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Le Web des Cheminots

[X 4300 / 4500 / 4630 / 4750 / 4900] Photographies


IGS4

Messages recommandés

En août 1997, mes "encadrants" (les E.A.D. sortis de construction juste avant et juste après ma naissance) sont vus à Lyon (69):
_première photo, l'X4695 quitte Perrache vers la Part Dieu en U.M. avec un autre élément;
_seconde photo: l'X4696 stationne sur les voies de sortie de son établissement d'attache, le dépôt de Vaise.

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Variations autour d'un élément automoteur diésel...
Le 28 septembre 1997, nous voyons successivement l'X4384-XR8603 dans les Ardennes.
1/ entrée en gare de Charleville-Mézières en provenance de Givet;
2/ stationnement à quai avant de repartir pour Givet;
3/ arrivé à Givet, notre élément s'apprête à repartir à Charleville;
4/ la journée est terminée, l'élément est garé à côté d'un segment Rib/Rio 60/88 "M" modernisé à l'initiative de la Région Champagne-Ardenne comme l'est notre X4300 et attelé à une BB66400.

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L'élément X4584-XR8375 est en coupure au dépôt de Fives (59) entre deux trains, en mai 1997.

Sur cette motrice, les retours du rouge sur les blocs optiques ne sont pas identiques non plus d'un côté à l'autre...

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Modifié par E.T.G.
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Tour d'horizon des quatre couleurs de la gamme T.E.R. 1987 avec "mes" E.A.D. chéris😍🥰😘❤️🧡💛💚💙💜💕💞💓💗💖💝:
1/ X4716-XR8713 modernisé Picardie au dépôt de Mohon (08) en septembre 1997 (28 éléments verts);
2/ X4366-XR8356 modernisé Champagne-Ardenne même lieu même date (64 éléments bleus sur ce modèle + 20 avec des variantes);
3/ X4699-XR8696 modernisé Conseil Général de l'Ain (avec l'X4705 dans le même cas, engins appelés "Lyon-Bourg" aux Ateliers du Mans puisqu'en fait destinés à cette relation) quittant Lyon-Perrache (69) en août 1997 (six éléments rouges seulement);
4/ X4658-XR8447 (en U.M. avec l'X4735-XR8732) en gare de Dijon-Ville (21) en septembre 1997 (18 éléments jaunes).

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Dépôt de Clermont-Ferrand (63), 23 septembre 1997, point de rencontre d'engins venus d'ailleurs:
1/ X4737-XR8734 de Nevers;
2/ X4398-XR8605 de Nevers avec comme voisin le T1002-1502 de Lyon-Vaise;
3 et 4/ X4398-XR8605 de Nevers donc, en U.M. avec X4356-XR8344 de Tours-Saint-Pierre.

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Le 28 septembre 1997 à Givet (08), l'élément automoteur X4374-XR8589 sort des garages puis attend l'heure de départ pour Charleville-Mézières.
L'X4374 ayant tapé sur un passage à niveau, sa remorque XR8350 sera placée sur la X4570 en 1991 en remplacement de la XR8589 primitive détruite par incendie criminel à Châteaubriant en 1990 afin de restituer un élément bon pour le service. Cette XR8589 avait survécu en 1972 à la catastrophe de Vierzy dans laquelle elle était impliquée puisque positionnée en queue du train Laon - Paris.
La XR8589 visible ici est donc en fait la seconde du nom, créée pour recompléter l'X4374. Pour cela, les Ateliers du Mans vont reprendre la XR8346 radiée en 1988 (collision à un passage à niveau). Devant les dégâts colossaux qu'elle avait subi et quitte à la réparer, ils reconstruiront cette remorque en la modernisant sous le numéro 8406 pour remariage avec la 4606 modernisée Bretagne, la 8406 d'origine sera quant à elle seulement reprise en Révision Générale sans modernisation (bizarrement, ses aménagements intérieurs resteront ceux d'une XR8300 et ne seront pas alignés sur le type 8500, anomalie répétée lors des échanges pour remplacer la remorque accidentée à Saint-Leu-d'Esserent et non réparée bien qu'elle pouvait être remise en état) puis accouplée à la 4374. On préférera créer une nouvelle 8589 plutôt que de reprendre le numéro 8346 puisque cette remorque était radiée.

