cyclodocus Publication: 14 juillet 2014 Publication: 14 juillet 2014 on dit pas le Dauph on dit le Daubé 1
VSG Publication: 15 juillet 2014 Publication: 15 juillet 2014 Dans le bouquin de Christian Wyler « la longue marche de la division 157 », un chapitre est consacré aux « les parachutages, une manne venue du ciel ». C’est passionnant et impressionnant. La « french section » du SOE dispose de 15 bombardiers Halifax MBK2 d’une autonomie de 4000 km environ. Ils utilisent occasionnellement des monomoteurs Lysander, des Stirling et des bimoteurs Hudson. Ils effectuent environ 50 sorties par mois sur la France pendant les 12 jours de lunaison favorable, car le vol depuis l’aérodrome de Tempsford près de Cambridge jusqu’aux Glières (par exemple) s’effectue en vol à vue. Les avions traversent la Manche au raz des vagues pour éviter les radars, grimpent ensuite à 8000 pieds pour franchir le mur de l’Atlantique puis redescendent pour pouvoir distinguer le sol. Pour arriver aux Glières, les navigateurs commencent par rechercher la Loire, le long de laquelle ils doivent repérer Blois. Ils se dirigent ensuite vers l’Est jusqu’au moment où ils aperçoivent le Mont Blanc et les lumières de Genève. Les 2 repères suivants sont les lacs du Bourget et d’Annecy ; il faut ensuite suivre la ligne de chemin de fer Annecy-La Roche sur Foron en direction du Nord, jusqu’à la gare de Groisy facilement reconnaissable en raison de la route sinueuse qui la traverse. De là, cap à l’Est sur une dizaine de kilomètres le long d’une route située entre la Montagne sous Dine et le Parmelan qui culmine à environ 1800 mètres. Les navigateurs peuvent également viser la bissectrice virtuelle de l’angle formé par les lacs d’Annecy et Léman (comme sur le plan ci-joint). Pour le parachutage du 10 mars 44 : départ à 19h56, largage des containers sur le plateau des Glières à 23h48, atterrissage à Tempsford à 3h01. Les maquisards repèrent le terrain par des feux alimentés par des bûchers ou de simples casseroles remplies d’essence ; ils peuvent représenter un rectangle (aux 4 coins du terrain), un triangle , un losange ou une croix de Lorraine. Et en plus, le responsable au sol de la réception communique l’indicatif de terrain en morse avec sa lampe de poche. Pour les Glières : M16 (— —/ . ————/ — . . . .). Tous les avions n’arrivent pas à destination ; la chasse de nuit allemande a occasionné jusqu’à 40 % de pertes en un mois de juillet 44. Pour le largage, tous les parachutes ne s’ouvrent pas, ce qui conduit à la destruction des containers, des colis peuvent tomber dans des zones tenues par les Allemands, dans des régions éloignée des maquis, sur des terrains escarpés et inaccessibles ou s’enfoncer irrémédiablement dans la neige. Il y a aussi des équipes de réception qui peuvent venir se greffer sur une opération qui ne leur était pas destinée : rapport du 3 août 44. « Annoncé : 72 avions, 150 tonnes. Observé : 9 à 10 avions, 325 à 360 tubes ; recensé 206 tubes (manque 20 à 30 tubes). La raison de ce déficit est la suivante : un des responsables, le chef de centaine d’Épagny, un certain Lequll, a réquisitionné les guetteurs d’un autre et a allumé une croix de Lorraine (but au centre) à la plaine de Dran au lieu des Glières, donc erreur de 2 km ». 1
Invité Moustique69002 Publication: 17 juillet 2014 Publication: 17 juillet 2014 (modifié) Hommage à Jules Hottin, ancien commandant des gardiens de la Paix de Lyon, révoqué, et qui fut obligé de fuir & gagner le maquis du Vercors, donnant son nom à une place. http://ruesdelyon.wysiup.net/PageRubrique.php?ID=1007865&rubID=1007876 et cliquer sur "Bet" à droite de la photo. Des archives ont été remises par la famille au Centre d'histoire de la Résistance et de la déportation - Lyon Lorsqu'il reprit son service après la Libération, il en retrouva certains de ceux que l'on qualifiait de "pétainistes". Le "nouveau pouvoir" avait néanmoins besoin de garder en place des "Papons" en des postes clé, ceci pour éviter le "péril communiste". Modifié 17 juillet 2014 par Moustique69002
black5 Publication: 19 juillet 2014 Publication: 19 juillet 2014 Pour en "finir" avec le récit du Commandant Tanant, le bilan humain du Vercors c'est du côté français 700 morts (500 maquisards et 200 civiils) souvent sauvagement abattus par les allemands, blessés achevés. Le côté positif de ce maquis a été la reconstitution de régiments (6ème BCA, 11ème Cuirassiers), le nombre limité(relativement) est dû à la discipline et à l'organisation militaires qui ont prévalu. Sur le plan militaire le maquis a été un succès en étant une gêne importante pour l'ennemi. Il a été une pépinière de combattants pour la libération du Dauphiné puis de Lyon. A noter que la population du Vercors a été d'une grande aide (ravitaillement, renseignement) pour le maquis, peut-être parce que nombre de membres du maquis en étaient originaires. 1
Rail cassé Publication: 19 juillet 2014 Publication: 19 juillet 2014 on dit pas le Dauph on dit le Daubé ce sont les gens de la plaine qui disent " le Daubé "! hi! hi! hi! Article passionnants ci dessus!!!
