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Loire : vingt ans de réclusion criminelle pour un infanticide


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14 février 2012 (Jour de la Saint-Valentin)

Roche-la-Molière: elle poignarde mortellement son bébé de 6 mois

Une mère de famille séparée a poignardé à plusieurs reprises son enfant âgé de seulement 6 mois. Le bébé est décédé quelques minutes plus tard malgré l'intervention des secours. La tragédie s'est produite, ce mardi matin vers 8h30, dans un lotissement du quartier du Pontin à Roche-la-Molière.

"J'ai tué mon enfant, appelez la police!" Il était environ 8h30, ce mardi matin, quand la mère de famille est venue frapper à la porte de l'un de ses voisins après avoir commis l'irréparable.

Selon nos premières informations, séparée depuis le mois d'août, la jeune maman a également un enfant handicapé de 10 ans. Elle aurait frappé son bébé à une ou plusieurs reprises. Les pompiers et le SAMU sont intervenus sur place, mais en vain. Ils n'ont rien pu faire pour sauver l'enfant.

La suite dans Le Progrès du 14 février 2012.

Session de la cour d'assise de la Loire (la semaine dernière)

Loire : vingt ans de réclusion criminelle pour un infanticide

Suivant les réquisitions de l'avocate générale, la cour d'assises de la Loire a condamné Aline Molero à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir poignardé son bébé en 2012 à Roche-la-Molière.

Les jurés de la cour d’assises de la Loire ont suivi les réquisitions de l’avocate générale, Marianne Berthéas. Ils ont condamné Aline Molero à 20 ans de réclusion criminelle. La jeune femme de 33 ans était accusée d’avoir poignardé Amélio, son fils de six mois, à treize reprises le 14 février 2012 à Roche-la-Molière.

Aline Molero n’a pas réagi à l’énoncé du verdict, conforme aux réquisitions et assorti d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans, avec obligation de soin, sous peine de cinq ans d’emprisonnement supplémentaire. «J’estime que sa place serait plutôt dans un établissement psychiatrique», a commenté son avocate, Me Solange Viallard-Valézy, qui avait plaidé l’irresponsabilité pénale en raison de la «psychose blanche» évoquée par un expert.

Aucun expert n’avait cependant estimé que les troubles mentaux de l’accusée la privaient de tout discernement. L’avocate générale l’avait rappelé mercredi dans son réquisitoire, écartant la piste de la folie pour celle de «la cruauté». «Je ne serai jamais satisfait, mais c’est une forme de justice. Vingt ans, c’est le minimum», a réagi Sébastien Campoy, le père de la victime, séparé d’Aline Moléro quand celle-ci a poignardé leur nourrisson en 2012, le jour de la Saint-Valentin.

«D’Aline Molero, je savais que je n’aurais pas de réponse. Elle a fait ça pour m’atteindre et elle a choisi le 14 février pour que je souffre à chaque Saint-Valentin», a poursuivi le père du petit Amelio, seule partie civile au procès.

La suite dans Le Progrès du jeudi 3 avril.

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ça transpire le bonheur, et je pense que cette pauvre femme serait mieux en psy !

  • J'adore 1
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