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Le Web des Cheminots

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souhaitons qu'il n'y ait aucune voie ferrée sacrifiée sur l'autel de la LGV SEA, à l'exemple de la ligne Autun - Epinac pour LN 1

Dans le même genre, ce qu'il restait de Chantilly - Senlis - Crépy (section Senlis - Ormoy Villers encore ouverte aux marchandises) a été définitivement condamnée par les travaux de la LGV Nord alors qu'elle avait été épargnée par l'A1 qui la croise également ... Mais on peut dire que cette autoroute l'a tuée d'une manière plus sournoise.

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Salut ,

C'est l'arnaque des lignes construites en partenariat public privé :

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/communes/Villeperdue/n/Contenus/Articles/2012/07/13/Le-conseil-refuse-la-convention-de-subvention-liee-a-la-LGV

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  • 2 semaines plus tard...

La Nouvelle République

LGV-SEA : le déçu du lot 8

Sauzé-Vaussais accueille deux plateformes logistiques pour la construction de la future

ligne LGV. Mais le maire espérait davantage de retombées.

Ça aurait pu être quelque chose de bien. Mais on va passer à côté…

Le maire de Sauzé-Vaussais, Michel Eprinchard, ressent ces derniers temps l'amertume des espoirs déçus.

Il y a quelques mois, le chantier pour la future « ligne à grande vitesse Sud-Ouest-Atlantique », la LGV-SEA,

est venu poser cabanes et engins aux portes du bourg. La société Coséa a implanté sur la zone artisanale de

la Plaine de Limage une cinquantaine de baraques de chantier, créant ex nihilo 735 m2 de bureaux pour

accueillir environ soixante-dix personnes.

" Ces gens pensent que la déclaration d'utilité publique leur donne tous les droits "

Côté route de Civray, c'est le groupe Razel-Bec qui prenait ses quartiers, alignant derrière ses préfabriqués

la flotte d'engins nécessaires à la réalisation du lot n° 8 : la création de vingt et un kilomètres de voie ferrée

entre Chaunay et Villefagnan.

Pratiquement zéro

Entre ces deux plateformes, le maire de Sauzé-Vaussais se frottait les mains : soixante-dix personnes côté

Coséa-Vinci, au moins cent cinquante côté Razel-Bec, voilà qui garantissait pour les deux ans à venir les

retombées économiques promises par les porteurs du projet. Mais, aujourd'hui, il déchante. « Pour l'économie

locale, c'est pratiquement zéro, peste-t-il, plus déçu qu'en colère. Ils ont embauché quelques personnes pour

travailler dans leurs bureaux. Des femmes de ménage, aussi… Mais il n'y a pas dix habitants de chez nous qui

travaillent pour eux. Ils sont arrivés avec tout leur personnel, voilà. »

Vingt-cinq caravanes

Et il n'a pas le sentiment que ces entreprises et leurs dizaines d'employés dépenseront leur argent chez ses

administrés. « Déjà, ils viennent peu dans nos restaurants. Bon, c'est vrai, on n'est pas forcément très bien

doté – on a une petite pizzeria, un kebab et Le Clovis – mais quand même… » Le maire soupçonne la concurrence

de « la prime au panier » : « Je suis sûr que Super U s'en tire mieux. » « Bon, si, se reprend-il, le garagiste a

décroché l'entretien de leur flotte de Peugeot. Et ce qui a pas mal marché, c'est l'hébergement. Surtout le camping.

On l'a rénové avant leur arrivée, parce qu'il était hors de question qu'ils s'installent n'importe où. On a vingt-cinq

caravanes, nos deux mobil-homes sont loués. La difficulté, c'est qu'ils cherchaient beaucoup de studios ; nous, ici,

on n'en a pas presque pas. Quelques familles se sont installées dans les T4, c'est tout. »

Passage en force

Mais ce qui scandalise vraiment le maire de Sauzé-Vaussais, c'est « le passage en force systématique » : « C'est

simple, ils font ce qu'ils veulent, s'insurge Michel Eprinchard. Par exemple, ils sont censés ne circuler que sur l'emprise

du chantier, pourtant certaines voies communales sont déjà complètement défoncées. Et comme l'état des lieux

d'arrivée a été fait en juin, six mois après leur arrivée, vous verrez qu'ils repartiront en nous laissant tout comme ça !

Autre exemple : Coséa a installé ses bureaux sans déposer de permis de construire, je leur ai dit, ils m'ont répondu

qu'ils ont la bénédiction de l'administration ! En attendant, la commune ne touche ni la taxe foncière ni la taxe locale

d'aménagement… »

Lettre au préfet

« Depuis deux ans, on passe tout notre temps à régler ce genre de dossiers… Le TGV, on n'est pas contre, on prend le

train nous aussi. Mais il faudrait que ça se fasse dans la concertation. » Michel Eprinchard a décidé de s'en remettre

au préfet, pour obtenir « un peu plus d'écoute de la part de Coséa et Razel-Bec ». Mais il ne se fait guère d'illusion.