Invité jackv Publication: 15 août 2014 Publication: 15 août 2014 (modifié) le monde supplément "Libération de la France 4/12" page 19 http://www.lemonde.fr/journalelectronique/donnees/libre/20140815/index.html?version=null Extraits "Les maquisards, ni héros ni victimes L'annonce du Débarquement provoque un afflux massif de volontaires désireux de combattre l'occupant. Les pertes, davantage dues aux exécutions sommaires qu'aux combats, seront lourdes Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, la BBC diffuse 210 messages appelant à l'action la Résistance française, Au printemps 1944, les maquisards ne sont sans doute guère plus de 50 000, concentrés dans des zones de moyenne montagne. La mobilisation après le 6 juin déborde cependant ces schémas trop bien ajustés. L'annonce du Débarquement et les appels de la BBC agissent comme un électrochoc, et mobilisent des milliers de volontaires . Dans le Vercors, les effectifs passent ainsi en quelques jours de quelques centaines à près de 4 000, Dans l'Oisans proche, on passe de quelques dizaines à plus d'un millier d'hommes. Même poussée dans le Limousin, où Pierre Magadoux, un des compagnons du fameux Georges Guingouin, parle d'une " ruée vers les bois ". Mais ce gonflement des maquis pose le double problème de leur armement et de leur encadrement, donc de leur efficacité militaire face à la Wehrmacht. Le 14 juillet 1944, l'" opération Cadillac " fait pleuvoir en plein jour 3 780 conteneurs, soit 400 tonnes d'armes et de munitions, suspendus à des parachutes tricolores. Le problème de l'encadrement est plus délicat encore. Officiers et sous-officiers ne sont jamais assez nombreux pour former les nouveaux volontaires. Dans l'actuelle région Rhône-Alpes, la 157e division de montagne du général Pflaum conduit plusieurs opérations successives contre les maquis : dans l'Ain (7-19 juillet), dans le Vercors (21 juillet-5 août) et l'Oisans (8-18 août). Dans le Limousin, la division SS Das Reich reçoit l'ordre d'écraser les maquis. Ces interventions s'accompagnent d'exactions sur une échelle jusque-là inconnue en France. Si l'on connaît bien Tulle, Oradour-sur-Glane et Vassieux, il faut citer aussi Le Cheylard le 7 juin (34 victimes), Argenton-sur-Creuse le 9 juin (56 victimes), Dortan en juillet (36 victimes), etc. Du côté des maquisards, devenus en fait les combattants d'une armée de libération, les pertes sont moins dues aux combats qu'à l'exécution sommaire après capture. En outre, les pertes sont plus élevées chez les néophytes de juin-juillet 1944 que chez les vieux maquisards endurcis par les hivernages en forêt, plus disciplinés et mieux entraînés. Le bilan de l'action des maquis est aujourd'hui revu à la baisse par les historiens.On ne peut cependant en rester à ce constat. La phrase attribuée à Eisenhower, convertissant l'action de la Résistance en l'équivalent de " quinze divisions ", n'a guère de sens. Il écrit en fait dans ses propres Mémoires de guerre, Croisade en Europe (1949), que " sans eux, la libération de la France et la défaite de l'ennemi en Europe occidentale auraient été bien plus longues et nous auraient coûté davantage de pertes ". L'existence des maquis, la menace qu'ils incarnent entourent la Wehrmacht d'un halo d'insécurité et émoussent sa capacité combative. Exemples :la piteuse retraite de la division Pflaum vers l'Italie. A l'inverse, une progression rapide par la route Napoléon des forces alliées débarquées le 15 août." Modifié 15 août 2014 par jackv
Invité Fabr Publication: 15 août 2014 Publication: 15 août 2014 Dans le bouquin de Christian Wyler « la longue marche de la division 157 », un chapitre est consacré aux « les parachutages, une manne venue du ciel ». C’est passionnant et impressionnant. La « french section » du SOE dispose de 15 bombardiers Halifax MBK2 d’une autonomie de 4000 km environ. Ils utilisent occasionnellement des monomoteurs Lysander, des Stirling et des bimoteurs Hudson. Ils effectuent environ 50 sorties par mois sur la France pendant les 12 jours de lunaison favorable, car le vol depuis l’aérodrome de Tempsford près de Cambridge jusqu’aux Glières (par exemple) s’effectue en vol à vue. Les avions traversent la Manche au raz des vagues pour éviter les radars, grimpent ensuite à 8000 pieds pour franchir le mur de l’Atlantique puis redescendent pour pouvoir distinguer le sol. Pour arriver aux Glières, les navigateurs commencent par rechercher la Loire, le long de laquelle ils doivent repérer Blois. Ils se dirigent ensuite vers l’Est jusqu’au moment où ils aperçoivent le Mont Blanc et les lumières de Genève. Les 2 repères suivants sont les lacs du Bourget et d’Annecy ; il faut ensuite suivre la ligne de chemin de fer Annecy-La Roche sur Foron en direction du Nord, jusqu’à la gare de Groisy facilement reconnaissable en raison de la route sinueuse qui la traverse. De là, cap à l’Est sur une dizaine de kilomètres le long d’une route située entre la Montagne sous Dine et le Parmelan qui culmine à environ 1800 mètres. Les navigateurs peuvent également viser la bissectrice virtuelle de l’angle formé par les lacs d’Annecy et Léman (comme sur le plan ci-joint). Pour le parachutage du 10 mars 44 : départ à 19h56, largage des containers sur le plateau des Glières à 23h48, atterrissage à Tempsford à 3h01. Les maquisards repèrent le terrain par des feux alimentés par des bûchers ou de simples casseroles remplies d’essence ; ils peuvent représenter un rectangle (aux 4 coins du terrain), un triangle , un losange ou une croix de Lorraine. Et en plus, le responsable au sol de la réception communique l’indicatif de terrain en morse avec sa lampe de poche. Pour les Glières : M16 (— —/ . ————/ — . . . .). Tous les avions n’arrivent pas à destination ; la chasse de nuit allemande a occasionné jusqu’à 40 % de pertes en un mois de juillet 44. Pour le largage, tous les parachutes ne s’ouvrent pas, ce qui conduit à la destruction des containers, des colis peuvent tomber dans des zones tenues par les Allemands, dans des régions éloignée des maquis, sur des terrains escarpés et inaccessibles ou s’enfoncer irrémédiablement dans la neige. Il y a aussi des équipes de réception qui peuvent venir se greffer sur une opération qui ne leur était pas destinée : rapport du 3 août 44. « Annoncé : 72 avions, 150 tonnes. Observé : 9 à 10 avions, 325 à 360 tubes ; recensé 206 tubes (manque 20 à 30 tubes). La raison de ce déficit est la suivante : un des responsables, le chef de centaine d’Épagny, un certain Lequll, a réquisitionné les guetteurs d’un autre et a allumé une croix de Lorraine (but au centre) à la plaine de Dran au lieu des Glières, donc erreur de 2 km ». navigation.jpg Pour qui a été mettre ses ailes dans le secteur, en vol à vue, je n'ose imaginer s'engouffrer dans les vallées en vol de nuit....Il fallait vraiment la bonne combinaison de lune et de météo favorable... Fabrice
VSG Publication: 16 août 2014 Publication: 16 août 2014 (modifié) Pour qui a été mettre ses ailes dans le secteur, en vol à vue, je n'ose imaginer s'engouffrer dans les vallées en vol de nuit....Il fallait vraiment la bonne combinaison de lune et de météo favorable... Fabrice Comme le montre la page du livre, les avions étaient en altitude, entre 2 et 3000 mètres d’altitude, et les terrains de parachutage se trouvaient sur les plateaux. En plus des avions abattus, il y avait aussi des crashs suite à des erreurs de navigation ainsi que des avions qui n’ont jamais trouvé l’objectif. Il y en a même un qui a parachuté son matériel en Suisse. Modifié 16 août 2014 par VSG 2
