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Le Web des Cheminots

rapport du COR sur les retraites ,l'avis de la CGT


Invité jackv

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Remettre le débat sur le financement des retraites sur ses pieds

Le 11ème rapport du Conseil d’orientation des retraites sur les perspectives financières des retraites 2020, 2040 et 2060 incite à remettre le débat sur le financement des retraites sur ses pieds.

Sans surprise, il fait apparaître, selon les hypothèses, un besoin de financement compris entre 20,8 et 24,9 Mds € en 2020, soit environ un point de PIB. Cela confirme l’appréciation portée par la CGT que la réforme de 2010 n’a pas permis, malgré les sacrifices imposés, de résoudre le problème du financement des retraites, faute d’apporter les ressources nécessaires.

L’analyse du rapport montre que le déficit à l’horizon 2020 s’explique essentiellement par les conséquences de la crise sur le financement des retraites. En premier lieu, le chômage se maintiendrait à un niveau élevé sur l’ensemble de la décennie (il s’établirait à 7,3% en 2020), tandis que les gains de productivité seraient insuffisants, du fait de la faiblesse des investissements. C’est l’emprise de la logique financière qui déstabilise les retraites en plombant l’activité. Dans les 10 ans à venir, seul un partage des richesses plus favorable aux salariés permettra de financer les retraites.

L’utilisation par le COR d’hypothèses macroéconomiques contrastées (taux de chômage de 4,5% ou 7% ; productivité s’échelonnant de 1% à 2%) permet de montrer que les conditions de financement des retraites dépendent d’abord du niveau de la croissance. Avec un taux de chômage de 4,5% et une productivité de 2%, les retraites seraient excédentaires de 93 Mds € en 2060, tandis qu’elles seraient déficitaires de 105 Mds € avec un taux de chômage de 7% et une productivité de 1%, le PIB s’élevant à 5.400 Mds € environ dans le premier cas, et de 3.600 Mds € dans le second.

Ce sont donc bien les conditions économiques et non la démographie, qui sont le premier facteur déterminant l’équilibre financier des retraites, les perspectives démographiques s’améliorant progressivement du fait du niveau relativement élevé de la natalité.

Parallèlement, le rapport montre que les réformes successives conduisent à une dégradation importante du pouvoir d’achat des retraites par rapport aux salaires, conséquence des réformes successives depuis la réforme Balladur de 1993.

La question principale est d’affecter des ressources nouvelles au financement des retraites, ce qui passe par une réforme ambitieuse du financement de ces dernières. La CGT a fait des propositions précises en ce sens, en particulier la modulation des cotisations dites « patronales », la mise à contribution des revenus financiers des entreprises, et la soumission à cotisations sociales de l’épargne salariale et de l’ensemble des primes.

Il montre également que les revendications de la CGT (retour à la retraite à 60 ans pour tous, pension représentant au moins 75% des revenus d’activité, indexation des pensions sur les salaires) n’ont rien d’irréaliste.

mercredi, 19 décembre 2012 modifié pour adc01

Modifié par jackv
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Remettre le débat sur le financement des retraites sur ses pieds

Le 11ème rapport du Conseil d’orientation des retraites sur les perspectives financières des retraites 2020, 2040 et 2060 incite à remettre le débat sur le financement des retraites sur ses pieds.

Sans surprise, il fait apparaître, selon les hypothèses, un besoin de financement compris entre 20,8 et 24,9 Mds € en 2020, soit environ un point de PIB. Cela confirme l’appréciation portée par la CGT que la réforme de 2010 n’a pas permis, malgré les sacrifices imposés, de résoudre le problème du financement des retraites, faute d’apporter les ressources nécessaires.

L’analyse du rapport montre que le déficit à l’horizon 2020 s’explique essentiellement par les conséquences de la crise sur le financement des retraites. En premier lieu, le chômage se maintiendrait à un niveau élevé sur l’ensemble de la décennie (il s’établirait à 7,3% en 2020), tandis que les gains de productivité seraient insuffisants, du fait de la faiblesse des investissements. C’est l’emprise de la logique financière qui déstabilise les retraites en plombant l’activité. Dans les 10 ans à venir, seul un partage des richesses plus favorable aux salariés permettra de financer les retraites.

L’utilisation par le COR d’hypothèses macroéconomiques contrastées (taux de chômage de 4,5% ou 7% ; productivité s’échelonnant de 1% à 2%) permet de montrer que les conditions de financement des retraites dépendent d’abord du niveau de la croissance. Avec un taux de chômage de 4,5% et une productivité de 2%, les retraites seraient excédentaires de 93 Mds € en 2060, tandis qu’elles seraient déficitaires de 105 Mds € avec un taux de chômage de 7% et une productivité de 1%, le PIB s’élevant à 5.400 Mds € environ dans le premier cas, et de 3.600 Mds € dans le second.

Ce sont donc bien les conditions économiques et non la démographie, qui sont le premier facteur déterminant l’équilibre financier des retraites, les perspectives démographiques s’améliorant progressivement du fait du niveau relativement élevé de la natalité.

Parallèlement, le rapport montre que les réformes successives conduisent à une dégradation importante du pouvoir d’achat des retraites par rapport aux salaires, conséquence des réformes successives depuis la réforme Balladur de 1993.

La question principale est d’affecter des ressources nouvelles au financement des retraites, ce qui passe par une réforme ambitieuse du financement de ces dernières. La CGT a fait des propositions précises en ce sens, en particulier la modulation des cotisations dites « patronales », la mise à contribution des revenus financiers des entreprises, et la soumission à cotisations sociales de l’épargne salariale et de l’ensemble des primes.

Il montre également que les revendications de la CGT (retour à la retraite à 60 ans pour tous, pension représentant au moins 75% des revenus d’activité, indexation des pensions sur les salaires) n’ont rien d’irréaliste.

mercredi, 19 décembre 2012

Tu veux nous vendre des lunettes ?

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Invité necroshine

Un fameux sujet de réforme dans les mois a venir.

Dimanche la Patronne du Medef demandait :

- un age mini de depart a 63 ans,

- un allongement des années de cotisation (on en est a 42 ans, elle veut combien ? 50 ans de cotisation pour un départ a 63 ???).

Mais personne ne parle d'élargir l'assiette des cotisations, ni une augmentation des taux de cotisation, pourquoi ne pas commencer par augmenter d'1 point sur tous les revenus deja ???

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Aujourd'hui quand on sort de l'école, on a de fortes chances d'être au chomage mais d'encore plus grandes chances de devoir travailler jusqu'a la mort.

Et après, on va faire des grands discours et débats sur le pourquoi les jeunes dépriment. Avec ce genre de perspectives, on déprimerait à moins.

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Invité Gnafron 1er

Aujourd'hui quand on sort de l'école, on a de fortes chances d'être au chomage

okok

mais d'encore plus grandes chances de devoir travailler jusqu'a la mort.

Oui et non ...car si boulot , ce sera en dent de scie ...un coup "oui "/un coup "non " ...

Et après, on va faire des grands discours et débats sur le pourquoi les jeunes dépriment. Avec ce genre de perspectives, on déprimerait à moins.

Sans compter , que l'ascenseur social est bloqué au 1er étage ...pour les mieux loti(e)s

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Un fameux sujet de réforme dans les mois a venir.

Dimanche la Patronne du Medef demandait :

- un age mini de depart a 63 ans,

- un allongement des années de cotisation (on en est a 42 ans, elle veut combien ? 50 ans de cotisation pour un départ a 63 ???).

Mais personne ne parle d'élargir l'assiette des cotisations, ni une augmentation des taux de cotisation, pourquoi ne pas commencer par augmenter d'1 point sur tous les revenus deja ???

Oh lala, mais c'est de la démagogie ça monsieur de parler d'élargir l'assiette ! C'est fini le communisme ! (j'ai bien compris comment il faut dire comme tout le monde ?)

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Invité necroshine

Oh lala, mais c'est de la démagogie ça monsieur de parler d'élargir l'assiette ! C'est fini le communisme ! (j'ai bien compris comment il faut dire comme tout le monde ?)

Et oui, je le sais que c'est démago,

mais nos politiques preferent les usines a gaz pour mieux casser le systeme....

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Et oui, je le sais que c'est démago,

mais nos politiques preferent les usines a gaz pour mieux casser le systeme....

Ce qui me fait bondir c'est qu'il n'y a qu'un point de vue diffusé depuis des années et qu'aucune autre solution n'est abordée sérieusement. Tant qu'on n'aura pas tous admis comme des moutons qu'on a pas le choix et qu'on peut pas faire autrement que de retarder l'âge de la retraite, d'augmenter le nombre d'années de cotisations - et surtout de prendre des retraites privées, on continuera à se faire matraquer.

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Invité necroshine

Ce qui me fait bondir c'est qu'il n'y a qu'un point de vue diffusé depuis des années et qu'aucune autre solution n'est abordée sérieusement. Tant qu'on n'aura pas tous admis comme des moutons qu'on a pas le choix et qu'on peut pas faire autrement que de retarder l'âge de la retraite, d'augmenter le nombre d'années de cotisations - et surtout de prendre des retraites privées, on continuera à se faire matraquer.

les boites telles Malakoff Méderic se positionnaient a fond sur ce marché,

car il y avait de mémoire, 33 milliards d'euros de BENEFICES possibles d'apres leurs projections.

Pourquoi ne pas augmenter les cotisations au caisses de retraites NAtionales ???

