!!! revoltages

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ils ne sont pas les seuls , écoutez les questions d' Elkabach. à Georges Frêche ,on ne peut pas dire qu'il le pousse dans ses derniers retranchements , alors ,imaginez Pernaut et Ferrari devant notre guide suprême !!!! revoltages

Une course de formule 1 en perspectives ? revoltages

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Peillon abandonne les valets de la haine en rase campagne...

http://fr.news.yahoo.com/63/20100115/tpl-p...-h-5cc6428.html

Le Post vogelsong

Pur crime de lèse-majesté. Vincent Peillon snobe un rendez-vous télévisuel concocté par Arlette Chabot. Le député socialiste, invité en deuxième partie de débat après E. Besson et M. Le Pen, décline au dernier moment. Le microcosme politique se cabre.

Pratiquer la chaise vide ou se défiler ne peut être une méthode durable pour faire passer ses idées. Mais compte tenu du contexte, du sujet et des invités, la sacro-sainte obligation de participer peut être au moins discutée. L’absence peut même tenir lieu d’argument.

Fin septembre 2009 à New York, Chabot prend une avoinée présidentielle devant témoins. Un gros quart d’heure de soufflante élyséenne. Pour le Président, le service public ne propose pas “de vraies émissions politiques“. Pourtant, la droite n’a pas à se plaindre des états de services de la journaliste de France 2.

Et l’UMP peut compter sur cette fidèle pour mitonner des émissions de haut vol, comprenant des questions pas trop difficiles et un temps de parole conséquent sans coupure. N. Sarkozy candidat est un coutumier. Il a largement donné du “mâme Chabot” aux perches tendues par la directrice de la rédaction de la chaîne publique. Ils se claqueront même un bécot à la fin d’une émission.

Un président insatisfait de la teneur des émissions politiques des chaînes publiques ? Journaliste pleine de ressources, Chabot organise une émission confrontant Marine Le Pen et Eric Besson ! Bien calée sur le calendrier et les thématiques de l’UMP, l’identité nationale sera au menu.

Ce débat national, lancé par le gouvernement, sous-traité par l’institut Montaigne gagne inévitablement la chaîne publique. Recentrer E. Besson, transfuge du PS vers les confins de la droite s’avère être une mission compliquée, mais pas impossible si l’on s’en donne les moyens. Pour satisfaire aux exigences du débat, un intellectuel socialiste est convoqué en seconde partie de débat, après le choc titanesque des réactionnaires. Dans la France de Nicolas Sarkozy, c’est le casting qui préfigure toute initiative.

Le cas Besson, un socialiste choisi pour faire la basse besogne du ratissage électoral frontiste. L’homme se complait dans le rôle d’ordure sans état d’âme. Il l’affirme même. Pourtant, le fiasco du débat sur l’identité nationale impose une normalisation des dérives du régime. L’épouvantail en chef. Marine Le Pen satisfera à la tâche du lissage politique d’e Besson. Vocifératrice de talent elle codirige un parti naufragé, éperonné par l’UMP en 2007. Elle n’a rien de plus à perdre.

La ficelle est grosse. Peillon décline juste avant l’algarade. Mais pour nombre de commentateurs, c’est, soit de l’aveuglement, soit de la candeur. L’aveuglement d’espérer que le professeur de philosophie déboulant après une heure de ruine intellectuelle pourra éclairer le débat. La candeur de penser qu’un tel sujet puisse être abordé décemment.

Nombre d’appels ont été signés par la gauche et des républicains pour ne pas participer à ce débat. Mais mieux que ça, Peillon l’a dynamité ! Normalement, un député de l’opposition se voit dans l’obligation de se soumettre à l’injonction journalistique. Surtout quand elle concerne un débat méphitique qui corrobore les projets électoraux du parti au pouvoir. Ne pas jouer ce jeu relève de l’hérésie.

Ce comportement déviant face aux canons de la médiasphère pourrait être incompris. Dérobade, défilement. Pourtant, le message est limpide. Peillon est un rhéteur aguerri, et il assène un argument sec : ce sujet est indiscutable !

