Invité jackv Publication: 10 octobre 2021 Publication: 10 octobre 2021 Comment la SNCF est discrètement sortie de Ouicar A l'époque, la SNCF avait déboursé 28 millions d'euros pour s'adjuger 75 % du capital. L'investissement témoignait de la volonté de Guillaume Pepy, le patron d'alors, de faire du groupe un acteur majeur dans la mobilité au sens large, du covoiturage de proximité (iDVroom) au VTC (LeCab) en passant par les cars longue distance. https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/exclusif-comment-la-sncf-est-discretement-sortie-de-ouicar-1352847 un extrait d'article qui me semble suffisant..
capelanbrest Publication: 10 octobre 2021 Publication: 10 octobre 2021 Il y a 10 heures, jackv a dit : Comment la SNCF est discrètement sortie de Ouicar A l'époque, la SNCF avait déboursé 28 millions d'euros pour s'adjuger 75 % du capital. L'investissement témoignait de la volonté de Guillaume Pepy, le patron d'alors, de faire du groupe un acteur majeur dans la mobilité au sens large, du covoiturage de proximité (iDVroom) au VTC (LeCab) en passant par les cars longue distance. https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/exclusif-comment-la-sncf-est-discretement-sortie-de-ouicar-1352847 un extrait d'article qui me semble suffisant.. A l'époque, la SNCF avait déboursé 28 millions d'euros pour s'adjuger 75 % du capital. L'investissement témoignait de la volonté de Guillaume Pepy, le patron d'alors, de faire du groupe un acteur majeur dans la mobilité au sens large, du covoiturage de proximité (iDVroom) au VTC (LeCab) en passant par les cars longue distance. CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS Abonnez-vous dès maintenant Tous les articles des Echos en illimité sur le site et l'application Le journal en version numérique dès 22h30 la veille de sa parution Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première Je m'abonne
Invité jackv Publication: 11 octobre 2021 Publication: 11 octobre 2021 Il y a 10 heures, capelanbrest a dit : A l'époque, la SNCF avait déboursé 28 millions d'euros pour s'adjuger 75 % du capital. L'investissement témoignait de la volonté de Guillaume Pepy, le patron d'alors, de faire du groupe un acteur majeur dans la mobilité au sens large, du covoiturage de proximité (iDVroom) au VTC (LeCab) en passant par les cars longue distance. CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS Abonnez-vous dès maintenant Tous les articles des Echos en illimité sur le site et l'application Le journal en version numérique dès 22h30 la veille de sa parution Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première Je m'abonne Et alors, j'avais même signalé que l'extrait sufissait à lui même, tu n'étais pas obligé de le lire ni de faire le chefaillon comme dab
capelanbrest Publication: 11 octobre 2021 Publication: 11 octobre 2021 Il y a 11 heures, jackv a dit : Et alors, j'avais même signalé que l'extrait sufissait à lui même, tu n'étais pas obligé de le lire ni de faire le chefaillon comme dab garde tes commentaires pour toi. perso je n'ai pas besoin de traduction, ni d'explications de texte, je préfère lire par moi même ! après c'eut été tellement plus simple de préciser : article réservé aux abonnés, comme cela aucune méprise. 🙂 sujet suivant 🙂
NEMO94 Publication: 11 octobre 2021 Publication: 11 octobre 2021 (modifié) Sous l'ère Pépy la SNCF a "investi" dans de très nombreuses activités parfois très éloignées de son métier de transporteur ferroviaire. Rares sont ces danseuses qui ont permis de gagner de l'argent, le fiasco le plus connu étant l'aventure désastreuse des Ouibus. Ces 28 millions d'euros auraient sans doute été bien mieux utilisés que dans cette diversification hasardeuse dans la location de voitures entre particuliers ou le VTC Modifié 11 octobre 2021 par NEMO94 4
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