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Le Web des Cheminots

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Yep je ne suis pas du genre à parler des privilèges des autres, mais j'aime pas trop qu'on me casse les burnes avec les miens.

Dans n'importe quelle boîte y'a des avantages, et des inconvénients.

Enfin je vais voir demain avec ma fédé si y'a pas diffamation là dedans...je trouve ça scandaleux

je ne parlerais pas de privilèges (mot un peu fort, non?) mais plutôt d'avantages....

à mon avis la seule diffamation qu'il pourrait y avoir là dedans, c'est de délivrer une attaque "ciblée" contre CERTAINS régimes particuliers de retraite.

en effet, comme par hasard, pas de problème avec le régime de retraite des policiers et surtout des militaires (pourtant encore bien plus avantageux pour ces derniers et surtout entièrement financé par l'état, donc nous) ??

Modifié par barney
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Je vais être très basique mais si on prend par exemple deux salariés qui travaillent puis l'un des deux se fait licencier, on va dire que celui qui travaille est privilégié (ou avantagé ou qui a de la chance) par rapport à l'autre.

Pour les retraites c'est pareil: le privé a accepté été contraint de cotiser plus longtemps,sans broncher (et soi disant pour une bonne cause et ces vilains agents du service public ne s'invitent même pas au festin "empoisonné") et ce sont les régimes spéciaux qui sont montrés du doigt comme des priviléges.Si cela ce n'est pas de la manipulation?

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Il est facile de fustiger ces privilégiés de cheminots et d'acclamer des footballers qui gagnent plusieurs millions par mois, partent à la retraite à 34 ans et vivent en Suisse ou a Monaco pour ne pas payer d'impôts.

J'ai vraiment du mal à saisir la manière de penser française, si manière de penser il y a. J'ai peur que la manière de penser soit un écran plat acheté avec un crédit de 5 ans en dépit d'un garde manger désespérément vide...

Je suis inquiet controleursncf

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Il est facile de fustiger ces privilégiés de cheminots et d'acclamer des footballers qui gagnent plusieurs millions par mois, partent à la retraite à 34 ans et vivent en Suisse ou a Monaco pour ne pas payer d'impôts.

J'ai vraiment du mal à saisir la manière de penser française, si manière de penser il y a. J'ai peur que la manière de penser soit un écran plat acheté avec un crédit de 5 ans en dépit d'un garde manger désespérément vide...

Je suis inquiet

Le français est surtout jaloux de ce que son voisin a de plus que lui controleursncf

Invité michel p.
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Il est facile de fustiger ces privilégiés de cheminots et d'acclamer des footballers qui gagnent plusieurs millions par mois, partent à la retraite à 34 ans et vivent en Suisse ou a Monaco pour ne pas payer d'impôts.

J'ai vraiment du mal à saisir la manière de penser française, si manière de penser il y a. J'ai peur que la manière de penser soit un écran plat acheté avec un crédit de 5 ans en dépit d'un garde manger désespérément vide...

Je suis inquiet helpsoso

Bon... Certes on peut toujours trouver plus heureux mieux traité que soi... Ce que je développe c'est que les salariés du secteur privé dans les petites boites (ils sont des millions dans ce cas) n'ont vraiment que très peu de droits...

En tant que salarié du public (contractuel sous statut) et syndicaliste généraliste, ça m'interroge grave...

Dans le privé tu bosses principalement pour assurer des dividendes à des actionnaires, ou bien très souvent pour assurer un revenu à un patron qui exerce en nom propre. On n'est pas loin de la notion de prolétariat... Ce n'est plus Germinal, mais Floréal n'est pas encore là helpsosohelpsoso .

Dans ma boite comme à la SNCF, on bosse dans une notion de "service public" ou pour faire plaisir à Bruxelles de "service au public", ce qui est déjà un peu différent (Jacob Delafon rend un immense service au public helpsosohelpsosohelpsoso )

L'action de "sauvegarde retraite" ne vise pas à donner de meilleurs avantages aux salariés du privé, mais à établir une égalité au plus bas niveau pour tout le monde... au plus grand profit de ceux dont le métier est de ...profiter. helpsoso

Il me semble difficile par ailleurs de juger des rêves de consommation de ceux qui sont manifestement mal traités... Je comprends qu'à égalité de titres, de formation et de compétence on s'excite quelque peu de n'avoir pas les mêmes avantages que d'autres.

