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Le Web des Cheminots

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http://fr.news.yahoo.com/63/20100118/tpl-c...pa-5cc6428.html

Comment Vincent Peillon

aurait pu passer pour un héros,

au lieu d'un... zéro

LePost

Quel gâchis! C'est ce que m'inspire l'initiative de Vincent Peillon jeudi dernier et son ostensible lapin posé à Arlette Chabot sur France-2.

Peillon est quelqu'un d'intelligent, un des rares politiques à être un vrai intellectuel, capable de débattre à un haut niveau. Mais politiquement, il est vraiment mauvais, très mauvais. Il l'a montré à plusieurs reprises, ça ne lui a valu quasiment que des déceptions électorales. Son "coup" de jeudi dernier restera dans les annales comme une de ses pires initiatives. Ceci est d'autant plus rageant qu'il avait un boulevard pour produire une scène d'anthologie à France 2. Tous les ingrédients y étaient pour qu'il ait le beau rôle de l'homme en colère, du justicier fier et impitoyable, du révolté contre le système, rôle que les Français adorent.

Rêvons un peu à ce qu'aurait pu être l'intervention du socialiste à cette émission:

Il ne fallait effectivement pas accepter les termes du débat mais préparer un long monologue, une longue colère ininterrompue.

Pour commencer, évacuer la question de l'identité nationale, dire que s'il est un pays qui n'a pas de soucis à se faire de ce coté là (contrairement au Canada ou à la Belgique par exemple,) c'est bien la France. Que le pilier de la République, c'est l'égalité de tous les citoyens. Est français celui qui a la nationalité française, point. Le reste est une affaire d'intellectuels et d'historiens, sûrement pas d'on ne sait quel gardien officiel de la "vertu nationale". Ce n'est pas à l'Etat de se poser en juge de qui est un "bon français" de qui ne l'est pas. Si l'Etat d'engouffre dans cette voie alors jusqu'ou ira-t-on ? Ouvrira-t-on des musées pour expliquer au gens comment être un "bon français" comme au pires heures de notre histoire ? Bref, tout ceci n'a aucun sens, fin du sujet.

Ensuite, il fallait mettre en accusation le gouvernement pour tentative de destruction de l'unitié nationale. Il fallait lire un florilège de propos tenus dans les fameux débats ou sur le forum du ministère tous plus abjects les uns que les autres, il fallait en lire 5, 10, 15 en y allant crescendo jusqu'à la nausée! Et démontrer ainsi que ce qu'ils nomment un "débat" n'était qu'un défouloir de haine orientée envers une seule catégorie de français, les français de culture musulmane.

Ensuite, expliquer, études des démographes et sociologues à l'appuis, que la vague d'immigration maghrébine n'avait pas eu plus de mal que les autres à s'intégrer, que c'était même tout le contraire. Il fallait rendre un vibrant hommage à ces compatriotes qui malgré les tentatives répétées de l'UMP de les stigmatiser, gardaient dignement leur sang froid. Leur dire qu'il n'y avait pas que l'UMP en France et que leur patrie leur était reconnaissante de ne pas avoir répondu à ces provocations indignes.

Ensuite, il fallait régler son compte à l'homme Besson. Frapper très fort, même en dessous de la ceinture si besoin. Il fallait le pourrir, l'humilier, le traîner plus bas que terre, le dézinguer, rappeler son parcours de traître le plus rapide de l'histoire. Dire que c'était une honte que "l'identité nationale" soit représentée par un homme qui est passé si vite de l'attaque violente à connotation xénophobe vis à vis du futur président, en toutou docile de ce dernier. Qu'il était indigne, malgré tous les hommes méritants et talentueux à droite, de promouvoir comme ministre l'incarnation même du cynisme et de l'immoralité politique.

Enfin, il fallait dire ses 4 vérités à Arlette Chabot mais en face, les yeux dans les yeux à la manière de Bayrou face à Claire Chazal. Expliquer qu'il était lamentable pour une chaîne de télévision de n'organiser à l'approche des régionales qu'un seul débat politique portant sur un sujet n'ayant rien à voir et servir ainsi la soupe à la stratégie du com du gouvernement.

Pour finir, il fallait quitter le plateau avec panache en concluant sur une petite phrase emphatique à la Clavel.

Ainsi, Peillon aurait non seulement gagné une stature de ténor de l'opposition, mais surtout tenu son rang de porte voix de ceux qui ne se reconnaissent ni dans le FN ni dans Besson, c'est à dire l'immense majorité des français y compris de droite. Il aurait pu choisir d'être Cyrano, d'avoir son lyrisme et son panache. Au lieu de cela, il a choisi d'être Scapin et d'infligé une basse fourberie à France2.

