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il y a 45 minutes, capelanbrest a dit :

ça fait quoi ramené à l'effectif global ?  5% 6% ? 

si tel est le cas, nous sommes dans un fonctionnement normal d'entreprise en moyenne  de nos jours non ? 

Pour un effectif de 140 000, on est à 1,2 % de démissionaires. Il ya encore de la marge pour que SNCF soit une entreprise normale.

 

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Il y a 11 heures, Laroche a dit :

Pour un effectif de 140 000, on est à 1,2 % de démissionaires. Il ya encore de la marge pour que SNCF soit une entreprise normale.

 

sur quel chiffre se base t'on  ?

sncf groupe ou sncf ferroviaire uniquement ? 

parceque SNCF groupe c 'est plutôt  270 000 salariés en tout non ? 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_SNCF

 

si sur l'entité ferroviaire e génère que 1.2% de démissionnaires alors on peut considérer que l'on est bien en dessous d'une entreprise normale ...et donc que la "soupe" n'est pas si mauvaise que cela 😉

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il y a 4 minutes, capelanbrest a dit :

sncf groupe ou sncf ferroviaire uniquement

Groupe Public Ferroviaire - c'est à dire les 5 sociétés anonymes bien nommées G.P.F. :

SNCF (la société mère), SNCF Réseau, SNCF Gares & Connexions, Rail Logistics Europe et SNCF Voyageurs

 

 

Modifié par PLANONYME
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Il y a 3 heures, Audrey a dit :

les salariés qui abandonnent en cours de formation ou qui ne valident pas leur formation

Je suppose qu'on les retrouve peu ou prou dans les départs en cours de période d'essai :

image.png.de84403b429f5ce987eeeafd4d62992c.png

 

Modifié par PLANONYME
difficulté à copier / coller l'illustration
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il y a 13 minutes, PLANONYME a dit :

Groupe Public Ferroviaire - c'est à dire les 5 sociétés anonymes bien nommées G.P.F. :

SNCF (la société mère), SNCF Réseau, SNCF Gares & Connexions, Rail Logistics Europe et SNCF Voyageurs

 

 

donc je réitère 1.2% c 'est trés en de ça de la normale d'une boite dite normale ..

pas de quoi s'émouvoir surtout avec la tendance actuelle notamment chez les jeunes qui ne rentrent plus dans une boite pour y faire carrière....😉

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1600 démissions en 2022. A titre de comparaison :

1200 démissions en 2021

1000 démissions en 2018

750 démissions en 2017

600 démissions en 2016 (qui était déjà en hausse face aux années précédentes...).

Sachant que le nombre de ruptures conventionnelles suit la même tendance...

 

En comparaison, la SNCF "espère" recruter plus de 7 000 nouveaux salariés en 2023. Ça risque d'être compliqué.

De mon point de vue, je suis aiguilleur et je constate que lorsqu'on nous présente un groupe d'une dizaine de nouveaux embauchés, moins de la moitié arrive au bout de la formation, alors que c'était plutôt de l'ordre de 80% au début des années 2010 quand je suis arrivé.

 

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il y a une heure, Yellow a dit :

1600 démissions en 2022. A titre de comparaison :

1200 démissions en 2021

1000 démissions en 2018

750 démissions en 2017

600 démissions en 2016 (qui était déjà en hausse face aux années précédentes...).

Sachant que le nombre de ruptures conventionnelles suit la même tendance...

 

En comparaison, la SNCF "espère" recruter plus de 7 000 nouveaux salariés en 2023. Ça risque d'être compliqué.

De mon point de vue, je suis aiguilleur et je constate que lorsqu'on nous présente un groupe d'une dizaine de nouveaux embauchés, moins de la moitié arrive au bout de la formation, alors que c'était plutôt de l'ordre de 80% au début des années 2010 quand je suis arrivé.

 

Bonjour,

A la lecture de ton tableau, on voit que le nombre de démissions augmente d'année en année.

Mais il faut savoir que le nombre d'admissions baisse.

Je pense qu'il faudrait comparer avec ces deux chiffres.

Modifié par Pascal 45
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Il y a 1 heure, Pascal 45 a dit :

Bonjour,

A la lecture de ton tableau, on voit que le nombre de démissions augmente d'année en année.

Mais il faut savoir que le nombre d'admissions baisse.

Je pense qu'il faudrait comparer avec ces deux chiffres.

Je ne crois pas, enfin pas en 2023 déjà...

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Il y a 3 heures, Yellow a dit :

Sachant que le nombre de ruptures conventionnelles suit la même tendance

Ben non (bis repetita) !

332 ruptures conventionnelles au total en 2020.

346 en 2021.

344 en 2022.

image.png.c8babcadd0ebdc3a14f2763de9f45868.png

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il y a 2 minutes, Pascal 45 a dit :

... et bien tu vois, j'aurais jamais parié sur ce que tu dis.

🙄

 

 

Moi si car Planonyme ne balance jamais une info sans avoir une source officielle et étayé

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Il y a 14 heures, PLANONYME a dit :

Ben non (bis repetita) !

332 ruptures conventionnelles au total en 2020.

346 en 2021.

344 en 2022.