Je m'en exprime bien souvent au sein du débat interne dans le syndicat : comment peut on négocier et signer des conventions collectives merdiques alors qu'on travaille par ailleurs sur des statuts d'un autre niveau social qui devraient être la norme.

C'est pour moi une vraie question. Et puis, à l'intention des amis de "sauvegarde retraites" et consorts, combien coûte au contribuable imposable le crédit d'impôt versé aux "travailleurs pauvres" ???

Savez vous que les 5 organisations syndicales représentatives au niveau national ont signé il y a 4 ans avec l'UPA (artisans) un accord de développement du dialogue social dans la "première entreprise de France"? Cet accord est inappliquable parce qu'il n'a toujours pas été étendu par les pouvoirs publics, le MEDEF et la CGPME s'y étant opposés au Comité Supérieur de l'Emploi... Ces deux organisations ont été juridiquement déboutées, mais le gouvernement ne fera rien (dixit M.Borloo) avant les élections... En suspens, une surcotisation patronale de tous les artisans de 0,15% sur les salaires pour développer un peu de social chez l'artisan du coin. Quatre ans de cotisations perdus...

Vous avez dit "dommage!" ?

Modifié par michel p.
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Ce bon sang d'article est encore fait pour raviver la haine envers les salariés du secteur public ou assimilé.

Y a vraiment de gros nazes qui ne pensent qu'à générer le malheur.

Honte à eux. helpsoso

Mais bonne et heureuse année à TOUS les cheminots.

Fabrice

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Bon... Certes on peut toujours trouver plus heureux mieux traité que soi... Ce que je développe c'est que les salariés du secteur privé dans les petites boites (ils sont des millions dans ce cas) n'ont vraiment que très peu de droits...

Es-tu sur qu'ils ont très peu de droits.... Ou est ce qu'ils ont les mêmes droits que n'importe quel autre salarié en France mais qu'ils ne peuvent pas les exercer de peur de se faire licencier.

Publication:

Le français est surtout jaloux de ce que son voisin a de plus que lui cartonrouge

pourtant le voisin ne l'a jamais empêché de venir bosser dans la même boite que lui,en profitant des mêmes avantages que lui

alors pourquoi critiquer après et vouloir la peau de son régime de retraite?

Publication: (modifié)

J'ai vraiment du mal à saisir la manière de penser française, si manière de penser il y a. J'ai peur que la manière de penser soit un écran plat acheté avec un crédit de 5 ans en dépit d'un garde manger désespérément vide...

Bravo ! C'est exactement ça. J'ai lancé le sujet à plusieurs reprises avec des personnes différentes (famille, amis...) et j'ai remarqué que les gens s'indignaient beaucoup plus face aux "privilèges" des agents de la fonction publique et assimilés que face aux privilèges des ministres, des grands patrons..., aux magouilles de ces derniers... C'est d'ailleurs une victoire pour ceux-ci : "diviser pour mieux régner" !

Modifié par Alix
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Bravo ! C'est exactement ça. J'ai lancé le sujet à plusieurs reprises avec des personnes différentes (famille, amis...) et j'ai remarqué que les gens s'indignaient beaucoup plus face aux "privilèges" des agents de la fonction publique et assimilés que face aux privilèges des ministres, des grands patrons..., aux magouilles de ces derniers... C'est d'ailleurs une victoire pour ceux-ci : "diviser pour mieux régner" !

Je ne pense pas que la première préoccupation des français soit la retraite des cheminots,d'ailleurs je pense même que cela ne les préoccupe pas.Mais, c'est là où je dénonce la manipulation, à partir du moment où on parle de notre régime de retraite, matin midi et soir dans tous les supports médiatiques (presse,télé,radio,internet,etc...) et qu'après on demande l'avis au gens en leur mettant bien le nez dessus pour être sur qu'ils ont compris et en prenant soin de choisir les meilleurs,on arrive à dresser les français les uns contre les autres et à créer des mécontentements.

Je me sens autant privilégié que si je prends par exemple deux salariés dont l'un des deux tombe au chômage et qu'on dit après, que celui qui travaille est privilégié.Ce que je veux dire c'est que, ce n'est pas en tirant les uns vers le bas qu'on doit traiter les autres de nantis.

Invité michel p.
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Es-tu sur qu'ils ont très peu de droits.... Ou est ce qu'ils ont les mêmes droits que n'importe quel autre salarié en France mais qu'ils ne peuvent pas les exercer de peur de se faire licencier.

