titisse76 Publication: 31 juillet 2007 Partager Publication: 31 juillet 2007 (modifié) Voyez comment 6 gars taillés à la serpette peuvent faire pleurer une jolie demoiselle en moins de 4 minutes : ici. Et ici en moins de 2 minutes! (et ça chante quand même beaucoup moins faux...) http://fr.youtube.com/watch?v=Tluogv9EGTQ Modifié 31 juillet 2007 par titisse76 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roukmoute Publication: 31 juillet 2007 Partager Publication: 31 juillet 2007 (modifié) Et ici en moins de 2 minutes! (et ça chante quand même beaucoup moins faux...) http://fr.youtube.com/watch?v=Tluogv9EGTQ Le rapport entre les 2 ??? C'est un clip, donc pas la vraie vie ( même si les images ne sont pas joisse, il est vrai... ). Modifié 31 juillet 2007 par Roukmoute Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roukmoute Publication: 3 août 2007 Partager Publication: 3 août 2007 (modifié) Évènement !!!( Enfin, façon de causer, vu que ça s'est passé en 2006... ) À l'occasion des 20 ans de l'album " Master of Puppets ", Metallica a joué Orion en concert, et ça donne ça... ( Perso, je considère que c'est un de leurs meilleurs morceaux. ) lotrela Modifié 3 août 2007 par Roukmoute Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dom Le Trappeur Publication: 4 août 2007 Partager Publication: 4 août 2007 Le nouvel album de Marie Cherrier, "Alors Quoi ?", sortira le 14 septembre 2007. Découvrez " le temps des noyaux", le premier single extrait de ce disque. http://www.larriereboutique.fr/site/-Marie-Cherrier-.html N'oubliez pas de mettre le son... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Audrey Publication: 4 août 2007 Partager Publication: 4 août 2007 Dis, quand reviendras-tu ? Barbara Voilà combien de jours, voilà combien de nuits, Voilà combien de temps que tu es reparti, Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage, Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage, Au printemps, tu verras, je serai de retour, Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour, Nous irons voir ensemble les jardins refleuris, Et déambulerons dans les rues de Paris, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus, Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà, Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois, A voir Paris si beau dans cette fin d'automne, Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne, Je tangue, je chavire, et comme la rengaine, Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne, Ton image me hante, je te parle tout bas, Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus, J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours, J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour, Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir, Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs, Je reprendrai la route, le monde m'émerveille, J'irai me réchauffer à un autre soleil, Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin, Je n'ai pas la vertu des femmes de marins, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dom Le Trappeur Publication: 4 août 2007 Partager Publication: 4 août 2007 Salut Audrey Ahhhh ! Barbara !! bigbisous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roukmoute Publication: 4 août 2007 Partager Publication: 4 août 2007 Louise Attaque Tes Yeux Se Moquent Ce soir je marche beaucoup ce soir je t'aime à reculons demain je pars pour Londres demain il faut croire, je vole Et je me moque que tu m'aies pas regardé ce soir sur moi t'as posé les yeux. Ce soir je t'aime amer demain je sens mes yeux se brouillent demain ne vient pas très clair alors ce soir je vadrouille Et je me moque que tu m'aies pas regardé ce soir sur moi t'as posé les yeux. Ce soir je me raconte une histoire demain je te vois pour déjeuner demain je me demande si ce soir je ne te voudrais pas pour dîner. Et je me moque que tu m'aies pas regardé ce soir sur moi t'as posé les yeux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tophe Publication: 4 août 2007 Partager Publication: 4 août 2007 Évènement !!!