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Plusieurs R.A.P. (Rame Automotrice Postale) sont garées au triage du Mans (72) en octobre 1995. Elles ont été dépossédées de certains organes, utiles pour avoir une meilleure souplesse dans la maintenance des autres E.A.D. qui en partagent les mêmes.
Huit éléments avaient été acquis par les P. et T. afin de transporter du courrier chargé dans des sacs eux-même mis dans des chariots entre centre de tri postaux. Ils ont été utilisés à partir de 1979 sur les liaisons Paris - Rouen, Paris - Caen et Paris - Lezennes (Lille). Hélas, dès la fin des années 80, cette administration se désengage progressivement du transport par rail et les trois relations sont progressivement abandonnées, avec une cessation en 1994.
Entre temps, les éléments, qui avaient bien roulé, étaient passibles d'une Révision Limitée à partir de 1988, année dont les programmes de charge primitifs des Ateliers du Mans faisaient état du traitement de quatre d'entre eux avec leurs désignation et leurs dates de chantier, et pour lesquels certains approvisionnements avaient été lancés. Mais d'hésitations en incertitudes de la part de leur propriétaire, seul l'élément X94755-XR98755 sera finalement traité, les autres n'ayant que des opérations de prolongation malgré que le Mans avait prévenu que leur état présentait une corrosion avancée et que si rien n'était fait, ils deviendraient irrécupérables. Afin de continuer à les faire vivre, Sotteville, leur dépôt d'attache, tentait de les maintenir en état comme il le pouvait, sans engager trop de frais, allant jusqu'à boucher avec du polyester les trous dans les carrosseries!
Après leur retrait de service, C.L.B.I. (Cannes La Bocca Industrie, qui assurait des révisions de voitures pour la S.N.C.F. et d'ambulants et allèges pour La Poste, rachète l'élément traité en révision dans l'espoir de le reconditionner en matériel voyageurs afin de le vendre à l'export, semble-t-il pour un réseau d'Afrique. Mais il ne sera jamais mis en chantier et lors de la liquidation de cette entreprise, le musée des Ambulants Postaux parviendra à le récupérer et à le faire convoyer sur son site, à Toulouse.
Ces engins, qui techniquement sont des X4750, engins appréciés par la S.N.C.F. pour leurs qualités techniques, performances et coût d'exploitation va se porter acquéreur des sept autres éléments (65000 francs pièce, dans l'état dans lequel ils sont), en vue de récupérer leurs moteurs et convertisseurs hydrauliques et d'autres pièces encore. L'élément X94757-XR98757 était préalablement venu se faire expertiser aux Ateliers du Mans puis était reparti rejoindre Paris-Evangile, où ils étaient garés et où ils servaient de capacité de stockage pour La Poste. En effet, avant que la S.N.C.F. n'en soit propriétaire, Le Mans ne souhaitait pas que ces éléments encombrent ses emprises. Dès que la S.N.C.F. les a acquis, ils sont venus et certains ont été parqués au triage voisin après qu'il ait été récupéré dessus ce qu'il était intéressant de disposer, et avant une réutilisation ou ferraillage.
Allant plus loin dans le raisonnement, la S.N.C.F. envisage de substituer leur motorisation à celles de X4300, pour lesquelles la maintenance est plus délicate ainsi que les performances sont moindres par rapport aux autres séries de motrices, en profitant de l'opération pour les moderniser. Cette solution présente l'avantage de récupérer les organes de ces motrices X4300, pour lesquels il devient difficile de trouver des pièces, malgré que certaines motrices de cette série avaient déjà été éliminées.
C'est ainsi que la Direction de l'Action Régionale, qui gère les T.E.R. et négocie avec les Régions, propose ce scénario à plusieurs d'entre elles. La Lorraine, qui dispose déjà d'engins des deux séries, est intéressée et une convention est signée pour la fourniture de sept éléments modernisés, au titre d'une nouvelle desserte attractive mise en place entre Nancy et Pont-Saint-Vincent.
Toutefois, lors de la confection des devis, les Ateliers du Mans vont s'apercevoir que le coût est élevé et vont proposer une autre solution dont pour l'occasion les calculs seront faits: la modernisation incluant de refaire toute la tôlerie, le fait que celle des caisses postales soit pourrie n'est pas gênant puisqu'elle sera systématiquement déposée et les chaudrons seront assainis par rapport à la corrosion. Cette solution est présentée comme bien moins coûteuse par rapport à une remotorisation des motrices X4300, qui aurait conduit à devoir en transformer les châssis afin de les amener sur le type X4750 (fixation des organes, modifications et autres adaptations, etc.): on entre dans la ferraille lourde et les changements sont réputés onéreux!