Il dit qu'il voulait créer un scandale pour éveiller les consciences, mais par la fuite, il n'a créé de scandale que dans le microcosme. Il a mis en colère une poignée de chroniqueurs et de responsables de la télé, mais les français eux, n'ont vu (enfin pour les quelques-uns qui ont regardé) qu'un invité qui s'est débiné au dernier moment, pas de quoi en faire un plat.

Quand on veut marquer les esprits, il ne faut pas oublier de faire simple. Là, cette initiative est tout à fait dans la coutume socialiste récente des prises de position baroques et incompréhensibles au premier abord nécessitant des heures d'explications alambiquées à posteriori.

Besson avait tout à perdre dans ce débat. S'il avait été un tant soit peu ébranlé, ses "petits camarades" de l'UMP n'auraient pas manqué une occasion de finir le boulot car ils le détestent et savent qu'il est le symbole de la terrible emprise psychologique qu'à Sarkozy sur ses troupes.

Peut être que Peillon n'aurait pas complètement réussi son coup en organisant cette esclandre sur le plateau, mais il aurait au moins tenté. Par ce curieux coup de l'évitement prémédité, il a complètement épargné le ministre qui par conséquent en sort grandi.

Sarko en son for intérieur doit pousser un grand "Ouf" de soulagement, et Besson peut dire un chaleureux "Merci Vincent" car maintenant, il a un boulevard pour poursuivre son ascension.

Quel gâchis!

Dom a la pêche .....

I

I

koiquesse

C'est le chouchen ?

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2 millions d'euros par an... Soit, 166 667 € par mois. Il a de quoi se payer un petit pavillon en campagne tous les mois... A-t-on encore conscience de ce que représente l'argent quand on touche de telles sommes ? J'en doute...

Gom

Publication: (modifié)

2 millions d'euros par an... Soit, 166 667 € par mois. Il a de quoi se payer un petit pavillon en campagne tous les mois... A-t-on encore conscience de ce que représente l'argent quand on touche de telles sommes ? J'en doute...

Gom

Salut gomen,

je pense qu'ils en ont concience, et plainement en plus, cela leur permet de s'afficher en winer du peuple, et de nous regarder en disant: Vous êtes que des sous hommes, faites ce que je vous dis, sinon.......................

Je sais, c'est une réflexion très moyenageuse, mais sous couvert de cette satanée républic empreinte de démocratie, qu'a t'on de plus que les cerfs cultivant le blé des rois?

Modifié par Rail cassé
Publication:

2 millions d'euros par an... Soit, 166 667 € par mois. Il a de quoi se payer un petit pavillon en campagne tous les mois... A-t-on encore conscience de ce que représente l'argent quand on touche de telles sommes ? J'en doute...

Gom

ouai mais c'est pas un petit pavillon de banlieue qu'il se paye avec son salaire annuel auquel il faudra ajouter les produits de placement...

tiens 2.000.000 d'euros par an pour lui

ça représente 400 trimestres de pensions pour moi soit 100 ans de retraite ... 1 siècle

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ouai mais c'est pas un petit pavillon de banlieue qu'il se paye avec son salaire annuel auquel il faudra ajouter les produits de placement...

tiens 2.000.000 d'euros par an pour lui

ça représente 400 trimestres de pensions pour moi soit 100 ans de retraite ... 1 siècle

Salut Dom, m'ouaip! mais à ce régime, on partira à la retraite à 165 ans koiquessenonmais voir 170. mdrmdr

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Lilian Thuram appelle à une "République multiculturelle"

Reuters

En plein débat sur l'identité nationale, l'ancien international de football Lilian Thuram et quatre personnalités ont lancé un appel en faveur d'une "République multiculturelle et post-raciale".

Un an après l'élection de Barack Obama, les signataires estiment que la France refuse toujours de reconnaître sa dimension multiculturelle.

Ils ont donc présenté mercredi lors d'une conférence de presse 100 propositions visant à faire en sorte que le pays ne reste pas avec une "Assemblée monocolore, des médias monocolores et des conseils d'administration monocolores".

"Il faut dépasser la couleur de peau", a dit Lilian Thuram, accompagné de François Durpaire et Pascal Blanchard, tous deux historiens, Rokhaya Diallo, de l'association Les Indivisibles, et Marc Cheb Sun, directeur de la Rédaction de Respect Magazine.