Le parti socialiste est souvent taxé à juste titre de l’indolence sur les sujets graves. Pour une fois, V. Peillon aborde frontalement les hiérarques. En plus de piéger dans les derniers instants Chabot, il demande de surcroît sa démission. Le sujet est important, on ne lésine pas sur les valeurs.

Peillon s’est affranchi de l’obligation de servir de faire-valoir médiatique à une opération de communication gouvernementale. Il a “fui” le Spectacle purulent du débat sur la haine de l’autre. Il en a créé un autre. Car plus qu’une dérobade, c’est une réplique physique au pauvre spectacle des caniches de N. Sarkozy. L’absence est aussi une réponse forte. Et paradoxalement, c’est aussi une présence. Du débat chaotique entre deux valets de la haine, il ne reste rien sauf le signe fort d’un refus. Celui de V. Peillon.

Vogelsong – 15 janvier 2010 – Paris

Publication:

Sur Rue 89...

http://www.rue89.com/2010/01/15/apres-le-c...-a-aubry-133937

Après le clash de Peillon, Patrick de Carolis écrit à Aubry

La lettre de Carolis à Aubry...

Je vous invite à prendre le temps de lire les commentaires en dessous

il y en a de très pertinents....

Publication:

http://www2.clicanoo.com/index.php?id_arti...mp;page=article

Nicolas Sarkozy fait fermer Carrefour

Pour cause de meeting du président de la République mardi prochain, le Carrefour de Sainte-Clotilde sera fermé tout l’après-midi. L’affluence au salon de la maison n’a jamais réussi à faire baisser le rideau à la grande surface. En une seule prestation, Nicolas Sarkozy lui fait renoncer à une demi-journée de chiffre d’affaires. Chapeau l’artiste !

Avec sa bordure bleu, blanc, rouge, l’affiche a de faux airs de document officiel. Placardée sur toutes les entrées de la grande surface, elle suscitait hier des regards amusés, parfois ironiques mais souvent indignés. “Chers clients, en raison de la venue du président de la République à la Réunion, votre magasin Carrefour de Sainte-Clotilde fermera exceptionnellement ses portes le mardi 19 janvier 2010 à 14 h. Votre magasin Carrefour de Sainte-Suzanne sera heureux de vous accueillir de 8h30 à 20h30.” Bouclage de Pierrefonds une après-midi entière, obligeant les compagnies aériennes à transférer leurs passagers en bus d’un aéroport à l’autre, convocation insistante des fonctionnaires au meeting du stade de l’Est et maintenant fermeture autoritaire d’une grande surface la visite de Nicolas Sarkozy nous ramène aux grandes heures de l’époque coloniale ou de l’Etat tout puissant. En ces temps-là, qu’on espérait révolus, pour accueillir un président de la République, un premier Ministre voire un simple ministre, la préfecture n’hésitait à embrigader des fonctionnaires pour aller faire la claque à Gillot. En 1967, le préfet leur avait même octroyé une journée de congés pour aller voir se poser le vol inaugural en Boeing 707 d’Air France. Rien de changé sous les cocotiers. Le Carrefour de Sainte-Clotilde est habituellement ouvert du mardi au samedi de 8h30 à 20h30. Comment a-t-on persuadé la direction de faire une croix sur une demi-journée de chiffre d’affaires ? Le parking a-t-il été loué ? Si oui, combien ? La fermeture du magasin a-t-elle été demandée par les forces de l’ordre pour des questions de sécurité ? S’agit-il d’une initiative personnelle de la direction ?

