Invité Gnafron 1er Publication: 14 décembre 2012 Partager Publication: 14 décembre 2012 Il me semble qu'à une époque sur Roanne, nous avions presqu'une équivalence .... mais il me semble que Gnafron avait déjà rejoint la "montagne" . Oui mais vous aviez 3 Gros ...w o ua r f ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité 5121 Publication: 14 décembre 2012 Partager Publication: 14 décembre 2012 2 eme feuille ligne 5............ à Laroche Pas les moyens d'aller chez le z'yeutiste ? ça, j'avais vu, mais de jour, entre deux messageries assez courts et un bon RHR en perspective à Chalon, au lieu d'une piaule, on a plutôt cherché un troquet ... ce n'est pas ça qui manquait là-bas à cette époque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité jackv Publication: 19 décembre 2012 Partager Publication: 19 décembre 2012 (modifié) Juste en passant .Trouver cela avec cette "curiosité " aux 4 éme et 5 éme lignes : Sur une amplitude de travail de 24 h , 2 RHR consécutifs et c'étaient des CRA,et des CRAP, pas des mécaniciens...(l'équivalent d'un T3 lors de la simplification de la filiére) Modifié 19 décembre 2012 par jackv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gnafron 1er Publication: 19 décembre 2012 Partager Publication: 19 décembre 2012 et c'étaient des CRA, pas des mécaniciens...(l'équivalent d'un T3 lors de la simplification de la filiére) En UM , donc des CRACRA ....w o u a r f ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité JLChauvin Publication: 19 décembre 2012 Partager Publication: 19 décembre 2012 En UM , donc des CRACRA ....w o u a r f ! En jumelage, Gnafron, en jumelage, les autorails de l'époque se mettaient en jumelage, avec les codes de jumelage qui cassait si bien les oreilles, fallait bien çà pour couvrir le bruit du moteur à côté duquel on était assis! Mon premier train en double aux autorails, un jumelage de 3 RGP2 avec six moteurs, six boites de vitesse et 3 conducteurs... chacun vivant un peu sa propre vie Mais bon en 82 il n'y avait déjà plus de CRA, sinon ce fut été CRACRACRA :Smiley_41: 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PN407 Publication: 19 décembre 2012 Partager Publication: 19 décembre 2012 (modifié) L'annotation service difficile semble etre une tradition héritée du PLM, présentes sur les régions 5 et 6 de la SNCF jusqu'au début des années 60. Il y avait 4 types de roulements: normal, moyen, difficile, particulierement difficile. Un roulement particulierement difficile, c'était un roulement qui comportait essentiellement des trains lourds, sur un profil difficile avec une marche tendue. Les conditions de travail autres, nuits, coupures, parcours kilometriques s'ils rentrent en ligne de compte ne semblent pas etre préponderants. L'annotation "service difficile" existait aussi sur le Sud Ouest. Les roulements vapeur de Montluçon et Ussel étaient "Service difficile", avec mécaniciens passés par un stage dit "Ecole des services difficiles". Les critères étaient ceux que tu dis. Ne pas oublier que la puissance de la loc se fabriquait à l'huile de coude du chauffeur, que de toute façons elle n'était pas immense (4 voitures pour une 141TA en US au "parisien"), les voitures exPO étaient moins bonnes rouleuses que les Corail, l'adhérence pouvait être vite limite dans certains coins humides, il fallait tirer parti du moindre profil un peu plus favorable, avoir une bonne idée des réglages de la machine (tirer le meilleur parti du "gaz" sans crever inutilement le compagnon chauffeur et faire chuter inutilement le niveau d'eau, yen a qui se sont fait peur). Côté Méditerranée,monter à 40km/h vers La Bastide le 1116 Nîmes Paris, çà peut faire sourire aujourd'hui, mais c'était "tendu", çà voulait dire conduire et chauffer de façon continue pendant 1h30 environ sous les nombreux tunnels et la météo du coin en hiver dans les intervalles. Le pire était bien sûr sur la deuxième loc en double traction (périodes de retours scolaires), avec deux rabattements de fumée/vapeur à fort tirage dans les tunnels, les yeux qui piquent, le vent glacé dans le dos en nage et la chaleur du foyer côté visage : un vrai bonheur pour le jeune "touriste participant" que j'étais aux débuts et rentrées de vacances scolaires (appareil respiratoire du pauvre : serviette mouillée et gourde), mais sûrement pas pour ceux qui devaient le faire tous les jours. Difficile, çà voulait dire difficile, réflexion professionnelle et effort physique. une pensée pour ceux qui m'ont formé à la chauffe en rampe (c'est prescrit :-) En plus, dans les années 60, il restait des foyers en (petit) dortoir commun ou avec chambres à deux lits, et des "vieux vaporeux" en sabots. Les Autorailleux des lézards verts ou X3600 des liaisons de grand parcours n'étaient pas mieux lotis côté moteur Modifié 19 décembre 2012 par PN407 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gnafron 1er Publication: 20 décembre 2012 Partager Publication: 20 décembre 2012 En jumelage, Gnafron, en jumelage, les autorails de l'époque se mettaient en jumelage, avec les codes de jumelage qui cassait si bien les oreilles, fallait bien çà pour couvrir le bruit du moteur à côté duquel on était assis! Mon premier train en double aux autorails, un jumelage de 3 RGP2 avec six moteurs, six boites de vitesse et 3 conducteurs... chacun vivant un peu sa propre vie Mais bon en 82 il n'y avait déjà plus de CRA, sinon ce fut été CRACRACRA Oui ...ha ce code ...2 coups-court/ un cou-long ( de girafe ) ...w o u a r f ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant