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Publication:

"Les femmes se forgent à elles-mêmes les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger."

Simone de Beauvoir

Avec le Vicomte: tes futures chaînes seront bien forgées ! mdrmdr

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"Les femmes se forgent à elles-mêmes les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger."

Simone de Beauvoir

Avec le Vicomte: tes futures chaînes seront bien forgées ! mdrmdr

Je n'en doute - hélas - pas! beurk

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Les miennes aussi...

Dis donc, c'est pas très moral des chaînes partout...On dirait qu'il vire sado-maso le fou du Puy...

Publication:

Dis donc, c'est pas très moral des chaînes partout...On dirait qu'il vire sado-maso le fou du Puy...

Et en plus il t'offre gratuitement un baillon pour étouffer tes cris sous la torture...

Tu rends pas compte, la france est bloquée par le nouveau partis des immobilistes UMP-CGT : excuez du peu !

faut remettre les français au BOULOT

mdrmdr

le Vicomte revient !

Sortez les baionnettes ! beurk

Publication: (modifié)

le Vicomte revient !

Sortez les baionnettes ! mdrmdr

Il est encore en vie, cuilà ?? beurk

Modifié par laelia
Publication:

Et en plus il t'offre gratuitement un baillon pour étouffer tes cris sous la torture...

Tu rends pas compte, la france est bloquée par le nouveau partis des immobilistes UMP-CGT : excuez du peu !

faut remettre les français au BOULOT

mdrmdr

le Vicomte revient !

Sortez les baionnettes ! beurk

C'était amusant, ce matin il jouait à "c'est qui qu'à les plus grosses" en expliquant que Villepin avait cédé et que Sarkozy était un politique, un homme de compromis alors qu'avec lui, ça filerait droit. Bon, ça devrait plaire à certains ce genre de discours... beurk

Publication:

Vendredi 13 avril 2006 - fin de semaine...

Dépêches d'Agences sur les suites du CPE

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Le Parlement tourne la page du CPE

Le Parlement a définitivement tourné jeudi la page du contrat première embauche (CPE) en adoptant, après plus de deux mois de crise sociale puis politique, la proposition de loi UMP destinée à le remplacer.

Alors que la grande majorité des cours reprenaient dans la plupart des universités, le texte, déjà voté par les députés par 151 voix (UMP, UDF) contre 93 (PS, PCF), a été adopté dans les mêmes termes par les sénateurs avec 158 voix (UMP) contre 123 (PS, PCF). Une très grande majorité de l'UDF n'a pas pris part au vote au Sénat.

La proposition se substitue à l'article 8 de la loi Egalité des chances qui avait créé le CPE. Dans cette nouvelle version, il ne reste rien du contrat à durée indéterminée que Dominique de Villepin destinait aux jeunes de moins de 26 ans avec une période d'essai de deux ans assortie de la possibilité donnée à l'employeur d'un licenciement sans motif.

Elargissant des dispositifs existants en faveur des jeunes les moins qualifiés, la proposition de loi UMP a été rédigée après négociations avec les partenaires sociaux et étudiants pour mettre un terme à la crise.

Le nouveau dispositif, qui s'intégrera à la loi sur l'Egalité des chances, prévoit d'accorder une aide à tout employeur embauchant en CDI un jeune de 16 à 25 ans de faible qualification, ou résidant en zone urbaine sensible, ou titulaire d'un contrat d'insertion dans la vie sociale (Civis).

Sonnée par plus de deux mois de crise et redoutant des conséquences électorales catastrophiques lors des prochaines échéances, l'UMP, qui avait voté en bloc le CPE, l'a enterré à contrecoeur. Mais avec soulagement face au risque d'une rupture radicale entre les sarkozystes, qui prônaient une suspension du CPE, et les villepinistes, partisans de la fermeté affichée par le Premier ministre.

Pour certains, comme le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré, la crise aura permis à l'idée de flexibilité de progresser.

L'UDF, qui avait vainement tenté, lors du débat parlementaire, de faire voter des amendements pour motiver le licenciement et réduire la période d'essai, s'est montrée très critique. Les députés de ce parti ont voté la proposition privilégiant une sortie de crise rapide, tandis que leurs collègues sénateurs n'ont pas voulu participer à ce qu'ils qualifient de "cataplasme sur un cataclysme".

La gauche, qui a refait son unité avec le combat contre le CPE, s'est félicitée de sa "victoire" avec "l'enterrement" de ce "contrat précaire".

Comme ils le font depuis deux mois, centristes, socialistes, communistes et Verts ont unanimement condamné la méthode de M. de Villepin qui a voulu "passer en force" et "avoir raison tout seul" mais qui "comme Napoléon a conduit la France à Waterloo".

"Mesure cosmétique" ou "faux-semblant" pour la gauche, la proposition de loi remplaçant le CPE a même été considérée comme "inconstitutionnelle" par les centristes et le PS puisqu'elle aggrave les dépenses publiques, ce qui est interdit aux parlementaires par la Constitution.

Cette proposition devrait être le dernier paradoxe d'une crise au cours de laquelle les institutions auront été malmenées par l'exécutif. Il a d'abord promulgué une loi tout en l'assortissant d'une non application partielle et annoncé lui-même une proposition de loi, théoriquement d'origine parlementaire.

Le couple exécutif sort affaibli face au président de l'UMP Nicolas Sarkozy qui s'est efforcé d'apparaître comme l'artisan de la sortie de crise.

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Remplacement du CPE: comment ont voté les sénateurs

La proposition de loi UMP sur "l'accès des jeunes à la vie active en entreprise", qui remplace le contrat première embauche (CPE), a recueilli au Sénat 158 voix contre 123, la quasi totalité du groupe UDF ne participant pas au vote.

Voici les résultats du scrutin, groupe par groupe:

Groupe UMP: sur 155 sénateurs, 148 ont voté pour.

Six n'ont pas pris part au vote: Christian Poncelet, président du Sénat, qui présidait la séance, Gérard Bailly, Philippe Dallier, Alain Dufaut, Jean-François Humbert, André Lardeux.

Gérard Cornu s'est abstenu.

Groupe PS: les 97 sénateurs ont voté contre.

Groupe UDF: sur 33 sénateurs, un seul, Nicolas About, a voté pour.

Les 32 autres n'ont pas pris part au vote.

Groupe PCF: les 23 sénateurs ont voté contre.

Groupe RDSE: sur 16 sénateurs, sept ont voté pour.

Deux ont voté contre: Jean-Michel Baylet et Yvon Collin.

Cinq se sont abstenus: André Boyer, Gérard Delfau, François Fortassin, Daniel Marsin, François Vendasi.

Deux n'ont pas pris part au vote: Nicolas Alfonsi et Bernard Seillier.

Non inscrits: sur 7 sénateurs ne figurant sur la liste d'aucun groupe, deux ont voté pour.

Bruno Retailleau a voté contre.

Deux se sont abstenus et deux autres n'ont pas pris part au vote.

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"La nouvelle loi est une réponse très modeste au chômage des jeunes" (Strauss-Kahn)

Le député PS du Val-d'Oise Dominique Strauss-Kahn a estimé jeudi soir à Albi que la proposition de loi sur "l'accès des jeunes à la vie active en entreprise" destinée à remplacer le CPE "n'est pas à la hauteur de la question posée par le chômage".

En marge d'une conférence-débat organisée à l'université Jean-François Champollion d'Albi, l'ancien ministre des Finances a déclaré à un correspondant de l'AFP que la proposition de loi "est une réponse qui est malheureusement très modeste".

"La première réponse, celle du CPE était fausse", car selon lui, "ce n'est pas une question de contrat et de précarisation" mais de "croissance et de formation". "La seconde, elle, est bien sur la formation mais à un niveau beaucoup trop faible", a-t-il remarqué.

"La crise que nous venons de vivre va très au-delà du CPE lui-même, c'est une crise sociale beaucoup plus profonde", a-t-il insisté.

Le député du Val d'Oise a par ailleurs indiqué qu'à ce sujet, il avait fait des propositions sur son site internet portant notamment sur le suivi personnalisé des jeunes en quête d'emploi.

"C'est toute une politique d'insertion des jeunes dans la vie active qu'il faut mettre en oeuvre (...) et plus on réfléchit à la formation, plus on s'éloigne de cette solution baroque et précarisante qu'était le CPE et est la nouvelle loi".

M. Strauss-Kahn avait dans l'après-midi rencontré les associations du quartier Cantepau, réputé difficile d'Albi.

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Les intentions d'embauche en 2006 en baisse dans les petites entreprises en France

jeu 13 avr, 20h22

PARIS (AFP) - Les intentions d'embauche des salariés pour 2006 sont en baisse dans les petites entreprises en France, selon une enquête de l'Unedic qui place les métiers de service, du bâtiment et de l'informatique en tête des besoins de l'ensemble des employeurs.

En 2006, le nombre de projets de recrutement (1.200.000) s'annonce en baisse (-2,3%), un peu plus fortement qu'en 2005 (-1,6%), mais en-deçà de 2003 (-9,2%) et 2004 (-9,8%), selon l'enquête rendue publique jeudi, sur l'évaluation des besoins en main d'oeuvre (BMO) des entreprises, réalisée par l'Unedic et le Credoc.

Cette baisse est due essentiellement à celle prévue par les entreprises de moins de cinquante salariés. Le CNE (contrat nouvelles embauches) est destiné à une grande partie d'entre elles, qui ont vingt salariés et moins.

Les projets de recrutements augmentent en revanche avec la taille de l'entreprise, à partir de 50 salariés.

Les métiers de service, avec ceux du bâtiment et de l'informatique, sont en tête des intentions d'embauche des entreprises en 2006, mais la moitié des recrutements devraient se heurter à des difficultés.

Plus de six projets de recrutement sur dix concernent les services.

Les employés de l'hôtellerie et de la restauration (près de 100.000) et les agents d'entretien (72.600) sont en tête des profils les plus recherchés.

Les services à la collectivité (animateurs socioculturels, assistantes maternelles ... ) arrivent ensuite.

Dans ces secteurs, les recrutements concernent, pour la moitié d'entre eux, des saisonniers.

Les employeurs auront aussi besoin de recruter dans certains secteurs du commerce et de la réparation (caissiers, représentants...) et dans le bâtiment et la construction (maçons qualifiés surtout).

Mais, et c'est une nouveauté, en 2006, les intentions d'embauche sont également importantes pour les ingénieurs informaticiens et les cadres commerciaux.

Dans l'industrie, la filière aéronautique est prometteuse et tire vers le haut les intentions d'embauche.

Au total, les entreprises ont déclaré 1.195.400 intentions d'embauche, mais près de la moitié de ces recrutements s'annoncent difficiles, faute de candidats. Les petites entreprises sont celles qui auront le plus de mal à recruter.

Les offres non pourvues concerneront, sans surprise, certains métiers du bâtiment (maçons, plâtriers, charpentiers ...), des services (cuisiniers) et des fonctions médico-sociales (aides-soignants).

75% des entreprises du BTP (Paris: FR0000033607 - actualité) sont en difficulté de recrutement. On recherche des maçons qualifiés dans 365 bassins d'emploi sur 370. Dans 116 bassins d'emploi, "il est impossible de trouver un maçon qualifié", insiste Jean-Pierre Revoil, le directeur général de l'Unedic.

En revanche, il ne sera pas difficile de trouver des professionnels du spectacle/photographe/styliste, des caissiers et employés de libre-service, ou des secrétaires.

En moyenne, on compte 3.200 projets de recrutement par bassin d'emploi, mais 10% des 370 bassins d'emploi concernés par l'enquête cumulent 43% des projets d'embauche.

Près de 30% des intentions d'embauche sont concentrées sur Paris et l'Ouest parisien. Les autres centres attractifs sont Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes. En queue du palmarès, Marie-Galante (Guadeloupe), qui affiche tout de même 101 intentions d'embauche.

Des résultats détaillés de l'enquête, avec informations sur les métiers qui recrutent dans chaque bassin d'emploi, sont disponibles sur le site www.assedic.fr/unistatis.

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