( Enfin, façon de causer, vu que ça s'est passé en 2006... ) À l'occasion des 20 ans de l'album " Master of Puppets ", Metallica a joué Orion en concert, et ça donne ça... ( Perso, je considère que c'est un de leurs meilleurs morceaux. ) Merci pour l'info, c'est bien la 1ère fois que je les vois la faire en live...... Excellent............ lotrela Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gordio Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Un melange de latin jazz et flamenco assez bien reussi ! Diego 'El Cigala' & Bebo Valdes 1. Inolvidable 2. Nieblas Del Riachuelo 3. Veinte Anos 4. La Bien Paga en écoute>>> Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dom Le Trappeur Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Découvertes du jour : Marie-Annick Lépine (ex les cow-boys fringuants) Michel Bühler : un suisse qui n'a pas sa langue dans sa poche essayez d'écouter : "mondialisation" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BB4100 Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Entre le Velvet Undergroud et Calvin Russel, un peu d'Yves Jamait (y'a aucun rapport...). J'aime bien ses textes sur un rythme bien jazz et puis ça flatte les chauvins du forum Dijon Pour avoir foulé ton pavé Usé mes s'melles sur tes trottoirs Je te connais du bout du pied Du bout du coeur, du bout du r'gard Depuis le temps que je circule Que je coule dans tes artères Cellule parmi tes cellules C'est ton coeur qui me régénère Pour ces heures passées dans tes nuits Ma pudique bourgeoise Où pour me faire le don d'un lit Tu fus plus que courtoise Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde Je te salue, ma vieille Dijon Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître Bien sûr tu as exacerbé Mes aigreurs de jeunesse Mais tu es longue à décoincer À te bouger les fesses Aussi j'ai voulu te quitter Pour une autre, plus littorale Bien que la fille fût dessalée Me manquait mon canal Et vois-tu, je suis revenu Ma précieuse bourgeoise Et je ne te quitterai jamais plus Pour une plus grivoise Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde Je te salue, ma vieille Dijon Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître Moi qui te croyais pudibonde Tu as rosi, ce n'est pas sage Voilà que tu te dévergondes Quand moi je passe l'âge Je vais vieillir encore un peu Et cultiver nos différences Au creux de ton cou capiteux Jusqu'au dernier silence J'ai encore quelques heures dans tes nuits À passer, ma bourgeoise Et pour me faire le don d'un lit Tu s'ras toujours courtoise Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde Je te salue, ma vieille Dijon Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde Je te salue, ma vieille Dijon Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ibrahima Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 (modifié) Bon, çà oblige à contre-balancer avec du Nougaro çà (j'avais entendu une bourrée auvergnate sur Clermont-Ferrand dans une radio locale une fois dans le même esprit, mais j'ai peu de chance d'y retrouver...). Qu'il est loin mon pays, qu'il est loin Parfois au fond de moi se ranime L'eau verte du canal du Midi Et la brique rouge des Minimes Ô mon pays, ô Toulouse, ô Toulouse Je reprends l'avenue vers l'école Mon cartable est bourré de coups de poings Ici, si tu cognes, tu gagnes Ici, même les mémés aiment la castagne Ô mon pays, ô Toulouse Un torrent de cailloux roule dans ton accent Ta violence bouillone jusque dans tes violettes On se traite de con à peine qu'on se traite Il y a de l'orage dans l'air et pourtant L'église Saint-Sernin illumine le soir Une fleur de corail que le soleil arrose C'est peut-être pour ça malgré ton rouge et noir C'est peut-être pour ça qu'on te dit Ville Rose Je revois ton pavé, ô ma cité gasconne Ton trottoir éventré sur les tuyaux du gaz Est-ce l'Espagne en toi qui pousse un peu sa corne Ou serait-ce dans tes tripes une bulle de jazz ? Voici le Capitole, j'y arrête mes pas Les ténors enrhumés tremblent sous leurs ventouses J'entends encore l'écho de la voix de papa C'était en ce temps-là mon seul chanteur de blues Aujourd'hui, tes buildings grimpent haut A Blagnac, tes avions ronflent gros Si l'un me ramène sur cette ville Pourrai-je encore y revoir