“Tout le quartier sera bouclé”

Toutes ces questions, nous aurions aimé les poser au directeur de Carrefour. Au téléphone, il apparaît gêné et fébrile. “Je ne vois pas où est le problème. Nous sommes dans la même situation que lorsque se déroule le salon de la maison où nos parkings sont occupés par les visiteurs de la manifestation.” Certes, mais aucun salon de la maison n’a jamais entraîné ne serait-ce qu’une heure de fermeture de Carrefour. “De toute façon, s’énerve le directeur, avec le meeting au stade de l’Est, tout le quartier sera bouclé et les clients ne pourront pas accéder au magasin. C’est la raison pour laquelle nous avons pris la décision de fermer à 14h mardi prochain.” Nous n’en saurons pas plus, le directeur ayant choisi de nous raccrocher au nez prétextant une réunion. Nous le laissons volontiers à ses collaborateurs. Mardi prochain n’espérez donc pas aller remplir dans l’après-midi votre chariot à Carrefour. A défaut de faire le plein de victuailles, vous pourrez toujours aller écouter le président de la République en espérant que son discours ne sera pas trop indigeste

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OUPS...

Le Modem fait alliance avec Ségolène Royal en Charente-Maritime

Reuters

Le Mouvement démocrate (Modem) de Charente-Maritime a décidé de faire alliance dès le premier tour des élections régionales avec la socialiste Ségolène Royal, présidente sortante de la région Poitou-Charentes.

Cinq candidats du parti centriste figureront sur les listes socialistes dès le premier tour, en contradiction avec les consignes nationales de François Bayrou, président du parti centriste.

Des militants et élus du Modem opposés à cette stratégie pourraient cependant maintenir des listes autonomes du parti centriste dans les départements de la région.

Depuis la présidentielle de 2007, où elle avait vainement tenté d'obtenir le ralliement de François Bayrou entre les deux tours, Ségolène Royal a multiplié les ouvertures vers ce parti, qui est fermement opposé comme elle à Nicolas Sarkozy.

Elle a donc en partie réussi samedi dans sa région. "Nous avons voté en faveur de la main tendue", a dit aux journalistes Alexis Blanc, président du Modem de Charente-Maritime, après une réunion tendue à Rochefort.

Sur 66 conseillers départementaux Modem, 42 étaient présents, 33 ont voté, dont deux seulement contre l'alliance avec le PS. Il y a eu deux abstentions.

"Le pragmatisme a prévalu. On est tous centristes de coeur, de motivation mais aujourd'hui il est clair que nous n'avons pas les moyens de constituer une liste autonome du Mouvement démocrate au premier tour", a ajouté Alexis Blanc.

Il estime que Ségolène Royal a un bon bilan, et que ses propositions concordent avec celles du Modem local.

Le 7 janvier, François Bayrou avait fait le déplacement à Angoulême (Charente) pour tenter d'éviter une dissidence de la branche locale de son parti.

Il avait laissé la porte ouverte à une alliance pour le deuxième tour mais avait tenu à rappeler que le MoDem avait besoin "de manifester clairement son indépendance".

Alexis Blanc estime que les instances du Modem dans les trois autres départements de la Poitou-Charentes devraient adopter la même stratégie de ralliement dès le premier tour à Ségolène Royal dans les jours à venir.

Claude Canellas, édité par Nicole Dupont

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L'émission de Chabot et le débat besson-LePen aurait réuni moins de 3 millions de personnes...

selon les infos qui circulent sur le net

Un bide quoi ...

Heureusement que Peillon n'est pas venu

Au moins ça fait un buzz...

Publication:

L'émission de Chabot et le débat besson-LePen aurait réuni moins de 3 millions de personnes...

selon les infos qui circulent sur le net

Un bide quoi ...

Heureusement que Peillon n'est pas venu

Au moins ça fait un buzz...

Sans rejetter les débats télévisés , mais actuellement un débat sur l'immigration , l'identité nationale etc.....est loin d'être

un sujet mobilisateur .......présentet-il vraiment un interet d'ailleurs ?

Publication:

ça n'empêche pas Besson de continuer...

à pondre des bouzes pas possibles...

Besson va proposer une charte de droits et devoirs signée à 18 ans par chaque Français

http://www.libemarseille.fr/henry/2010/01/...n%C3%A7ais.html

Lisez les commentaires ...

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ça n'empêche pas Besson de continuer...