En tant que "spécialiste" je fais le constat que le Code du Travail, en créant des seuils de 11 et 50 salariés, a réduit à la portion congrue les droits des salariés des toute petites boites (moins de 11 salariés) : pas de représentants du personnel, pas de CE à plus forte raison, ni de CHSCT... le recours, c'est l'Inspection du Travail qui a beaucoup trop de Travail pour agir dans chaque cas...

A tel point qu'on a dû créer les "conseillers du salariés", habilités par le Préfet à accompagner le salarié d'une boite de moins de 11 salariés lors de l'entretien préalable au licenciement qui relevait du massacre inorganisé dans beaucoup de cas. Quant aux cotisations patronales pour la formation, elles sont toujours inférieures dans les petites entreprises...

Il s'y ajoute évidemment que faire valoir ses droits une très petite entreprise relève de la mission à haut risque... Avec le taux de chômage actuel, retrouver un travail étant plus qu'aléatoire, alors on se la joue calme...

Il est clair que le "rapport de force" entre l'employeur et le salarié est singulièrement disproportionné.

Mais je connais des patrons qui se conduisent honnêtement... il y a toujours cependant un flottement quand ca risque de coûter des sous...

Invité michel p.
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réponse à aigle royal :

Je ne pense pas que la première préoccupation des français soit la retraite des cheminots,d'ailleurs je pense même que cela ne les préoccupe pas.

Ce qui est regrettable, c'est que la plupart des Français se soucient peu de leur retraite... Par exemple, je ne suis pas certain que la totalité des Rmistes savent clairement qu'il n'acquièrent aucun droit pour la retraite...

Mais, c'est là où je dénonce la manipulation, à partir du moment où on parle de notre régime de retraite, matin midi et soir dans tous les supports médiatiques (presse,télé,radio,internet,etc...) et qu'après on demande l'avis au gens en leur mettant bien le nez dessus pour être sur qu'ils ont compris et en prenant soin de choisir les meilleurs,on arrive à dresser les français les uns contre les autres et à créer des mécontentements.

Bien sûr qu'il y a manipulation ; au lieu de pousser les salariés du privé à faire valoir leur revendiactiosn de droits meilleurs, on les incite à se battre contre de pseudos privilèges dont la disparition ne leur apporterait rien...

Il y a sans doûte une part de responsabilité des syndicats qui ne revendiquent pas suffisamment de responsabilité et d'engagement de la part des confédérations patronales du privé. L'absence des représentants des Employeurs Publics (CEEP)dans la négociation paritaire est préjudiciable... chaque fois qu'ils sont présents, le MEDEF s'affolle...

Je me sens autant privilégié que si je prends par exemple deux salariés dont l'un des deux tombe au chômage et qu'on dit après, que celui qui travaille est privilégié.Ce que je veux dire c'est que, ce n'est pas en tirant les uns vers le bas qu'on doit traiter les autres de nantis.

Ne te sens pas "privilégié", sens toi "bien"et encore désireux de "mieux"... la solidarité consiste alors à attirer l'attention vers ceux qui sont clairement défavorisés par des dispositions on ne peut plus légales.

Exemple : article 6 et 10 du Contrat de Travail de mon filleul technicien-payé comme-ouvrier-au-smic : l'employeur peut aménager et changer les horaires de travail dans le cadre d'une moyenne de 35heures hebdo - le lieu de travail peut être modifié par l'employeur en fonction des besoins de l'entreprise... Puisque c'est écrit et signé par le salarié, les Prud'hommes ne diront rien. Et si tu ne signes pas, c'est un autre qui aura la place...

Sport patronal ultime : pousser le salarié à la démission pour ne pas assumer les charges d'un licenciement : pas d'assédic dans 80% des cas...

Modifié par michel p.
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Bien sûr qu'il y a manipulation ; au lieu de pousser les salariés du privé à faire valoir leur revendiactiosn de droits meilleurs, on les incite à se battre contre de pseudos privilèges dont la disparition ne leur apporterait rien...

Je suis vraiment d'accord avec toi. Les gens ne demandent pas plus pour eux, mais moins pour les autres.

Les patrons s'en réjouissent okok

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En tant que "spécialiste" je fais le constat que le Code du Travail, en créant des seuils de 11 et 50 salariés, a réduit à la portion congrue les droits des salariés des toute petites boites (moins de 11 salariés) : pas de représentants du personnel, pas de CE à plus forte raison, ni de CHSCT... le recours, c'est l'Inspection du Travail qui a beaucoup trop de Travail pour agir dans chaque cas...