Le fait de devoir ouvrir les faces latérales au niveau du futur fourgon, d'obturer les anciennes portes coulissantes et créer deux portes d'accès voyageurs ne grève pas le budget par rapport à simplement obturer sur des X4300 deux des quatre portes voyageurs. Quant à la charpente de caisse, elle est identique aux deux types de caisses au niveau des baies voyageurs, qu'elles existent ou que la face soit tôlée.
Afin de limiter les coûts, seules les motrices, du fait des sujétions liées aux modifications du châssis sur les X4300, seront traitées, tandis que pour les remorques, il s'avérera préférable de traiter celles déjà aménagées pour le transport de voyageurs et attelées aux X4300 qui vont être arrêtées, qui bien que plus anciennes que les XR98750, sont en bien meilleur état.
On se servira sur les X4300 arrêtées des organes dont on aura besoin (portes de fourgon et leurs glissières, appareillage de chauffage, etc., pour transformer les motrices postales en motrices aptes au transport de voyageurs. Ces motrices, qui électriquement sont déjà des Mors, garderont leur équipement, qui sera adapté en conséquence.
Ce sont bien sûr des éléments X4300 arrivant à échéance de parcours de Révision Générale ou Limitée qui seront arrêtés, mais parmi eux, obligatoirement des éléments dont les numéros sont compris entre X4301 et 41, du fait de leur équipement électrique Télémécanique, motrices qu'il devient très difficile de continuer à faire vivre par quasi impossibilité de trouver des pièces, qui sont par ailleurs aussi utiles aux motrices X4501 à 4541. Finalement, devant les difficultés qui commencent à poindre pour la maintenance des motrices à équipement Mors, un élément Télémécanique sauvera sa tête en cédant son retrait de service à la motrice X4399, ce qui permettra de disposer de quelques pièces Mors en attendant le début des réformes massives, enclenchées peu après.
Sacrifier des engins afin d'en récupérer les pièces pour permettre la maintenance des autres ou tout au moins la faciliter est parfois une décision sage et tout à fait rationnelle.
Compte-tenu du fait que les services assurés par les E.A.D. consistaient dès les années 80 en des dessertes T.E.R. à forte proportion de voyageurs de seconde classe et qu'en dehors de certains cas particuliers (Lyon-Vaise et Nantes), il valait mieux disposer de XR8300 (12 places de première classe et 69 de seconde) chez les éléments non modernisés, on désignait pour modernisation de préférence des éléments formés avec des XR8500 (24 places de première classe mais seulement 49 de seconde). Dans ce cas des motrices X4300 à arrêter en échange de la reconversion des motrices postales, et compte-tenu de la contrainte d'arrêter des éléments Télémécanique, on ne s'est pas imposé de contrainte supplémentaire en ne désignant pas plutôt des éléments formés avec une XR8500 plutôt qu'avec une XR8300, afin d'éviter que cela devienne ingérable: derrière leurs ressemblances et leurs airs de famille, les E.A.D. n'étaient pas vraiment unifiés entre eux et de nombreuses versions et variantes existaient, tout comme pour certaines matériels modernes qui sous leurs airs semblables sont différents par leurs possibilités de fonctionnement et des aménagements intérieurs variant d'une Région à l'autre!
Cependant, pour des raisons d'ordonnancement, Le Mans, disposant par le fait de destructions d'une remorque supplémentaire par rapport aux motrices, et afin de prendre en main les caisses en décalé mais de façon à ce qu'elles sortent ensemble (modernisation E.P.R. = 58 jours de travail pour la motrice mais 65 pour la remorque) avait l'habitude depuis fin 1988 de croiser, décaler, ou mélanger les remorques avec les motrices, ce qui fait qu'un élément entré avec tels numéros ressortait généralement avec une numérotation identique, la remorque n'était en fait que rarement celle entrée sous ce numéro: la plupart ont été maquillées et ont repris le numéro de celle qu'elles remplaçaient. Ce qui fait que les remorques des X4300 arrêtées en corrélation avec la transformation des motrices postales ne se sont pas forcément trouvées réellement accouplées avec la nouvelle motrice voyageurs réputée comme devant remplacer leur motrice d'origine: il y a la théorie, et la pratique!
Bref, dans l'état dans lequel elles étaient avant d'être reconverties, on peut là aussi parler d'un véritable travail de reconstruction de ces motrices postales par les Ateliers du Mans, qui ont su transformer de véritables citrouilles corrodées en carrosses dignes d'accompagner les matériels de la nouvelle gamme T.E.R. avec un confort offert parfaitement acceptable obtenu pour un coût raisonnable, et offrant des performances dont elles n'avaient pas à rougir pour affronter leur nouvelle carrière et la modernité des années 2000.