Cette initiative avait été amorcée après la victoire de Barack Obama, alors que le gouvernement n'envisageait pas encore de lancer son débat contesté sur l'identité nationale.

Elle n'en constitue pas moins un pavé dans la mare pour le ministre de l'Immigration, Eric Besson, accusé par la gauche de chercher à séduire l'électoral du Front national.

"Cette société est une société des mélanges. Que les députés et les présidents de sociétés prennent le métro le matin", a exhorté Pascal Blanchard.

Prié de dire si la France était raciste, Lilian Thuram, 38 ans, a répondu qu'elle était "une société où il y a des préjugés racistes".

"Il y a des problèmes, il ne faut pas s'en cacher", a dit l'ex-international né en Guadeloupe, qui est membre du Haut conseil à l'intégration depuis 2002.

"DES ENNEMIS INTÉRIEURS"

Lilian Thuram, qui a récemment révélé avoir refusé d'entrer au sein d'un "gouvernement Sarkozy", a multiplié ces dernières années les critiques envers le chef de l'Etat.

Il l'avait notamment accusé en 2007 de "tenir un discours raciste" et de "banaliser le discours du Front national" après avoir protesté en 2005 contre sa volonté de "nettoyer au Kärcher" certains quartiers de banlieue.

"Inconsciemment, des personnes sont vues comme des ennemis intérieurs. Pourquoi? C'est le fruit de l'Histoire et il faut déconstruire cette Histoire qui nous amène à avoir les préjugés que nous avons", a-t-il expliqué mercredi.

Pour appuyer son propos, Lilian Thuram a cité un sondage de l'institut LH2 Sport montrant que 55% des Français pensent qu'il y a plusieurs races, 22% qu'il y a six races et la majorité qu'elles sont déterminées par la couleur de peau.

Pour l'ancien champion, cette "notion de race" est la clef du problème, raison pour laquelle il prône un intense travail d'éducation, en particulier sur l'Histoire.

Il explique ainsi que ce sont des scientifiques du XIXe siècle "qui ont établi ces prétendues races en établissant une hiérarchisation où l'homme blanc était supérieur et l'homme noir le chaînon manquant avec l'animal".

Selon lui, ces préjugés polluent la lecture de l'actualité et des problèmes sociaux, comme ceux de l'an dernier en Outre-mer.

Les 100 propositions présentées mercredi émanent toutes de personnalités différentes. Il s'agit de "petites solutions" visant à aider à "reconfigurer la République dans le sens du mieux-vivre ensemble."

"De la mauvaise question qu'Eric Besson a posée, 80% des réponses sont ici", a dit Pascal Blanchard.

Pour les auteurs de l'appel, dans un état de droit, "la nationalité est un statut juridique" et un "Français n'a pas à se sentir français, il l'est".

Ils insistent, parmi les propositions, sur les contrôles d'identité, un rapport de 2008 ayant montré que les policiers ciblaient "six à huit fois plus les Noirs et les Arabes".

Selon eux, l'objectif assigné aux forces de l'ordre d'expulser 27.000 étrangers en situation irrégulière par an les poussent à abuser des contrôles.

Ils proposent donc que le citoyen contrôlé reçoive obligatoirement une attestation où figure le matricule du policier, ce qui permettrait d'identifier les auteurs des pratiques abusives.

Gérard Bon, édité par Yves Clarisse

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je ne sais pas s'il ne faudrait pas ouvrir un nouveau sujet sur les annonces (hameçonnage?) ,puis les démentis ,et enfin la la mise en place de ces annonces ,par le gouvernement !

exemple Proglio !

mais la m^me chose se précise pour EDF l'annonce :

http://www.liberation.fr/terre/0101614793-...de-consommation

le démenti

http://www.leparisien.fr/economie/estrosi-...2010-786201.php

en attendant la suite ..........................................

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Vive la démocratie représentative...

Débats suspendus à l'Assemblée faute de députés de la majorité

Reuters

Les débats ont été suspendus pendant de longues heures vendredi à l'Assemblée nationale en raison de l'absence totale de députés de la majorité.

Les députés devaient poursuivre l'examen du projet de loi sur la concomitance des renouvellements des conseils généraux et des conseils régionaux en mars 2014 et une première suspension de séance a été demandée par le groupe socialiste.

"Une nouvelle fois, l'UMP brille par son absentéisme. Le désastre UMP continue", a déclaré Bruno Le Roux, porte-parole du groupe socialiste, radical et citoyen (SRC), avant de réclamer une nouvelle et plus longue suspension de séance.