à pondre des bouzes pas possibles...

Besson va proposer une charte de droits et devoirs signée à 18 ans par chaque Français

http://www.libemarseille.fr/henry/2010/01/...n%C3%A7ais.html

Lisez les commentaires ...

Un véritable expert en matière de fidélité à ses engagements :)

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La dure réalité de l'économie libérale...

Vous connaissez la musique...

La musique en ligne en quête de rentabilité

LE MONDE | 15.01.10 |

Pour sauver une industrie musicale sinistrée, les pouvoirs publics ont choisi de développer le marché digital. Dans son rapport du 6 janvier, dont les conclusions ont été reprises par Nicolas Sarkozy, la mission Création et Internet propose de faire cofinancer par l'Etat une "carte musique" de paiement en ligne pour les 15-24 ans.

Au-delà de cette mesure, la mission entend viabiliser les offres des entrepreneurs du Net, qui peinent à rester rentables.

Sites de téléchargement légal ou plates-formes de streaming, ils ont pour nom Spotify, Deezer, Jiwa, WorMee, AlloMusic ou MusicMe. Depuis deux ans, ils ont connu un spectaculaire développement. Sans doute parce qu'ils essaient de concilier la boulimie musicale des internautes, leur habitude de la gratuité, le respect des droits des auteurs et des producteurs. Sur les sites de musique en streaming, l'ordinateur joue le rôle d'une radio, avec l'avantage pour l'utilisateur de pouvoir choisir gratuitement les morceaux de ses artistes et groupes préférés. Faciles d'utilisation, ces sites de plus en plus nombreux misent sur l'accès à l'écoute, alors que le téléchargement reste dans une logique de possession.

Si Spotify, société suédoise installée en Angleterre, se dégage en 2010 comme le leader mondial du genre, la France est le pays où se sont lancées le plus grand nombre d'entreprises de streaming. Sans doute parce que le pionnier du phénomène, Benoît Tersiguel et son site illégal Radio.blog.club, était français. Condamné pour "contrefaçon", il en a inspiré d'autres comme Blogmusic, converti ensuite à la légalité sous le nom de Deezer, lancé en 2007 par Jonathan Benassaya, et devenu le numéro un français avec 6,5 millions de visiteurs par mois.

Malgré ce succès, "l'activité n'est pas encore rentable", déplore Jonathan Benassaya. Difficile jusque-là pour Deezer et ses concurrents de trouver un modèle économique viable. Le premier modèle envisagé était celui de la gratuité d'accès, financée par la publicité. Sur Internet, cette manne se révèle insuffisante.

Aujourd'hui, l'ensemble de ces sites mise sur l'abonnement payant accessible sur mobile, baptisé "forfait Premium". Le principe est partout le même : pour un forfait de 9,99 euros par mois, l'abonné a accès à tout le catalogue du site, sans publicité, en qualité sonore supérieure et avec la possibilité de télécharger et d'écouter, tant que dure l'abonnement, ses "playlists" sur des supports mobiles comme le téléphone. Si les premiers résultats de cette formule semblent encourageants, l'équilibre économique de ces sites demeure très fragile. Principales raisons pointées par leurs propriétaires : le coût et la complexité de la constitution d'un catalogue de titres et le tarif des rétributions aux ayants droit.

Négocié maison de disques par maison de disques, ce contenu est payé par les sociétés de streaming sous forme d'avances annuelles aux labels, en particulier aux multinationales du disque. "Les avances demandées peuvent être énormes", estime Jean-Marc Plueger, patron du site Jiwa. "Une major peut demander plusieurs centaines de milliers d'euros pour un catalogue qui n'en rapportera que quelques dizaines de milliers la première année." Ces tarifs deviendraient un frein au bon développement de ces sociétés. "Il est difficile de lever des fonds, confirme M. Plueger, car les capital-risqueurs voient que l'argent ne sert pas à investir dans la technologie ou le personnel qualifié, mais à faire de gros chèques aux majors."