VSG Publication: 17 août 2014 Publication: 17 août 2014 Une amie pilote amateur m’a donné ces photos prises en vol, sur le Mont Aiguille au premier plan, et la grande muraille qui protège le plateau sud Vercors occupé par les maquisards, en arrière plan. Une vue sur la prairie du mont Aiguille ; la première escalade a été faite par Antoine de Ville en 1492, à l’aide d’échelles et de pitons, c'est intéressant de lire le récit de cette première escalade, ils avaient emmené de force un curé pour bénir le sommet ! En 1957, un avion a atterri sur la prairie du mont Aiguille 3
Invité jackv Publication: 17 août 2014 Publication: 17 août 2014 (modifié) petit HS sur H Giraud il devait utilisé un piper choucas a cylindres extérieur d’après le film de ce fait je ne suis pas sur que sur le film il s'agisse d'un des dernières version de super club (PA-18) Caractéristiques techniques Monoplan à aile haute semi-cantilever sans volets Biplace en tandem à cabine fermée (le pilote étant en place arrière pour des raisons de centrage) Brain classique fixe avec roulette de queue Moteur Continental 4 cylindres à plat refroidi par air Le moteur se lance à la main, même si beaucoup sont aujourd'hui équipés d'un démarreur électrique Réservoir d'essence de 45 litres dans le nez de l'appareil Consommation : 16 l/h Masse à vide : environ 300 kg ou plus, selon équipements (démarreur, alternateur, radio, ...) Distance de décollage : 130 m Passage des 15 m : 245 m Distance d'atterrissage après passage des 15 m : 200 m Roulage à l'atterrissage : 115 m le premier Piper J-3 Cub est équipé d'un moteur Continental A50 de 50 ch. PA-18 Super Cub, produit de 1949 jusqu'à 1994 et doté de moteurs de 90 à 150 ch http://fr.wikipedia.org/wiki/Piper_Cub C'est un Piper Cub (n° 329911) qui, le 24 août 1944 avec le capitaine Jean Callet aux commandes et le lieutenant Étienne Mantoux comme observateur, survolera à très basse altitude Paris et la Préfecture de Police pour transmettre aux résistants le message du Philippe Leclerc de Hauteclocque « Tenez bon, nous arrivons » annonçant l'arrivée imminente des troupes franco-américaines afin de délivrer la ville de l'occupation allemande. Modifié 17 août 2014 par jackv
Rail cassé Publication: 17 août 2014 Publication: 17 août 2014 Une amie pilote amateur m’a donné ces photos prises en vol, sur le Mont Aiguille au premier plan, et la grande muraille qui protège le plateau sud Vercors occupé par les maquisards, en arrière plan. 004 Mt Aiguille E.jpg Une vue sur la prairie du mont Aiguille ; la première escalade a été faite par Antoine de Ville en 1492, à l’aide d’échelles et de pitons, c'est intéressant de lire le récit de cette première escalade, ils avaient emmené de force un curé pour bénir le sommet ! En 1957, un avion a atterri sur la prairie du mont Aiguille 033 Mt Aiguille NW.jpg quand on vous dit que la terre est plate et qu'au bout, on tombe de la table!!! De bien belles images de cet atterro très risqué!!!!magnifique. 1
Invité jackv Publication: 18 août 2014 Publication: 18 août 2014 (modifié) Dans le bouquin de Christian Wyler « la longue marche de la division 157 », un chapitre est consacré aux « les parachutages, une manne venue du ciel ». La « french section » du SOE dispose de 15 bombardiers Halifax MBK2 d’une autonomie de 4000 km environ. Ils utilisent occasionnellement des monomoteurs Lysander, des Stirling et des bimoteurs Hudson. Ils effectuent environ 50 sorties par mois sur la France pendant les 12 jours de lunaison favorable, car le vol depuis l’aérodrome de Tempsford près de Cambridge jusqu’aux Glières (par exemple) s’effectue