Le rapporteur du projet de loi, l'UMP Dominique Perben, assis au banc de la commission, a expliqué cet absentéisme par le fait que le groupe PS a déposé 5.200 amendements sur un texte qui compte deux articles. "Vous êtes l'arroseur arrosé", a-t-il lancé à l'adresse de l'élu socialiste.

Mais l'examen de ces nombreux amendements devrait tourner court puisque le nouveau règlement permet de limiter drastiquement le temps de paroles des différents groupes.

A l'issue d'une interruption de deux heures, il n'y avait toujours pas de député de la majorité dans l'hémicycle, ce qui a provoqué une nouvelle suspension de séance.

Pour éviter toute mauvaise surprise et voir des amendements de l'opposition adoptés, le gouvernement est donc une nouvelle fois forcé d'utiliser des procédures contraignantes comme la réserve ou le vote bloqué.

Un vote solennel sur l'ensemble du projet de loi est prévu mardi prochain après la séance de questions au gouvernement.

"Le Parlement est dévitalisé et méprisé. La mise en oeuvre de la nouvelle Constitution et du nouveau règlement se révèle jour après jour une catastrophe pour la démocratie", a déclaré Bruno Le Roux dans un communiqué.

Emile Picy, édité par Yves Clarisse

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C'est la baston...

Nouvelle escarmouche entre Vincent Peillon et France Télévisions

Reuters

Vincent Peillon, qui avait boycotté le 14 janvier un débat sur France 2 avec Eric Besson et Marine Le Pen, revient à la charge contre France Télévisions en dénonçant "la servilité" de "certains dirigeants" du groupe.

L'eurodéputé socialiste avait faux bon à la dernière minute à la chaîne de télévision publique, exprimant son refus de cautionner un débat sur l'identité nationale dans le cadre de l'émission "A vous de juger". Il avait demandé la démission, notamment, d'Arlette Chabot, directrice générale adjointe de France Télévisions.

"Les rédactions font ce qu'elles peuvent, mais la perspective de la nomination du président du service public par le président de la République exerce déjà une pression sur leur travail et favorise la servilité de certains dirigeants", déclare Vincent Peillon dans Le Monde daté des 24 et 25 janvier.

Dénonçant des "propos injurieux et mensongers", la direction de France Télévisions a déclaré samedi dans un communiqué que "l'appel à la démission des principaux dirigeants du service public de la télévision ainsi que l'accusation scandaleuse de 'servilité' sont indignes de responsables politiques".

"Ce ne sont pas de simples journalistes. Ce sont les dirigeants du service public et les responsables de cette programmation, contestée aussi par de nombreux journalistes", insiste Vincent Peillon dans son interview au Monde.

L'eurodéputé appelle en outre à une réforme du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qui avait critiqué son coup d'éclat tout comme les dirigeants de France Télévisions et nombre de ses camarades socialistes.

"UN MENSONGE SUPPLÉMENTAIRE"

"Il faudra aussi réformer le CSA pour le rendre indépendant et pluraliste, assurer, comme dans d'autres pays européens, des ressources stables au service public et à la presse qui ne passent pas par les cabinets de ministres".

"Une vraie loi anticoncentrationnaire est aussi indispensable", ajoute-t-il.

L'eurodéputé relève que la France est aujourd'hui 43e dans le classement de Reporters sans frontières sur la liberté de la presse alors qu'elle était 11e en 2002.

Vincent Peillon revient sur les circonstances de son esclandre et réaffirme, en contradiction avec France Télévisions, qu'il n'avait pas été prévenu "que le débat serait organisé autour d'Eric Besson", ministre de l'Immigration.

"C'est Arlette Chabot qui finira par m'apprendre le déroulé, le jour même du débat à 11h25", dit-il.

Stigmatisant le débat sur l'identité nationale - "un débat qui fait honte à la France" -, il met en cause France Télévisions pour avoir organisé "sept émissions sur neuf (...) aux heures de grande écoute" sur ce débat. "Il faut arrêter cela".

"Un mensonge supplémentaire et inacceptable", répond France Télévisions dans son communiqué.

"Depuis dix jours, Vincent Peillon multiplie les versions contradictoires sur les conditions et les modalités de sa participation à l'émission 'A vous de juger' du 14 janvier 2010", ajoute le groupe.