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Modifié par E.T.G.
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L'élément automoteur X4776-XR8776, pimpant, stationne "chez lui", dans le dépôt de Metz-Sablon (57) en septembre 1997. Malgré son kilométrage ne le justiciant pas d'une Opération Périodique, il sera modernisé en version T.E.R. S.N.C.F. moins de deux ans plus tard afin de donner du travail au personnel des Ateliers du Mans (nom moins barbare que E.I.M.M., Etablissement Industriel de Maintenance du Matériel) non encore ventilé dans le cadre de leur transformation en centre P.R.M. (Pièces Réparables du Matériel).

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Personne ne peut aimer autant que moi les Caravelles, mais puisque tout le monde semble néanmoins les apprécier, voici cette fois, toujours au dépôt de Metz-Sablon (57) le 29 septembre 1997, l'X4425-XR8390, bien moins pimpant que l'X4776 dernièrement présenté.
En effet, cet engin sera retiré du service moins de deux ans plus tard et stocké aux Ateliers du Mans ou à proximité, où il aura pu une dernière fois y croiser l'X4776 y venant lui pour modernisation. Puis il sera démoli pendant la campagne de 2009-2010 pendant lesquelles 30 caisses d'E.T.G. et 88 d'E.A.D. dont 4 modernisés et 7 postales ont disparu à tout jamais sous l'action d'une pince hydraulique pour devenir des fers à béton...

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L'élément automoteur X4424-XR8549 récemment recomposé par récupération de cette remorque provenant de l'X4395 pour remplacer la 8386, sa précédente accidentée dans une collision avec un autocar à Thiaville sur Meurthe stationne en gare de Reims (51) en septembre 1997. L'élément modernisé placé derrière est entre temps parti sur Fismes.

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U.M. X4735-XR8732 et X4658-XR8447 modernisé Bourgogne en gare de Dijon-Ville (21) en septembre 1997.

On distingue nettement la toiture rainurée de l'élément rouge et crème ainsi que son retour de jupe chanfreiné. En revanche, son support de monogramme en relief a disparu pour laisser place à un logo adhésif.

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Un des points de rencontre entre les E.A.D. de Longueau et ceux de Metz, le dépôt de Mohon (08), où l'on voit l'X4719-XR8716 modernisé Picardie et l'X4433-XR8584 modernisé Champagne-Ardenne en septembre 1997.

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Metz-Sablon (57), septembre 1997.
L'élément X4353-XR8343 stationne devant l'atelier.
On remarque la peinture rutilante sur des zones plus anciennes, signe que cet élément est passé en A.T.P.-P.R. En outre, la remorque seule a subi une des modifications apportées à partir de 1987 sur les éléments révisés et consistant ici à raccourcir les supports verticaux de bourrelets d'intercirculation ainsi qu'à supprimer le bourrelet horizontal du bas.

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Lyon-Perrache (69), août 1997.
Première photo: l'X4635-XR8647 attend le départ;
seconde photo: l'X4712-XR8709 voisine avec l'X4655-XR8445 sur les voies en impasse côté Saône. On remarque que l'élément rouge et crème est conventionné comme les autres éléments non modernisés de Lyon-Vaise non pas par la Région Rhône-Alpes mais par le Conseil Général du Rhône, spécificité locale de la même manière que les deux modernisés rouges n'avaient pas non plus été conventionnés par la Région mais par le Conseil Général de l'Ain dans le cadre du renforcement des relations entre Lyon et Bourg en Bresse par les Dombes (aller le soir, retour le matin, du lundi au vendredi, ce qui permettait leur entretien à Lyon en journée). Quant à l'élément modernisé jaune visible ici, bien que conventionné par la Région Bourgogne, il était à cette époque affecté à Lyon-Vaise où il assurait un aller-retour Lyon - Paray-le-Monial sur le même principe que ses collègues Lyon - Bourg.