ma pincée de tuiles Ô mon pays, ô Toulouse, ô Toulouse http://www.google.fr/url?q=http://www.yout...4whMiMc2FQvnUqw Modifié 12 août 2007 par ibrahima Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Audrey Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Georges Brassens Je me suis fait tout petit Je n'avais jamais ôté mon chapeau Devant personne Maintenant je rampe et je fait le beau Quand ell' me sonne J'étais chien méchant, ell' me fait manger Dans sa menotte J'avais des dents d'loup, je les ai changées Pour des quenottes Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui ferm' les yeux quand on la couche Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui fait Maman quand on la touche J'était dur à cuire, ell' m'a converti La fine bouche Et je suis tombé tout chaud, tout rôti Contre sa bouche Qui a des dents de lait quand elle sourit Quand elle chante Et des dents de loup quand elle est furie Qu'elle est méchante Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui ferm' les yeux quand on la couche Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui fait Maman quand on la touche Je subis sa loi, je file tout doux Sous son empire Bien qu'ell' soit jalouse au-delà de tout Et même pire Un' jolie pervenche qui m'avait paru Plus jolie qu'elle Un' jolie pervenche un jour en mourut A coup d'ombrelle Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui ferm' les yeux quand on la couche Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui fait Maman quand on la touche Tous les somnambules, tous les mages m'ont Dit sans malice Qu'en ses bras en croix, je subirais mon Dernier supplice Il en est de pir's il en est d'meilleures Mais à tout prendre Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs S'il faut se pendre Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui ferm' les yeux quand on la couche Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée Qui fait Maman quand on la touche Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BB4100 Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Georges Brassens Haha, Audrey sort l'artillerie lourde Dans les morceaux rares: les Radis. brassens l'a écrite mais il est mort avant de l'avoir enregistrée. Mais ça vaut le coup Les radis Chacun sait qu'autrefois les femmes convaincues d'adultère, Se voyaient enfoncer dans un endroit qu'il me faut taire Par modestie, Un énorme radis. Or quand j'étais tout gosse, un jour de foire en mon village, J'eus la douleur de voir punir d'une épouse volage La perfidie, Au moyen du radis. La malheureuse fut traînée sur la place publique, Par le cruel cornard armé du radis symbolique, Ah ! Sapristi, Mes aïeux quel radis ! Vers la pauvre martyre on vit courir les bonnes épouses Qui, soit dit entre nous, de sa débauche étaient jalouses. Je n'ai pas dit : Jalouses du radis. Si j'étais dans les rangs de cette avide et basse troupe, C'est qu'à cette époque-là j'n'avais encore pas vu de croupe Ni de radis, Ça m'était interdit. Le cornard attendit que le forum fût noir de monde, Pour se mettre en devoir d'accomplir l'empalement immonde, Lors il brandit, Le colossal radis. La victime acceptait le châtiment avec noblesse, Mais il faut convenir qu'elle serrait bien fort les fesses Qui, du radis, Allaient être nanties. Le cornard mit l'radis dans cet endroit qu'il me faut taire, Où les honnêtes gens ne laissent entrer que des clystères. On applaudit, Les progrès du radis. La pampre du légume était seule à présent visible, La plante était allée jusqu'aux limites du possible, On attendit, Les effets du radis. Or, à l'étonnement du cornard et des grosses pécores L'empalée enchantée criait : « Encore, encore, encore, Hardi hardi, Pousse le radis, dis ! » Elle dit à pleine voix : « J'n'aurais pas cru qu'un tel supplice, Pût en si peu de temps me procurer un tel délice ! Mais les radis, Mènent en paradis ! » Elle n'avait pas fini de chanter le panégyrique, Du légume en question que toutes les pécores lubriques Avaient bondi, Vers les champs de radis. L'œil fou, l'écume aux dents, ces furies se jetèrent en meute, Dans les champs de radis qui devinrent des champs d'émeute. Y en aura-t-y, Pour