A tel point qu'on a dû créer les "conseillers du salariés", habilités par le Préfet à accompagner le salarié d'une boite de moins de 11 salariés lors de l'entretien préalable au licenciement qui relevait du massacre inorganisé dans beaucoup de cas. Quant aux cotisations patronales pour la formation, elles sont toujours inférieures dans les petites entreprises...

Il s'y ajoute évidemment que faire valoir ses droits une très petite entreprise relève de la mission à haut risque... Avec le taux de chômage actuel, retrouver un travail étant plus qu'aléatoire, alors on se la joue calme...

Il est clair que le "rapport de force" entre l'employeur et le salarié est singulièrement disproportionné.

Mais je connais des patrons qui se conduisent honnêtement... il y a toujours cependant un flottement quand ca risque de coûter des sous...

Merci pour tes éclaircissements et de nous donner ta vision des choses en tant que spécialiste mais chez nous il commence aussi a y avoir des dérives (interprétations différentes d'un texte de la règlementation du travail) et que maintenant on n'hésite pas à saisir (ou à menacer de saisir) l'inspection du travail ou les prud'hommes,c'est arrivé dans mon dépôt car des collègues ont été évincé de l'accès à la conduite des TGV car trop vieux (d'après la direction).Il est vrai que le code du travail est très présent chez nous et tout tourne autour de ça mais jusqu'à quand? Dès qu'elle le peut la direction ne cesse de nous crier dans les oreilles deux mots sous forme de menace .Ce sont: productivité et concurrence

Modifié par ____
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réponse à aigle royal :

Ne te sens pas "privilégié", sens toi "bien"et encore désireux de "mieux"... la solidarité consiste alors à attirer l'attention vers ceux qui sont clairement défavorisés par des dispositions on ne peut plus légales. .

A défaut de privilégié, du moins chanceux de pouvoir faire respecter mes droits en tant que simple salarié car j'ai la clairvoyance de me dire que d'autres salariés n'ont pas cette chance.hélas!!!

Invité michel p.
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J'y mets un peu de passion, c'est vrai... mais j'en ai marre de ramasser au quotidien les gens à la petite cuiller... allez, je vous le dis parce que nous sommes en bonne compagnie... je bosse à l'anpe... Ca c'est un service public que personne ne veut nous piquer, quoique... avec l'élargissement de l'appel aux officines privées...

Mais il nous restera toujours le comptage (politiquement sensible) des demandeurs d'emploi okokzzz Au fait, me suis jamais posé la question... à la sncf vous cotisez 1% de solidarité chômage ou pas ?

Sur un autre fil, on parle de la manif nationale sncf du 8 février. J'aimerais bien connaitre, outre la position des fédés de cheminots, celle(s) de nos confédérations interprofessionnelles bien aimées... je vais aller faire le tour des sites internet. okokmdrmdr

En toute logique, les conf devraient soutenir leurs troupes, mais, quid alors des revendications du privé ??? :)

Je sais que je vais me faire eng... par les stratèges syndicaux, mais il est dans ma nature de rechercher un peu de cohérence...

Modifié par michel p.
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J'y mets un peu de passion, c'est vrai... mais j'en ai marre de ramasser au quotidien les gens à la petite cuiller... allez, je vous le dis parce que nous sommes en bonne compagnie... je bosse à l'anpe... Ca c'est un service public que personne ne veut nous piquer, quoique... avec l'élargissement de l'appel aux officines privées...

Mais il nous restera toujours le comptage (politiquement sensible) des demandeurs d'emploi :)okok

Sur un autre fil, on parle de la manif nationale sncf du 8 février. J'aimerais bien connaitre, outre la position des fédés de cheminots, celle(s) de nos confédérations interprofessionnelles bien aimées... je vais aller faire le tour des sites internet. mdrmdrokok

Au fait, me suis jamais posé la question... à la sncf vous cotisez 1% de solidarité chômage ou pas ?

En toute logique, les conf devraient soutenir leurs troupes, mais, quid alors des revendications du privé ??? zzz

Il n'y a pas de honte à travailler à l'anpe et à le dire,regarde on travaille bien à la sncf (tout le monde ne peut pas être parfait) et à priori on aurait presque eu aucune chance de se rencontrer,à part sur ce forum et cela nous fait bien plaisir d'échanger nos visions des choses.Quand tu dis"ramasser les gens à la p'tite cuillère" je dirais même que tu as les mains en plein dans le cambouis!!! mdrmdr mais ça ne doit pas être drôle tous les jours,je te le concède,c'est pour cela que tu viens te relaxer chez nous et tu as bien raison,n'est ce pas les copains okok

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Invité michel p.
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Il n'y a pas de honte à travailler à l'anpe et à le dire,regarde on travaille bien à la sncf (tout le monde ne peut pas être parfait) et à priori on aurait presque eu aucune chance de se rencontrer,à part sur ce forum et cela nous fait bien plaisir d'échanger nos visions des choses.Quand tu dis"ramasser les gens à la p'tite cuillère" je dirais même que tu as les mains en plein dans le cambouis!!! lotrela mais ça ne doit pas être drôle tous les jours,je te le concède,c'est pour cela que tu viens te relaxer chez nous et tu as bien raison,n'est ce pas les copains :Smiley_47:

Non il n'y a pas de honte... y aurait même une certaine fierté d'agir pour aider ... alors petit fils, fils, neveu de cheminot(e)(s) je me sens pas gêné sur ce forum... ayant été un "ayant droit" convenable et très utilisateur. controleursncfcontroleursncf

Mais quand même, ma mère abusait quand je voyageais seul au temps de l'adolescence... : le nombre de fois ou le haut parleur a retenti à l'arrivée en gare "michel p. est demandé par sa mère au standard ..." Et m.... ! Lâche moi... ! nonmaisnonmais Mesdames les cheminotes, laissez voyager vos enfants... c'est bon pour eux... lotrelalotrelalotrela

Quant à se rencontrer... ce serait sur la ligne 12 picardie/paris le matin et retour le soir... presque tous les jours ouvrés, et même ouvrables... pour inaugurer le T4 par exemple ou faire un saut rue de Milan où je dépense plus que nécessaire... okokokok

Merci de votre accueil ! Et revenons peut être au sujet ... lotrela

Modifié par michel p.
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Nous ne cotisons pas pour les Assedics, mais le 1% de contribution de solidarité

Invité michel p.
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Nous ne cotisons pas pour les Assedics, mais le 1% de contribution de solidarité

Moi itou... L'Etat reste son propre assureur en ce qui concerne le chômage des agents publics, en étant censé appliquer les mêmes règles que le privé... ce qui est normal puisque la convention de l'assurance chômage fait l'objet d'un agrément et s'intègre ainsi au Code du travail.

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Et le COR en remet trois louches en ce début d'année 2007..................................

Economie 08/01/2007 Sécu : le déficit de la branche retraites s'aggrave

Sécu : le déficit de la branche retraites s'aggrave

LExpansion.com

Dans un rapport qu'il doit remettre jeudi au premier ministre, le Conseil d'orientation des retraites (COR) dénonce la dégradation de la situation de la branche « retraites » de la sécurité sociale, dont le déficit devrait atteindre 3,5 milliards d'euros en 2007. Soit 1,1 milliard de plus qu'en 2006. Le COR évalue entre 30 milliards et 80 milliards le besoin de financement du système d'ici 2050. Pour rassembler cette somme, il juge notamment indispensable d'améliorer le taux d'emploi des seniors, qui n'est que de 38%, contre 42,5% en moyenne dans l'Union européenne. Il préconise également l'allongement de la durée de cotisation des régimes spéciaux, dont bénéficient les salariés de nombreuses entreprises publiques comme EDF ou la SNCF

________________________________________________________________________________

C'est le 10 janvier que le quatrième rapport du Conseil d'Orientation des retraites (COR) créé en 2000 pour développer les études et la concertation entre les principaux acteurs du champ des retraites devrait être adopté en Conseil des Ministres. Un événement qui ne devrait pas passer inaperçu si l'on en croit les grandes lignes de son probable contenu. Parmi tous les points abordés, le projet de rapport soulève la question des régimes spéciaux de retraite (EDF, SNCF, RATP, Banque de France...). A cet égard, et dans une logique d'équité selon le rapport, il préconise non seulement l'allongement des durées d'activité et d'assurance requises dans ces régimes (afin qu'elles prennent en compte l'augmentation de l'espérance de vie), mais également l'alignement du régime des avantages familiaux et conjugaux sur les principes du droit communautaire et l'harmonisation des politiques d'indexation des pensions. Catherine Motol

____________________________________________________________________________

Le Conseil d'orientation des retraites propose d'allonger la durée de cotisation dans les régimes spéciaux

[ 08/01/07 - 02H30 ]

· Des inégalités persistantes entre cotisants Quatre orientations devraient être abordées en 2008 : l'égalité entre hommes et femmes, les désavantages dont souffrent les personnes aux carrières " accidentées " et les " polypensionnés ", ainsi que les inégalités créées par le développement de l'épargne retraite. Surtout, le rapport évoque les régimes spéciaux, non réformés en 2003 : EDF-GDF, SNCF, RATP, marins, mineurs, notaires, Banque de France. Certes, ces régimes nécessiteront un " examen différencié " selon les entreprises, dont les situations démographiques sont très variables. Le COR juge " nécessaire que soit visé pour ces régimes un objectif d'équilibre financier à l'horizon de 2020 " et que plusieurs orientations générales soient envisagées, afin de répondre au " principe d'équité entre régimes ". Principale proposition : " L'allongement des durées d'activité et d'assurance requises afin de tenir compte des gains d'espérance de vie ", cette réflexion devant, comme la question des âges de départ, " être conduite en prenant en compte les situations de pénibilité ". Autre orientation : aller vers une " certaine harmonisation " des avantages familiaux et conjugaux.

Modifié par ____
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Il ya quelque chose qui me fait peur:

c'est l'économie qui prime et non pas les conditions humaines du travail. On ne travaille pas selon la pénibilité du métier, mais selon le temps nécessaire pour cotiser pour les retraites. On est prêt à laisser du monde crver au bord du chemin rien que pour garder une monnaie forte.

Il ne faut pas se laisser faire bigbisous

Invité ibrahima
Publication:

PARIS (Reuters) - La CGT a refusé mercredi de donner son aval au rapport du Conseil d'orientation des retraites destiné à préparer le rendez-vous d'étape de 2008 sur l'évaluation de la réforme Fillon de 2003.

"Les représentants de la CGT (...) se sont opposés aux principales suggestions du rapport visant à durcir un peu plus les conditions d'obtention de la retraite", déclare dans un communiqué le secrétaire confédéral de la centrale syndicale, Jean-Chistophe Le Duigou.

"La CGT récuse tout idée d'allongement de la durée de cotisation dans le contexte actuel, alors que cinq millions de personnes n'ont pas accès à un véritable emploi. Elle s'oppose à la suggestion de supprimer les 'repères de 60 ans et 65 ans' ainsi que les droits qui les accompagnent", poursuit le communiqué.

Dans son rapport qui sera remis jeudi au Premier ministre Dominique de Villepin, le COR évalue le besoin de financement des régimes de retraites à 0,7 point de PIB à l'horizon 2020.

Encore ce scénario prend-il pour hypothèse un quasi plein emploi dès 2015, avec un taux de chômage ramené à 4,5%.

Selon différentes variantes, le besoin de financement atteindrait un peu moins de 2% à près de 5% du PIB en 2050, date à laquelle la France devrait compter 1,3 à 1,4 actif pour un inactif de plus de 60 ans, contre 2,2 en 2005.

Pour ramener les régimes de retraites à l'équilibre en 2020, pouvoirs publics et partenaires sociaux devront arbitrer entre trois leviers : les recettes (les cotisations), le montant des pensions et l'âge de la retraite.

Le rapport plaide pour un relèvement du taux d'emploi des seniors et prône une remise en cause des régimes spéciaux, épargnés par la réforme Fillon.

Il s'interroge aussi sur les "bornes" actuelles de l'âge de départ à la retraite (60 et 65 ans), qui contribuent selon lui à limiter l'efficacité de l'allongement de la durée de cotisation.

De même, il s'interroge sur le bien fondé de mesures découlant de la réforme de 2003, comme les départs anticipés à la retraite pour les carrières longues.

Pour la CGT, "il ne faut pas faire croire que la réforme des régimes spéciaux, qui concerne moins de 5% des retraités, est susceptible de résoudre le problème de financement des autres régimes".

L'harmonisation des régimes de retraite ne doit pas se faire, selon elle, par un alignement sur les régimes les moins favorables. "C'est notamment le cas en matière de départ anticipé pour travaux pénibles, astreignants et dangereux", souligne le communiqué.

Publication:

A tous ceux qui veulent la disparition des régimes spéciaux, un jour ce sera le régime général qui va disparaitre....Il faudrait leurs mettre ça sous le nez!!!! lotrela

Invité ibrahima
Publication:

Avec le principe d'équité (et non d'égalité), lorsqu'un nouveau-né vient au monde avec un bras en moins, la solution équitable et de couper un bras à tous les bébés de la clinique.

Ibrahima

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