Non, on prefere engraisser des actionnaires en dividendes...

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Ce qui me fait bondir c'est qu'il n'y a qu'un point de vue diffusé depuis des années et qu'aucune autre solution n'est abordée sérieusement. Tant qu'on n'aura pas tous admis comme des moutons qu'on a pas le choix et qu'on peut pas faire autrement que de retarder l'âge de la retraite, d'augmenter le nombre d'années de cotisations - et surtout de prendre des retraites privées, on continuera à se faire matraquer.

tu veux dire des décennies,j'ai souvenir d'une gréve d'une journée très massive a la SNCF 80% il me semble vers le milieu des année 70 une des premières fois que l'on parlait de reformer le système de retraite...et ils ont mis 20 ans de "communication" pour revenir dessus en 95

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Pourtant il y a peu (hier ?), un reportage montrait que le problème du financement des retraites est la faiblesse des cotisations, liée au marché de l'emploi. Moins il y a de travailleurs, moins il y a de cotisations.

Augmenter l'âge de départ à la retraite ne fera pas augmenter le nombre de postes à pourvoir... Donc pas d'augmentation des cotisations. Et l'idée d'augmenter la part payée chaque mois par les travailleurs n'est pas dans les cartons (pouvoir d'achat, coût du travail, tout ça). Ils parlaient plutôt de plafonner le montant des pensions de retraite. Enfin c'est ce que j'en ai retenu.

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Invité Gnafron 1er

C'est d'autant plus hypocrite que les patrons n'ont pas envie de s'emmerder avec des gens qui vieillissent .

On peut comprendre pour différentes raisons notamment "santé " .

Le but étant finalement d'avoir moins à verser ...peu importe l'âge .Et pour y arriver , c'est de faire peur (déficit ) donc reculer l'âge de la retraite .

Mon grand père et mon père me disaient tjrs :

" Les capitalistes n'accepteront "pas trop " longtemps cette situation : " des improductifs payer correctement " !

Mon grand père touchait presque autant que quand il travaillait , dans l'industrie ....du fait des heures faites après guerre .

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N'oubliez pas que le fond de reserve des retraites qui a ete cree pour franchir 2020 a ete siphone par l'UMP pour financer les reformes de 2003 et 2010 (il y avait 30 milliards d'euros et ca devait atteindre 150 miliards en 2020). Beaucoup parlent du retour de la retraite a 65 ans. Ce qui serait un retour de 20 ans en arriere. Mais de toute facon, vu comment c'est parti, on est parti pour retourner au Moyen-Age pour ne pas dire a l'age de pierre. Les barons et les seigneux preleveront les paysans que nous sommes jusqu a ce que mort s'en suive.

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La décôte est une bombe à retardement, et tout le monde le sait. Lors de son introduction, l'âge d'annulation de la décôte hors cas particuliers était fixée à 65 ans, c'était encore raisonnable pour tous ceux qui n'auront pas atteint la durée de cotisation à l'âge d'ouverture des droits.

Avec la réforme Sarkozy, l'âge d'ouverture des droits passe de 60 à 62 ans, et la décote s'annule à 67 ans, tandis que la durée de cotisation passe progressivement à 42 ans.

Les actifs nés entre 1970 et 1980 (et au delà) sont quasiment certains de subir une décôte, et si on glisse encore d'un an, il faudrait attendre 68 ans, ce qui est délirant.

Depuis la première réforme Balladur dans le privé, c'est la triple peine, puisque tous les paramètres sont durcis en même temps (äge d'ouverture des droits, âge d'annulation de la décôte, durée de cotisation pour un taux plein)

On peut difficilement continuer dans cette voie, sauf à assumer ouvertement que 60 % des retraités dans 20 ans partiront à 65 ans ou plus avec moins de 1000 EUR nets.

Modifié par NEMO94
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Invité necroshine

N'oubliez pas que le fond de reserve des retraites qui a ete cree pour franchir 2020 a ete siphone par l'UMP pour financer les reformes de 2003 et 2010 (il y avait 30 milliards d'euros et ca devait atteindre 150 miliards en 2020). Beaucoup parlent du retour de la retraite a 65 ans. Ce qui serait un retour de 20 ans en arriere. Mais de toute facon, vu comment c'est parti, on est parti pour retourner au Moyen-Age pour ne pas dire a l'age de pierre. Les barons et les seigneux preleveront les paysans que nous sommes jusqu a ce que mort s'en suive.

Oui, le pere Woerth a siphonné le fond de reserve en toute impunité, comme celui de la mère L'oréal....

Faites gaffe a ce mec, il est dangereux, planquez votre larfeuille nonmais

Le retour a 65, serait un retour en arrière de 30 ans, pas 20...