toutes, des radis ? Ell's firent un désastre et laissèrent loin derrière elles, Les ravages causés par les nuées de sauterelles. Dans le pays, Plus l'ombre d'un radis. Beaucoup de maraîchers constatèrent qu'en certain nombre, Il leur manquait aussi des betteraves et des concombres Raflés pardi, Comme de vils radis. Tout le temps que dura cette manie contre nature, Les innocents radis en virent de vertes et de pas mûres, Pauvres radis, Héros de tragédie. Lassés d'être enfoncés dans cet endroit qu'il me faut taire, Les plus intelligents de ces légumes méditèrent. Ils se sont dit : « Cessons d'être radis ! » Alors les maraîchers semant des radis récoltèrent, Des melons, des choux-fleurs, des artichauts, des pommes de terre Et des orties, Mais pas un seul radis. A partir de ce jour, la bonne plante potagère, Devint dans le village une des denrées les plus chères Plus de radis, Pour les gagne-petit. Certaines pécores futées dirent sans façons : « Nous, on s'en fiche, De cette pénurie, on emploie le radis postiche Qui garantit, Du manque de radis. » La mode du radis réduisant le nombre de mères, Qui donnaient au village une postérité, le maire, Dans un édit, Prohiba le radis. Un crieur annonça : « Toute femme prise à se mettre, Dans l'endroit réservé au clystère et au thermomètre Même posti- Che un semblant de radis Sera livrée aux mains d'une maîtresse couturière, Qui, sans aucun délai, lui faufilera le derrière Pour interdi- Re l'accès du radis. » Cette loi draconienne eut raison de l'usage louche, D'absorber le radis par d'autres voies que par la bouche, Et le radis, Le légume maudit, Ne fut plus désormais l'instrument de basses manœuvres, Et n'entra plus que dans la composition des hors-d'œuvre Qui, à midi, Aiguisent l'appétit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nekro Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 haemorrhage, cliteater, kreator, dying fetus etc tout un we okok sans compter les voisins du camping à l'arrache fans de grindcore qui faisaient gueuler leur sono toute la journée et les autres autour idem en version plus variée sinon le reveil en sursaut d'une sieste à l'arrache au son d'un énorme coup de basse d'un groupe de brutal black restera un souvenir très bigbisous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BB4100 Publication: 12 août 2007 Partager Publication: 12 août 2007 Et puis tant qu'on y est: Le Blason Ayant avecques lui toujours fait bon ménage, J'eusse aimé célébrer sans être inconvenant Tendre corps féminin ton plus bel apanage, Que tous ceux qui l'ont vu disent hallucinant. C'eût été mon ultime chant mon chant du cygne, Mon dernier billet doux mon message d'adieu Or malheureusement les mots qui le désignent, Le disputent à l'exécrable à l'odieux. C'est la grande pitié de la langue française, C'est son talon d'Achille et c'est son déshonneur De n'offrir que des mots entachés de bassesse, A cette incomparable instrument de bonheur. Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques, Tendre corps féminin c'est fort malencontreux Que ta fleur la plus douce, et la plus érotique, Et la plus enivrante, en ait de si scabreux. Mais le pire de tous est un petit vocable, De trois lettres pas plus, familier, coutumier Il est inexplicable, il est irrévocable, Honte à celui-là qui l'employa le premier. Honte à celui-là qui par dépit par gageure, Dota du même terme en son fiel venimeux Ce grand ami de l'homme et la cinglante injure, Celui-là c'est probable en était un fameux. Misogyne à coup sûr asexué sans doute, Aux charmes de Vénus absolument rétif Était ce bougre qui toute honte bue toute, Fit ce rapprochement d'ailleurs intempestif. La male peste soit de cette homonymie, C'est injuste madame et c'est désobligeant Que ce morceau de roi de votre anatomie, Porte le même nom qu'une foule de gens. Fasse le ciel qu'un jour, dans un trait de génie, Un poète inspiré que Pégase soutient Donne, effaçant d'un coup des siècles d'avanie, A cette vraie merveille, un joli nom chrétien. En attendant madame, il semblerait dommage, Et vos adorateurs en seraient tous peinés D'aller perdre de vue que pour lui rendre hommage, Il est d'autres