en vol à vue. redescendent pour pouvoir distinguer le sol. Pour arriver aux Glières, les navigateurs commencent par rechercher la Loire, le long de laquelle ils doivent repérer Blois. Ils se dirigent ensuite vers l’Est jusqu’au moment où ils aperçoivent le Mont Blanc et les lumières de Genève. Les 2 repères suivants sont les lacs du Bourget et d’Annecy ; il faut ensuite suivre la ligne de chemin de fer Annecy-La Roche sur Foron en direction du Nord, jusqu’à la gare de Groisy facilement reconnaissable en raison de la route sinueuse qui la traverse. De là, cap à l’Est sur une dizaine de kilomètres le long d’une route située entre la Montagne sous Dine et le Parmelan qui culmine à environ 1800 mètres. voici ce que cela donne sur gougleu de annecy à groisy en suivant le train puis au plateau entre "sous dine" et "parmelan" a a peut prêt 800m mais de jour.. Modifié 18 août 2014 par jackv
Invité jackv Publication: 18 août 2014 Publication: 18 août 2014 les différents avions cités Halifax (le plus connu) 4moteurs,1280ch,Vmax 426km/h Lysander 1moteur,890ch,Vmax 336km/h stirling 4moteurs,1375ch,Vmax 454km/h hudson 2moteurs,1200ch,Vmax 400km/h
Invité jackv Publication: 18 août 2014 Publication: 18 août 2014 (modifié) photo du plateau zones de parachutage on voit le monument commémoratif photos "ma collection" datant d'il y a 10ans (je n'ai pas eu le courage de scanner les négatifs , donc c'est pas terrible comme rendu) petit HS ) l'éleveur qui en-montagne chaque année l'été sur le plateau a sa ferme a La clusaz et il a obtenu ces deux dernières années la médaille d'or du salon de l'agriculture pour ses reblochons.. http://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_des_Gli%C3%A8res http://fr.wikipedia.org/wiki/Plateau_des_Gli%C3%A8res Modifié 18 août 2014 par jackv
Invité jackv Publication: 14 mars 2015 Publication: 14 mars 2015 pour continuer sur le maquis de la haute Savoie ,les glieres et le cimetière de morette demain le dimanche 15 mars se déroulera au cimetière de MORETTE la cérémonie annuelle du souvenir d'hommage et de recueillement sur les tombes de maquisards tombés durant la dernière guerre (Glières et autres) http://memoire74.canalblog.com/archives/2015/03/02/31631595.html pas de problème de parking et ensuite vin d'honneur à la salle des fêtes de Thônes
Invité jackv Publication: 25 avril 2015 Publication: 25 avril 2015 Paroles de Résistances 2015 les 23 et 24 mai aux Glières Chers ami-e-s, Comme chaque année depuis 2007, l'association "Citoyens Résistants d'Hier et d'Aujourd'hui", dont Gilles Perret et La Vaka sont très proches, organise le rassemblement "Paroles de Résistances". Cette année, cela se déroulera le samedi 23 mai à Thorens-Glières (74) et le dimanche 24 mai au Plateau des Glières (74). Des débats, des films, des conférences, du théâtre et des prises de paroles solennelles vous seront proposés. En présence, entre autres, de Florence Aubenas, Denis Robert, Patrick Pelloux, Annette Beaumanoir (résistante), Walter Bassan (pdt de la FNDIRP), Irène Frachon, François Ruffin, Clémentine Autain, Paul Ariès, Yannis Youlountas, etc. Retrouver le programme sur: http://shin.mj.am/link/shin/iw8485z/3/BLJTVbEZCMFHwzwD-Ninmg/aHR0cDovL3d3dy5jaXRveWVucy1yZXNpc3RhbnRzLmZyLw Si vous voulez donner un coup de main en tant que bénévole ou proposer des logements chez l'habitant, prenez contact sur citoyen.2008@yahoo.fr A très bientôt pour ces rencontres résistantes. Réservez dès à présent votre week-end. C'est celui de la Pentecôte!
Invité jackv Publication: 31 mars 2019 Publication: 31 mars 2019 Aujourd'hui commémoration des 75 ans de la bataille des Glières à morette à côté de thones
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