Un fonctionnement que la mission Zelnik a jugé pénalisant pour le bon développement du marché digital, au point de proposer que les droits des catalogues soient gérés de manière collective par une société civile - et non plus entre maison de disques et sites de streaming - et que ces sites soient désormais assimilés à une radio, et soumis au régime dit de la "licence légale" (accès illimité aux catalogues contre un pourcentage de leur chiffre d'affaires).

Si ces mesures ont été plébiscitées par Deezer, Jiwa et autres WorMee, les représentants des quatre majors et leur syndicat, le SNEP, ainsi que la Sacem, s'opposent vent debout à de telles propositions. "Si les sites de streaming ont eu du mal à décoller, c'est que leur premier modèle économique, celui de la publicité, n'était pas viable, conteste Pascal Nègre, le patron d'Universal Music France. Nous croyons beaucoup plus à celui de l'abonnement payant. "

Pas question en tout cas de brader les catalogues. "La gestion collective est toujours un appauvrissement de celui qui met en gestion. D'ailleurs cette solution n'est envisagée dans aucun autre pays, pourquoi toucherions-nous moins en France ? Ces start-up doivent être prêtes à perdre quelques millions pour se lancer." Ces oppositions seront matière à négociations entre tous les partenaires de la filière musique, avec, en cas d'impasse, la possibilité pour l'Etat de légiférer.

Stéphane Davet

Publication: (modifié)

Partis et médias au plus bas du « baromètre de la confiance »

http://www.rue89.com/2010/01/17/partis-pol...onfiance-134120

L'enquête du CEVIPOF

http://www.cevipof.msh-paris.fr/dossiersCe...o_principal.pdf

Modifié par Dom-trappeur
Publication:

Vincent Peillon: l'homme qui a fâché la meute des éditorialistes de l'audiovisuel

http://www.lepost.fr/article/2010/01/16/18...udiovisuel.html

Quand Alain Duhamel trouvait que la censure à la télé, c'est normal!

http://www.lepost.fr/article/2010/01/17/18...tml#xtor=AL-235

Publication:

http://fr.news.yahoo.com/63/20100118/tpl-c...pa-5cc6428.html

Comment Vincent Peillon

aurait pu passer pour un héros,

au lieu d'un... zéro

LePost

Quel gâchis! C'est ce que m'inspire l'initiative de Vincent Peillon jeudi dernier et son ostensible lapin posé à Arlette Chabot sur France-2.

Peillon est quelqu'un d'intelligent, un des rares politiques à être un vrai intellectuel, capable de débattre à un haut niveau. Mais politiquement, il est vraiment mauvais, très mauvais. Il l'a montré à plusieurs reprises, ça ne lui a valu quasiment que des déceptions électorales. Son "coup" de jeudi dernier restera dans les annales comme une de ses pires initiatives. Ceci est d'autant plus rageant qu'il avait un boulevard pour produire une scène d'anthologie à France 2. Tous les ingrédients y étaient pour qu'il ait le beau rôle de l'homme en colère, du justicier fier et impitoyable, du révolté contre le système, rôle que les Français adorent.

Rêvons un peu à ce qu'aurait pu être l'intervention du socialiste à cette émission:

Il ne fallait effectivement pas accepter les termes du débat mais préparer un long monologue, une longue colère ininterrompue.

Pour commencer, évacuer la question de l'identité nationale, dire que s'il est un pays qui n'a pas de soucis à se faire de ce coté là (contrairement au Canada ou à la Belgique par exemple,) c'est bien la France. Que le pilier de la République, c'est l'égalité de tous les citoyens. Est français celui qui a la nationalité française, point. Le reste est une affaire d'intellectuels et d'historiens, sûrement pas d'on ne sait quel gardien officiel de la "vertu nationale". Ce n'est pas à l'Etat de se poser en juge de qui est un "bon français" de qui ne l'est pas. Si l'Etat d'engouffre dans cette voie alors jusqu'ou ira-t-on ? Ouvrira-t-on des musées pour expliquer au gens comment être un "bon français" comme au pires heures de notre histoire ? Bref, tout ceci n'a aucun sens, fin du sujet.