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Septembre 1997, Dijon-Ville (21), les X4658-XR8447 et X4735-XR8732 stationnent en gare.
En prime, l'élément modernisé Bourgogne s'assortit parfaitement avec le segment de R.R.R. avec qui il voisine et également conventionné par la Région Bourgogne; puis deux vues de détail.

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Dépôt de Metz-Sablon (57), X4788 et X4377 en maintenance (et levage pour le 4377). En prime, ce qu'on voit plus rarement, la liaison entre caisses d'un élément: si la barre d'attelage est indépendante des caisses, les câblots semi-mobiles mâles sont sur la remorque (ici la XR8359) et les prises femelles sont sur la motrice (les remorques étant échangées entre les motrices sur la plupart des éléments modernisés aux Ateliers du Mans, ceux-ci étaient contraints d'adapter les boîtiers et les coupleurs en fonction des recompositions des éléments, dont les caisses n'étaient pas forcément remariables en service normal à cause entre autres de cette caractéristique).
On remarque que l'X4300 n'est toujours pas équipé du troisième phare, dont les éléments Champagne-Ardenne ont aussi hérité pour permettre leur engagement inopiné sur des liaisons transfrontalières avec l'Allemagne (Sarrebruck ou Offenbourg), où cet équipement est obligatoire.
Et en bonus, les logos du conventionnement Champagne-Ardenne apposés sur un X4300 modernisé à l'initiative de cet E.P.R. (Etablissement Public régional), sur la motrice X4384, vue à Charleville-Mézières (08), toujours en septembre 1997..

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Les E.A.D. se suivent et se ressemblent.
Le 29 septembre 1997, l'élément X4425-XR8390 est dans ses derniers mois voire ses dernières semaines de service. Il n'aura roulé qu'à peine trente ans (toutefois, sa démolition n'interviendra qu'en 2010) et le X4357-XR8347 qui roulera encore dix ans (pour un total de 42 ans - en France, puisqu'il est ensuite parti en Roumanie) attendent leur prochain service au dépôt de Metz-Sablon (57).
De leur côte les X4322-XR8313 et X4336-XR8322 (qui auront duré quarante et 42 ans) sont également prêts au dépôt de Nancy (54) pour leur mission suivante qu'ils assureront ensemble.

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OUF!

Heureusement que vous ne lisez pas les légendes de mes photos puisque deux posts au dessus je me suis trompé et personne ne l'a remarqué. Je ne peux plus le modifier, il fallait:

X4327 en maintenance au dépôt de Metz-Sablon (57) en septembre 1997.

 

Et pour ce post, c'est

Le X4504-XR8304 vient d'être accouplé avec le X4517-XR8389 et ils vont sortir du dépôt de Longueau (80) où ils ont bénéficié d'une opération de maintenance pour celui d'Amiens en mai 1996.
Seconde photo: vue partielle des placards des armoires pneumatique (à gauche) et électrique (à droite) dans le fourgon de la première motrice. Le tableau de commandes concerne les éclairages de l'élément ainsi que le chauffage de la motrice, la remorque disposant du sien pour cette fonction. Sur d'autres éléments, ce tableau est plus logiquement situé sur le côté de l'armoire électrique, dans le court couloir menant à la cabine de conduite.

 

 

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Le 29 septembre 1997, la pointe du soir vers les Vosges se prépare au dépôt de Nancy (54) avec entre autres les éléments automoteurs X4782-XR8782 et X4800-XR8800.
Le premier élément entrera aux Ateliers du Mans pour modernisation T.E.R.-S.N.C.F. six mois plus tard, tandis que le second est sorti en mai du même établissement et modernisé pour l'E.P.R. Lorraine (programme Lorraine 2), composé d'une motrice ex XP94753 radiée quatre ans plus tôt et remariée pour l'occasion à la remorque ex Ambulance XR8648.

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