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Invité necroshine

La décôte est une bombe à retardement, et tout le monde le sait. Lors de son introduction, l'âge d'annulation de la décôte hors cas particuliers était fixée à 65 ans, c'était encore raisonnable pour tous ceux qui n'auront pas atteint la durée de cotisation à l'âge d'ouverture des droits.

Avec la réforme Sarkozy, l'âge d'ouverture des droits passe de 60 à 62 ans, et la décote s'annule à 67 ans, tandis que la durée de cotisation passe progressivement à 42 ans.

Les actifs nés entre 1970 et 1980 (et au delà) sont quasiment certains de subir une décôte, et si on glisse encore d'un an, il faudrait attendre 68 ans, ce qui est délirant.

Depuis la première réforme Balladur dans le privé, c'est la triple peine, puisque tous les paramètres sont durcis en même temps (äge d'ouverture des droits, âge d'annulation de la décôte, durée de cotisation pour un taux plein)

On peut difficilement continuer dans cette voie, sauf à assumer ouvertement que 60 % des retraités dans 20 ans partiront à 65 ans ou plus avec moins de 1000 EUR nets.

Bien vu également,

comme je le disais, il y a un lobbying fort derrière tous ces politicards....

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Oui, le pere Woerth a siphonné le fond de reserve en toute impunité, comme celui de la mère L'oréal....

Faites gaffe a ce mec, il est dangereux, planquez votre larfeuille nonmais

Le retour a 65, serait un retour en arrière de 30 ans, pas 20...

Exact 83. J'etais même pas encore ne. C'etait avant le tournant de la rigueur

Modifié par Class66220
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Ils parlaient plutôt de plafonner le montant des pensions de retraite. Enfin c'est ce que j'en ai retenu.

Pourquoi pas, reste à savoir ou se situe le taquet, et ou va l'argent récupéré après application du plafonnement...

Dans l'autre sens, un objectif raisonable pour commencer, ce serait aucune retraite inférieure à 80 % du SMIC brut.

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Invité necroshine

Pour rappel :

En 2009 :

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2009/07/16/1622247_le-reve-de-guillaume-sarkozy.html

Le rêve de Guillaume Sarkozy

Puis en 2010 :

http://www.rue89.com/2010/03/03/retraites-la-reforme-revee-de-nicolas-et-guillaume-sarkozy-141278

Retraites : la réforme rêvée de Nicolas et Guillaume Sarkozy

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Invité necroshine

Pour nous :

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/12/19/les-retraites-encore-plus-deficitaires-que-prevu-en-2017_1808673_823448.html#xtor=RSS-3208

Le gouvernement, qui attend pour le 22 janvier un deuxième rapport du COR, sur l'état des lieux des différents régimes de retraite, va ensuite former une "commission pour l'avenir des retraites" qui va proposer "différentes pistes de réforme". Puis une "phase de concertation" entre le gouvernement et les partenaires sociaux aura lieu partir du printemps", indique le communiqué, qui ne précise pas quand le projet de réforme gouvernemental sera soumis au Parlement.
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Invité Gnafron 1er

De toute facon on va devoir mourir au travail au nom de la sacro-sainte productivite et de la rentabilite.

Non , car "ils " ne donneront pas de boulot .

Perso , je pense que le but est d'avoir une société où la très grande majorité vivrait avec les minimas sociaux :

retraités , chômage avec du boulot , de temps à autres ,mais avec des contrats "à la con" peu payés .

Finit l'emploi stable avec une évolution de salaire "décente" ...

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Invité necroshine

Quand je disais qu'on en parlerai très très vite :

http://www.bfmtv.com/economie/sncf-entre-une-zone-turbulences-408700.html

La retraite des cheminots dans le viseur

Autre nuage sur la SNCF: le régime de retraite des cheminots. Malgré une réforme en 2008, il reste gravement déficitaire et le budget devra encore verser 3,4 milliards d'euros en 2013 pour payer les pensions des cheminots.

Mais dans le cadre de la nécessaire nouvelle réforme à venir des retraites de l'ensemble des Français, ce soutien financier sera-t-il encore tenable? En cas de remise en question de cette subvention publique, la SNCF devra assumer une partie du déficit de son régime de retraites... ce qui paraît somme toute logique.

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Invité Gnafron 1er

Au plus haut niveau de l'État, certains plaident donc pour parer à ce probable dérapage en donnant d'autres gages aux Européens et aux marchés : une nouvelle réforme des retraites - celle de 2010 se révélant de toute façon insuffisante -, l'application sans faille des 10 milliards de baisse de dépenses prévues en 2013 et la réforme du marché du travail.

Je sens bien le coup = on ne touche pas trop au code du travail , par contre , vos retraites , vous vous les metttez où vous savez "

http://www.lepoint.fr/economie/marche-du-travail-la-reforme-a-ne-pas-rater-20-12-2012-1604655_28.php

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