moyens et que je les connais Et que je les connais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Audrey Publication: 14 août 2007 Partager Publication: 14 août 2007 Depuis quelques temps, cette chanson me trotte de nouveau dans la tête...et je repense à cette personne si chère que j'admire. Dure épreuve à vivre ensemble, je n'ai pas été à la hauteur, il l'a été pour deux...il me manque. Mano Solo Au creux de ton bras Ça fait des heures que tu l'attends T'as mal aux os, t'as mal au dos Tu transpires, c'est pas parce qu'il fait chaud Et tu trembles, c'est pas parce que t'as froid Et tu l'attends le salaud Il prend son temps Il sait qu'il aura ton argent Tu ferais n'importe quoi Pour l'avoir ton petit képa1 Tu voudrais la sentir déjà au creux de ton bras La femme de ceux qui n'en ont pas Tu le vois venir de loin C'est ton soleil qui revient Avec sa sale petite gueule d'enculé C'est sûr que, ce mec-là, il va t'arnaquer Mais, déjà tu flippes2 comme un chien De peur qu'il te dise qu'il n'a rien Et quand il tend sa merde avec mépris Tu vas même jusqu'à lui dire merci Tu cours dans une sanisette Et là pour toi c'est la fête Et là avec l'eau de la cuvette Tu prépares ta petite dinette Et quand enfin tu plantes ton pieu Dans ton bras devenu noueux Et que le rouge se mêle au blanc C'est la fin du tourment Tu la sens maintenant au creux de ton bras La femme de ceux qui n'en ont pas Et tu piques du zen3 dans la rue Et déjà tu te souviens même plus Qui t'étais avant, du temps où t'avais des couilles Où t'étais fier, du temps où t'avais même T'avais même des rêves Et tu piques du zen dans la rue J'ai comme envie de te botter le cul Mais j'ai bien trop peur de te casser en deux Tellement que t'as l'air d'un petit vieux Emmène-la au creux de ton bras La femme de ceux qui n'en ont pas Elle est vieille ta femme Elle est trop vieille pour toi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
katamiaw Publication: 15 août 2007 Partager Publication: 15 août 2007 En ce moment c'est à fond les manettes sur Monsieur Laurent Garnier avec son dernier album: Public out burst De l'électronique et du jazz dans des lieux atypiques : tel est le programme que nous propose le Français au parcours atypique. Pour ce faire, il a réuni quelques-uns de ses amis artistes. Le nom de Laurent Garnier est souvent évoqué lorsqu'il s'agit de citer un artiste de la scène électronique hexagonale. Le dj est en effet un activiste dont l'énergie n'a jamais réussi à être canalisée au fil des années. Sa carrière est tellement riche (en mixes, rencontres, événements...) qu'il serait probablement impossible de la résumer en quelques lignes. Il faut dire que le Français a déjà deux décennies de travaux au compteur et qu'il ne compte visiblement pas prendre sa retraite de si tôt. Son dernier projet en date vient graver dans le marbre ses différentes rencontres avec des artistes de talent, désormais amis. Les cuivres de Philippe Nadaud et les claviers de Benjamin Rippert et de Bugge Wesseltoft viennent agrémenter les sons électroniques de Laurent Garnier, sur fond de musiques plutôt surprenantes. Si vous étiez resté(e) à l'esprit techno exalté de l'artiste, vous pouvez tout oublier pour découvrir cette mixture mêlant vieille ambiance free jazz et modernité des machines. Entre l'Allemagne, l'Irlande et la France, la bande a enregistré ses répétitions et ses apparitions live pour réaliser cet album court (de sept titres) mais très intense. Écoutez plutôt le superbe "Barbiturik Blues" et imaginez un set féerique capté sur le Pont du Gard... Intense et saisissant ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nekro Publication: 16 août 2007 Partager Publication: 16 août 2007 pour zoreglube: je sais pas si tu connais mais le groupe à un vrai frontman qui fait toujours le con sur scène dans une version très humour noir, le tout agrémenté d'un sourire de psychopathe: http://fr.youtube.com/watch?v=xKDryDwPc9Q&NR=1 :Smiley_62: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gordio Publication: 20 août 2007 Partager Publication: 20 août 2007 Pour moi, cette semaine c'est Bang Gang 'Something wrong' en