Ensuite, il fallait mettre en accusation le gouvernement pour tentative de destruction de l'unitié nationale. Il fallait lire un florilège de propos tenus dans les fameux débats ou sur le forum du ministère tous plus abjects les uns que les autres, il fallait en lire 5, 10, 15 en y allant crescendo jusqu'à la nausée! Et démontrer ainsi que ce qu'ils nomment un "débat" n'était qu'un défouloir de haine orientée envers une seule catégorie de français, les français de culture musulmane.

Ensuite, expliquer, études des démographes et sociologues à l'appuis, que la vague d'immigration maghrébine n'avait pas eu plus de mal que les autres à s'intégrer, que c'était même tout le contraire. Il fallait rendre un vibrant hommage à ces compatriotes qui malgré les tentatives répétées de l'UMP de les stigmatiser, gardaient dignement leur sang froid. Leur dire qu'il n'y avait pas que l'UMP en France et que leur patrie leur était reconnaissante de ne pas avoir répondu à ces provocations indignes.

Ensuite, il fallait régler son compte à l'homme Besson. Frapper très fort, même en dessous de la ceinture si besoin. Il fallait le pourrir, l'humilier, le traîner plus bas que terre, le dézinguer, rappeler son parcours de traître le plus rapide de l'histoire. Dire que c'était une honte que "l'identité nationale" soit représentée par un homme qui est passé si vite de l'attaque violente à connotation xénophobe vis à vis du futur président, en toutou docile de ce dernier. Qu'il était indigne, malgré tous les hommes méritants et talentueux à droite, de promouvoir comme ministre l'incarnation même du cynisme et de l'immoralité politique.

Enfin, il fallait dire ses 4 vérités à Arlette Chabot mais en face, les yeux dans les yeux à la manière de Bayrou face à Claire Chazal. Expliquer qu'il était lamentable pour une chaîne de télévision de n'organiser à l'approche des régionales qu'un seul débat politique portant sur un sujet n'ayant rien à voir et servir ainsi la soupe à la stratégie du com du gouvernement.

Pour finir, il fallait quitter le plateau avec panache en concluant sur une petite phrase emphatique à la Clavel.

Ainsi, Peillon aurait non seulement gagné une stature de ténor de l'opposition, mais surtout tenu son rang de porte voix de ceux qui ne se reconnaissent ni dans le FN ni dans Besson, c'est à dire l'immense majorité des français y compris de droite. Il aurait pu choisir d'être Cyrano, d'avoir son lyrisme et son panache. Au lieu de cela, il a choisi d'être Scapin et d'infligé une basse fourberie à France2.

Il dit qu'il voulait créer un scandale pour éveiller les consciences, mais par la fuite, il n'a créé de scandale que dans le microcosme. Il a mis en colère une poignée de chroniqueurs et de responsables de la télé, mais les français eux, n'ont vu (enfin pour les quelques-uns qui ont regardé) qu'un invité qui s'est débiné au dernier moment, pas de quoi en faire un plat.

Quand on veut marquer les esprits, il ne faut pas oublier de faire simple. Là, cette initiative est tout à fait dans la coutume socialiste récente des prises de position baroques et incompréhensibles au premier abord nécessitant des heures d'explications alambiquées à posteriori.

Besson avait tout à perdre dans ce débat. S'il avait été un tant soit peu ébranlé, ses "petits camarades" de l'UMP n'auraient pas manqué une occasion de finir le boulot car ils le détestent et savent qu'il est le symbole de la terrible emprise psychologique qu'à Sarkozy sur ses troupes.

Peut être que Peillon n'aurait pas complètement réussi son coup en organisant cette esclandre sur le plateau, mais il aurait au moins tenté. Par ce curieux coup de l'évitement prémédité, il a complètement épargné le ministre qui par conséquent en sort grandi.