Sophie Louet

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tiens tiens

http://www.lepost.fr/article/2010/01/23/19...de-service.html

étonnant ? non? !

par contre notre "haricot" nationnal n'est pas inquiet lui !

http://www.lepost.fr/article/2010/01/23/19...tml#xtor=RSS-30

j'espère qu'il à sa carte d'identité à jour !

voir ici "http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/politique/20100117.FAP3079/avec_ses_lois_sarkozy_ne_pourrait_pas_etre_francais__me.html "

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Pouhaaaaaaa! Apartenir au " club France ". Mort de rire, c'est bien un truc de bourge ça.

Nous on fait quoi dans ce club, on coupe les citrons pour ces pros de la connerie?

Quand à Faudel, il comme tant d'autre qui se sont crus au dessus de la mélée en s'afichants de la sorte, qui à oublier d'où ils viennaient.

Aujourd'hui, ils prennent une grande claque dans la gueule, tant mieux, ça va finir de les réveiller.

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Le retour des sondages...

L'Ifop prévoit une poussée de la gauche aux régionales

Reuters

La gauche réaliserait une poussée aux élections régionales avec 51% des intentions de vote, contre 36,5% pour la droite et l'extrême droite réunies, selon le baromètre Ifop pour Paris Match.

Les 12,5% restants iraient aux centristes du MoDem (6,5%), à l'Alliance écologiste indépendante (2%) et à divers listes (4%).

Pour l'institut, ce rapport de forces est encore plus défavorable à la droite que lors des régionales de 2004, quand la gauche avait remporté 20 régions métropolitaines sur 22.

Avec 27% des intentions de vote, le Parti Socialiste - bénéficiant désormais de la légitimité de Martine Aubry - semble en mesure d'effacer sa déconvenue des dernières élections européennes, souligne l'Ifop.

Surtout, le PS reprend un net avantage au sein de la gauche sur les listes Europe Ecologie (13%), en retrait par rapport à leur résultat du dernier scrutin européen.

Au sein de la gauche radicale, la liste du Front de gauche obtiendrait 5%, devant celle du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot (3%) et Lutte ouvrière (2%).

Des listes d'alliance du NPA et du Parti de gauche dans plusieurs régions obtiendraient 1%.

Dans ce contexte, "la situation de la majorité présidentielle apparaît très malaisée", estime l'institut.

Avec 27% d'intentions de vote, l'UMP obtient un score inférieur de 4 points au socle électoral de Nicolas Sarkozy le 22 avril 2007.

En outre, elle se heurte à deux difficultés liées à la perspective du second tour : les très insuffisantes réserves de voix dont elle pourrait bénéficier le 21 mars et la capacité du Front National - fort de 8.5% d'intentions de vote - à se maintenir dans une dizaine de régions.

Ce sondage a été réalisé les 21 et 22 janvier auprès d'un échantillon de 853 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Gérard Bon, édité par Sophie Louet

Publication: (modifié)

Le retour des sondages...

La dernière fois que j'ai été sondé ce fut pour une coloscopie..................si on me cherche , j'suis parti !

!

Modifié par MarcM
Publication:

Où on apprend des choses intéressantes...

Ben c'est nous qui payons quand même...

La gauche boycotte la conférence sur les déficits français

Reuters

La conférence sur les déficits français s'ouvrira jeudi en l'absence des élus locaux de gauche, qui portent ainsi un coup à l'ambition gouvernementale de parvenir à un consensus sur la réduction des dépenses publiques.

Les maires socialistes, ainsi que l'Association des régions de France (ARF) et l'Association des départements de France (ADF), toutes deux présidées par des élus PS, ont annoncé mercredi qu'ils boycotteraient cette réunion qu'ils considèrent comme une manoeuvre électorale de Nicolas Sarkozy.

Le gouvernement a souvent pointé du doigt la responsabilité des collectivités locales dans l'augmentation des déficits, alors que ces dernières estiment que l'exécutif leur a transféré des responsabilités qu'elles doivent désormais financer.

Alain Rousset, président de l'ARF, a justifié sa décision de boycottage par la responsabilité que porte selon lui le gouvernement dans la dérive des déficits. Vingt des 22 régions métropolitaines de France sont dirigées par des socialistes.

"D'abord les budgets des collectivités locales sont à l'équilibre et l'endettement des régions est extrêmement faible", a-t-il déclaré à Reuters. "D'autre part, l'Etat est aujourd'hui le principal responsable de la confusion des financements croisés des politiques publiques."

"Le déficit vient des dépenses de relance mais surtout des choix fiscaux du gouvernement, plus 23 milliards d'euros de niches fiscales depuis 2002", a-t-il ajouté.