écoute>>> Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jay17 Publication: 20 septembre 2007 Partager Publication: 20 septembre 2007 (modifié) Tryo Pour un flirt avec la crise Elle est plus forte que toi la crise ! Usée, laminée la populace se hisse On est lourd de cernes mais la foule se glisse Dans un couloir de métro Les yeux rivés sur l'aiguille à regarder passer le temps Qui se faufile comme une anguille Et ne cesse De te mettre dans le vent ... Tu finiras cul et chemise Dans ton flirt avec la crise ! {2x} Abattu et crevé, le dos courbé par ton horaire Tu ne sais plus quoi faire pour te distraire Grincement du métro le train est à l'approche C'est le mouvement de foule Qui te noie comme la houle Tu cours sans y penser le temps t'est compté Chaque minute de gagner est comme un chèque Bien encaissé ! Tu finiras par lâcher prise Dans ton flirt avec la crise ! {2x} Envolé d'un courant d'air Ecrasé la gueule par terre On est toujours à bout de souffle A bout de nerfs Dans sa multinationale blindée mondialisée L'homme actif de nos tendres années C'est le technocrate de son métier Qui a écrasé ses millions de partenaires Qui a écrasé nos vendeurs de réverbères Qui fait du gringue à sa secrétaire Et qui se retient pendant la prière ... Qui pratiquera son art de la maîtrise Comment profiter de la crise Comment profiter des petites entreprises Dans son flirt avec la crise Elle est plus forte que toi la crise ... Modifié 20 septembre 2007 par Jay17 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ororboss Publication: 21 septembre 2007 Partager Publication: 21 septembre 2007 En ces temps qui s'annoncent difficiles... NUTTEA - Unité (2000) [Refrain:] Laissons place à l'unité Devant nous se lève un jour nouveau Et si l'enjeu est de taille Sache que nous n'aurons pas de faille Marchons car unis nul ne nous fera taire La voie des bas fonds passe au-delà des frontières Le son résonne du Paradis jusqu'aux Enfers Ayons les pieds sur terre et surtout l'esprit ouvert La route tourne pour tous du pasteur au gangster La route est longue donc l'union salutaire Dieu sait, qu'à la fin, les premiers seront derniers [au Refrain] Unis jusqu'à la fin, riches ou dans la misère Soudés par la passion, quelles que soient les galères Ici chacun est le gardien de son frère Marchons, levons la tête, tout sera plus clair Demain sera nôtre à nous de changer d'air L'union est l'arme du prochain millénaire Je prie pour le futur et pour des jours plus clairs Sachant que des ténèbres jaillira la lumière Laisse-moi prêcher, l'unité pour frères [au Refrain] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vs-93 Publication: 21 septembre 2007 Partager Publication: 21 septembre 2007 Tiens sympa comme topik! Pour moi c'est le plus souvent (en ce moment): - The Who : Baba O'Riley - Get-Far : Shining Star - Blink 182 : un peu de tout - Enya : Adiemus - Matt Nathanson : Laid - Renan Luce : La Lettre - Wallen : l'Olivier - Ridan : Ulysse - Daft Punk : la total Ah et Koxie : Gare au con Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ____xx____ Publication: 22 septembre 2007 Partager Publication: 22 septembre 2007 ce matin tourne sur ma platine M.ROUX "je ne suis qu'un homme ordinaire" excellent! mdrmdr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Audrey Publication: 23 septembre 2007 Partager Publication: 23 septembre 2007 Lio Amoureux solitaires Eh toi dis-moi que tu m'aimes Même si c'est un mensonge et qu'on n'a pas une chance La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes Tous les jours sont les mêmes, j'ai besoin de romance Un peu de beauté plastique pour effacer nos cernes De plaisir chimique pour nos cerveaux trop ternes Que nos vies aient l'air d'un film parfait Eh toi dis-moi que tu m'aimes Même si c'est un mensonge puisque je sais que tu mens La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes Oublions tout nous-mêmes, ce que nous sommes vraiment Amoureux solitaires dans une ville morte Amoureux imaginaires après tout qu'importe! Que nos vies aient l'air d'un film parfait... La la la la la... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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