« Le problème, soupire-t-il, c'est que ces gens pensent que la déclaration d'utilité publique leur donne tous les droits ! »

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Et ce n'est pas fini, beaucoup vont déchanter comme ces habitants et comme ce maire.

Et peut être même les clients du rail en voyant les prix des billets!!!! Faudra voir le prix des sillons.....

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J'imagine déjà le moment où le titulaire ira pleurer auprès de ministre pour demander que RFF augmente le prix du sillon ou que la sncf fasse passer plus de train...

Ouais..... C'est beau la libéralisation à outrance, non????

Sinon, un site pas mal du tout pour suivre l'avancement des travaux : http://www.lgv-sea-tours-bordeaux.fr/

Le site RFF, actualisé lui aussi fréquemment : http://www.lgvsudeuropeatlantique.org/

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  • 2 semaines plus tard...

Poitou-charentes.france3 du mardi 28 août.

Des engins du chantier de la LGV incendiés

Deux camions et un tractopelle du chantier de la LGV ont été

brûlés ce matin au rond-point de la Folie à Poitiers.

L'incendie s'est produit vers 6h30 ce mardi matin au rond-point

de la Folie au nord de Poitiers (86) . Une enquête en cours pour

déterminer s'il sagit d'une affaire criminelle. Liséa-Cosea, la société

de gestion et de construction de la Ligne ferroviaire à Grande

Vitesse a décidé de porter plainte.

Les engins incendiés sur le chantier de la LGV à Poitiers (86).

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  • 1 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

LGV: un chantier de nomades

La LGV draine des centaines d'ouvriers tout au long du chantier. Beaucoup d'habitants espéraient pouvoir les loger. Mais beaucoup d'ouvriers ont opté pour le camping plus ou moins sauvage.

Il y a 150 ans ça se passait également ainsi. Installations de cantines à l'avancement des chantiers et achats dans les fermes alentours. Le commerce local ne profitait par réellement des retombées des constructions de ligne. De plus les bons ouvriers étaient débauchés par les constructeurs.

  • J'adore 1
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Salut !

LGV: un chantier de nomades

La LGV draine des centaines d'ouvriers tout au long du chantier. Beaucoup d'habitants espéraient pouvoir les loger. Mais beaucoup d'ouvriers ont opté pour le camping plus ou moins sauvage.

Comme si c'était spécifique aux chantiers de LGV. Encore un article pour faire "proche des vraies gens"... zzz zzz zzz

  • J'adore 1
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Salut !

Comme si c'était spécifique aux chantiers de LGV. Encore un article pour faire "proche des vraies gens"... zzz zzz zzz

Pour ce qui est des travaux ferroviaires importants comme les RVB, les entreprises comme Colas Rail, TSO, ETF ont également leurs bases vie pour les hébergements. Pour le personnel SNCF ça se passe également ainsi mais pas seulement. Des hébergements en hôtel, chambres dhôtes, foyers sont également recherchés, ce qui évidemment plait mieux à la population locale.

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  • 3 semaines plus tard...

Salut ,

Appel à la manif ...

http://www.lanouvell...agne-du-terrain

Le doublement de la N10 a provoqué au moins autant de désagréments, mais beaucoup moins de grogne...... Comme c'est bizarre......

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Le Lot 4 réalisé par VINCI et GUINTOLI s’étend du PK 69 au PK 89.

Il comprend aussi le raccordement de Migné-Auxances (desserte de Poitiers).

Raccordement de Migné-Auxances - Estacade de La Folie

2017 en images de synthèse : l'estacade de la Folie à Migné-Auxances et Poitiers

Estacade de la Folie et nouveau giratoire nord

Déjà mille emplois sur la LGV

Bruno Decourt, de Vivonne, est le millième employé du chantier de la ligne à grande vitesse

Tours-Bordeaux dans la Vienne.

Ils ont coulé du béton dans une pile du futur viaduc de La Folie comme on pose une première

pierre, hier après-midi, au nord de Poitiers. Une façon symbolique de célébrer tardivement le

chantier de construction de la ligne ferroviaire à grande vitesse Tours-Bordeaux engagé depuis

le printemps. L'occasion, aussi, de rappeler l'impact des travaux sur l'économie régionale.

La suite dans La Nouvelle République de ce jour.

En guise de première pierre, du béton a été coulé, hier après-midi, au nord de Poitiers.

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Salut ,

La desserte de la gare TGV Futuroscope en question :

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2012/12/10/A-la-gare-du-Futuroscope-le-voyageur-coute-4-38-E

surtout qu'il me semble bien que pour la desservir il ne sera possible de en prendre/quitter la LGV qu'à St Pierre Modifié par Fred
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