"DIAGNOSTIC PARTAGÉ"

Claudy Lebreton, président de l'ADF, qui représente 102 départements, dont 58 dirigés par la gauche et 44 par la droite, a déploré la politique du gouvernement français.

"Au total, l'Etat nous doit environ 8 milliards d'euros", a-t-il dit. "L'exercice de la chaise vide n'est pas un exercice facile, mais j'assume."

Le socialiste André Laignel, secrétaire général de l'Association des maires de France (AMF) et maire d'Issoudun (Indre), lui a emboîté le pas, mais les maires faisant partie de la majorité présidentielle devraient être présents.

"Vouloir associer les collectivités territoriales à une conférence sur le déficit de la France, et ainsi faire croire qu'elles seraient concernées et en porteraient une part de responsabilité, ceci relève, de la part de M. Sarkozy, d'une volonté (...) de désinformation, de dénigrement (...) et d'une volonté de mise en tutelle financière des collectivités locales", a déclaré André Laignel dans un communiqué.

Pour lui, cette conférence est "une médiocre manoeuvre électorale et un rideau de fumée sur une réalité à l'évidence grave: le déficit de l'Etat de plus de 141 milliards pour 2009 et dont M. Sarkozy et son gouvernement portent l'entière responsabilité", conclut le secrétaire général de l'AMF.

Jacques Pélissard, président UMP de l'Associations des maires de France, n'entend toutefois pas boycotter la réunion.

"Nous sommes partenaires de l'Etat. Il est normal que nous soyons partie du diagnostic et des éventuelles préconisations mais je redirai que nous ne sommes pas responsables du déficit et que nous ne pouvons pas continuer à subir les décisions nationales en matière de normes", a-t-il dit à Reuters.

L'Elysée s'est refusé à tout commentaire sur ce boycott.

Le président français a émis l'espoir que cette conférence débouche sur un "diagnostic partagé" par tous les acteurs de la dépense publique - Etat, collectivités locales, Sécurité sociale -, pour les placer ensuite devant leurs responsabilités.

Elle intervient au moment où la France s'est engagée auprès des instances européennes à ramener sous 3% d'ici 2013 un déficit public qui devrait culminer à 8,2% du PIB en 2010, soit cinq points de plus qu'au début de la crise.

Nicolas Sarkozy a exclu par avance toute hausse des impôts. Selon le ministre du Budget, Eric Woerth, la croissance économique devrait contribuer pour moitié aux 100 milliards d'euros nécessaires pour y parvenir mais le reste de l'effort devra être réalisé en réduisant les dépenses.

Emmanuel Jarry, avec Mourad Guichard, édité par Yves Clarisse

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Le naturel revient au galop...

Nicolas Sarkozy: "Nous sauverons le capitalisme en le moralisant"

LePost

Pour l’ouverture du forum économique mondial de Davos (Suisse), Nicolas Sarkozy a ressorti ses critiques contre le capitalisme financier. Reprenant des thèmes qu’il abordait lors de l’éclatement de la crise, Nicolas Sarkozy a affirmé que « c’est notre vison du monde qu’il faut corriger », dénonçant les « exigences exorbitantes de rendement » comme « l’immédiateté ». Constatant qu’« en déréglementant à l’excès, nous avons eu les dumpings », il appelle à en « en finir avec un système sans règles » et demande « un nouveau Bretton Woods » et « une réforme du système monétaire international ».

S’il souligne qu’« il n’y aucune solution dans l’anticapitalisme », qu’« aucun système autre » n’est possible, Nicolas Sarkozy ajoute aussitôt : « Mais nous sauverons (le capitalisme) en le refondant. Oserais-je le mot, en le moralisant ».

«Il y a des comportements indécents qui ne seront plus tolérés dans l’opinion publique », prévient le chef de l’Etat : des « profits excessifs qui ne seront plus acceptés », des « rémunérations qui ne seront plus supportées car elles seront sans rapport avec le mérite. Mais que celui qui crée des emplois puisse gagner beaucoup d’argent, ça n’a rien de choquant », dit-il.

Faisant référence à l’affaire Kerviel, du nom de ce trader de la Société générale qui a été à l’origine d’une perte énorme pour sa banque, Nicolas Sarkozy a lancé : « Il y a un président d’une grande banque française, dont j’ai souhaité la démission. (…) Il n’est pas normal qu’une personne puisse rester en place » dans ces conditions.

Invité
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