OK, je ne pensais pas que la SNCF avait autant freiné sur les ruptures conventionnelles. Elles deviennent donc dérisoires face aux démissions.

Assez logique, vu qu'une RC est une démission subventionnée par l’entreprise, les démissions étant déjà assez contraignantes dans les métiers spécialisés du rail (2 mois de préavis contre minimum 6 mois pour un recrutement-formation complet).

Modifié par Yellow
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Il y a 1 heure, Yellow a dit :

minimum 6 mois pour un recrutement-formation complet

6 mois ?

Le préavis conventionnel est de deux mois. 

Trois mois pour un cadre.

Par contre, dans les métiers avec une formation longue et couteuse (pour l'entreprise) il y a en général un dédit-formation qui entrave donc une démission trop rapide.

 

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Il y a 8 heures, PLANONYME a dit :

6 mois ?

Le préavis conventionnel est de deux mois. 

Trois mois pour un cadre.

Par contre, dans les métiers avec une formation longue et couteuse (pour l'entreprise) il y a en général un dédit-formation qui entrave donc une démission trop rapide.

 

Si j'ai bien compris ce qu'a voulu dire Yellow, il parle des contraintes pour la boite, du fait qu'il ne faut "que" 2 mois pour partir alors qu'il faut minimum 6 mois pour arriver ("recrutement-formation"). Délai bien évidemment variable selon les métiers.

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Il y a 13 heures, Gom a dit :

Si j'ai bien compris ce qu'a voulu dire Yellow, il parle des contraintes pour la boite, du fait qu'il ne faut "que" 2 mois pour partir alors qu'il faut minimum 6 mois pour arriver ("recrutement-formation"). Délai bien évidemment variable selon les métiers.

C'est exactement ça. Et bien sûr beaucoup plus selon les profils.

Ne pas oublier que les préavis ont été augmentés en catastrophe il y a 2 ou 3 ans (c'était 1 mois auparavant hors cadres supérieurs) face à la forte hausse du nombre de démissions, comme déjà dit au début de cette discussion.

Modifié par Yellow
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Il y a 4 heures, Yellow a dit :

les préavis ont été augmentés

Intégré dans la convention collective de branche du ferroviaire par accord du 6 décembre 2021. Le préavis du Statut (cadre permanent) a dans la foulée été aligné.

Dans la négociation, les partenaires sociaux mettent en général en parallèle la durée de préavis en cas de démission (que le salarié souhaite la plus courte possible) et le préavis en cas de licenciement (hors faute grave).

C'est une constante de toutes les conventions collectives que les durées des deux préavis (démission et licenciement) finissent plus ou moins par s'équilibrer. 

 

Modifié par PLANONYME
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Toujours est-il qu'à l'époque où les préavis étaient fixés à 1 mois, les démissions étaient tellement marginales, que ce n'était pas un soucis pour la SNCF.

Aujourd'hui, les démission s'enchainent, et le prévis de 2 mois parait bien maigre quand on connait les temps de formation aux métiers spécifiques du ferroviaire. Sachant que 2 mois, c'est déjà bien trop pour un employé qui n'a plus aucune motivation pour son poste...

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Il y a 2 heures, Yellow a dit :

Toujours est-il qu'à l'époque où les préavis étaient fixés à 1 mois, les démissions étaient tellement marginales, que ce n'était pas un soucis pour la SNCF.

Aujourd'hui, les démission s'enchainent, et le prévis de 2 mois parait bien maigre quand on connait les temps de formation aux métiers spécifiques du ferroviaire. Sachant que 2 mois, c'est déjà bien trop pour un employé qui n'a plus aucune motivation pour son poste...

Eh oui, la vie, même dans l'entreprise, n'est pas un long fleuve tranquille. 

Et normalement dans une entreprise normalement constituée, il y a un échelon appelé "encadrement/management", dont le rôle est de gérer ce type de problématique.

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Il y a 3 heures, Yellow a dit :

Toujours est-il qu'à l'époque où les préavis étaient fixés à 1 mois, les démissions étaient tellement marginales, que ce n'était pas un soucis pour la SNCF.

Aujourd'hui, les démission s'enchainent, et le prévis de 2 mois parait bien maigre quand on connait les temps de formation aux métiers spécifiques du ferroviaire. Sachant que 2 mois, c'est déjà bien trop pour un employé qui n'a plus aucune motivation pour son poste...

oui et ? 

Une entreprise n'est aps là non plus pour gérer les humeurs de salariés qui du jour au lendemain voudraient partir....au prétexte que la motivation ne serait plus au rendez vous ...

Chacun à des droits mais ausi des devoirs et des obligations et il faut savoir s'en accommoder ou alors accepter de partir mais à l'anglaise...c'est à dire en renonçant à tout....

congés primes acquises etc....

bref le préavis existe il est parfois négociable en fonctions des enjeux respectifs et tout cela pour être modifié doit faire l'objet d'un accord préalable entre les 2 parties.

c'est bien pur cela qu'un départ ça se prépare(en silence)  en amont,  ça prend un peu de temps certes, mais c 'est tellement libérant pour un candidat.

je veux tout tout de suite là maintenant, c'est bon pour les contes de fées....

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