Sarko en son for intérieur doit pousser un grand "Ouf" de soulagement, et Besson peut dire un chaleureux "Merci Vincent" car maintenant, il a un boulevard pour poursuivre son ascension.

Quel gâchis!

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En lisant je me suis dit "je rêve..."

Alain Juppé refuse la présidence de la Cour des comptes

AP

Pressenti pour succéder à Philippe Séguin, Alain Juppé annonce, dans un entretien publié mardi dans "Les Echos", qu'il ne présidera pas la Cour des comptes.

"Si j'avais accepté, cela aurait impliqué que je renonce à mon mandat de maire de Bordeaux. Je ne ferai pas ça aux Bordelaises et aux Bordelais", déclare l'ancien Premier ministre.

Par ailleurs, le maire de Bordeaux critique le débat sur l'identité nationale, "quasiment terminé sans qu'il en soit sorti quelque chose de nouveau". "Derrière tout cela, la vraie question qui se pose et que l'on n'ose pas poser, c'est l'islamophobie", ajoute-t-il. "Tout ce qui peut dresser les communautés les unes contre les autres est détestable".

Alain Juppé encourage également le gouvernement à mettre en place la taxe sur les bonus des traders, dénonçant des "dérives" et des "excès". "J'espère que la taxation dont il est question en France va se concrétiser. Si on n'arrive pas à se faire entendre des banques, je pense qu'il faudra aller plus loin au Parlement". AP

Publication:

Alain Juppé encourage également le gouvernement à mettre en place la taxe sur les bonus des traders, dénonçant des "dérives" et des "excès". "J'espère que la taxation dont il est question en France va se concrétiser. Si on n'arrive pas à se faire entendre des banques, je pense qu'il faudra aller plus loin au Parlement".

Rhàààà, s'il avait pu tenir ce genre de discours en 95 !..... :D

Publication:

http://fr.news.yahoo.com/63/20100118/tpl-c...pa-5cc6428.html

Comment Vincent Peillon

aurait pu passer pour un héros,

au lieu d'un... zéro

LePost

Quel gâchis! C'est ce que m'inspire l'initiative de Vincent Peillon jeudi dernier et son ostensible lapin posé à Arlette Chabot sur France-2.

Peillon est quelqu'un d'intelligent, un des rares politiques à être un vrai intellectuel, capable de débattre à un haut niveau. Mais politiquement, il est vraiment mauvais, très mauvais. Il l'a montré à plusieurs reprises, ça ne lui a valu quasiment que des déceptions électorales. Son "coup" de jeudi dernier restera dans les annales comme une de ses pires initiatives. Ceci est d'autant plus rageant qu'il avait un boulevard pour produire une scène d'anthologie à France 2. Tous les ingrédients y étaient pour qu'il ait le beau rôle de l'homme en colère, du justicier fier et impitoyable, du révolté contre le système, rôle que les Français adorent.

Rêvons un peu à ce qu'aurait pu être l'intervention du socialiste à cette émission:

Il ne fallait effectivement pas accepter les termes du débat mais préparer un long monologue, une longue colère ininterrompue.

Pour commencer, évacuer la question de l'identité nationale, dire que s'il est un pays qui n'a pas de soucis à se faire de ce coté là (contrairement au Canada ou à la Belgique par exemple,) c'est bien la France. Que le pilier de la République, c'est l'égalité de tous les citoyens. Est français celui qui a la nationalité française, point. Le reste est une affaire d'intellectuels et d'historiens, sûrement pas d'on ne sait quel gardien officiel de la "vertu nationale". Ce n'est pas à l'Etat de se poser en juge de qui est un "bon français" de qui ne l'est pas. Si l'Etat d'engouffre dans cette voie alors jusqu'ou ira-t-on ? Ouvrira-t-on des musées pour expliquer au gens comment être un "bon français" comme au pires heures de notre histoire ? Bref, tout ceci n'a aucun sens, fin du sujet.

Ensuite, il fallait mettre en accusation le gouvernement pour tentative de destruction de l'unitié nationale. Il fallait lire un florilège de propos tenus dans les fameux débats ou sur le forum du ministère tous plus abjects les uns que les autres, il fallait en lire 5, 10, 15 en y allant crescendo jusqu'à la nausée! Et démontrer ainsi que ce qu'ils nomment un "débat" n'était qu'un défouloir de haine orientée envers une seule catégorie de français, les français de culture musulmane.

Ensuite, expliquer, études des démographes et sociologues à l'appuis, que la vague d'immigration maghrébine n'avait pas eu plus de mal que les autres à s'intégrer, que c'était même tout le contraire. Il fallait rendre un vibrant hommage à ces compatriotes qui malgré les tentatives répétées de l'UMP de les stigmatiser, gardaient dignement leur sang froid. Leur dire qu'il n'y avait pas que l'UMP en France et que leur patrie leur était reconnaissante de ne pas avoir répondu à ces provocations indignes.

Ensuite, il fallait régler son compte à l'homme Besson. Frapper très fort, même en dessous de la ceinture si besoin. Il fallait le pourrir, l'humilier, le traîner plus bas que terre, le dézinguer, rappeler son parcours de traître le plus rapide de l'histoire. Dire que c'était une honte que "l'identité nationale" soit représentée par un homme qui est passé si vite de l'attaque violente à connotation xénophobe vis à vis du futur président, en toutou docile de ce dernier. Qu'il était indigne, malgré tous les hommes méritants et talentueux à droite, de promouvoir comme ministre l'incarnation même du cynisme et de l'immoralité politique.

Enfin, il fallait dire ses 4 vérités à Arlette Chabot mais en face, les yeux dans les yeux à la manière de Bayrou face à Claire Chazal. Expliquer qu'il était lamentable pour une chaîne de télévision de n'organiser à l'approche des régionales qu'un seul débat politique portant sur un sujet n'ayant rien à voir et servir ainsi la soupe à la stratégie du com du gouvernement.

Pour finir, il fallait quitter le plateau avec panache en concluant sur une petite phrase emphatique à la Clavel.

Ainsi, Peillon aurait non seulement gagné une stature de ténor de l'opposition, mais surtout tenu son rang de porte voix de ceux qui ne se reconnaissent ni dans le FN ni dans Besson, c'est à dire l'immense majorité des français y compris de droite. Il aurait pu choisir d'être Cyrano, d'avoir son lyrisme et son panache. Au lieu de cela, il a choisi d'être Scapin et d'infligé une basse fourberie à France2.

Il dit qu'il voulait créer un scandale pour éveiller les consciences, mais par la fuite, il n'a créé de scandale que dans le microcosme. Il a mis en colère une poignée de chroniqueurs et de responsables de la télé, mais les français eux, n'ont vu (enfin pour les quelques-uns qui ont regardé) qu'un invité qui s'est débiné au dernier moment, pas de quoi en faire un plat.

Quand on veut marquer les esprits, il ne faut pas oublier de faire simple. Là, cette initiative est tout à fait dans la coutume socialiste récente des prises de position baroques et incompréhensibles au premier abord nécessitant des heures d'explications alambiquées à posteriori.

Besson avait tout à perdre dans ce débat. S'il avait été un tant soit peu ébranlé, ses "petits camarades" de l'UMP n'auraient pas manqué une occasion de finir le boulot car ils le détestent et savent qu'il est le symbole de la terrible emprise psychologique qu'à Sarkozy sur ses troupes.

Peut être que Peillon n'aurait pas complètement réussi son coup en organisant cette esclandre sur le plateau, mais il aurait au moins tenté. Par ce curieux coup de l'évitement prémédité, il a complètement épargné le ministre qui par conséquent en sort grandi.

Sarko en son for intérieur doit pousser un grand "Ouf" de soulagement, et Besson peut dire un chaleureux "Merci Vincent" car maintenant, il a un boulevard pour poursuivre son ascension.

Quel gâchis!

bigbisous Très bonne réflexion. Et en effet, quel gâchis.

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