Christophe Publication: 30 mars 2007 Publication: 30 mars 2007 Communiqué de la Société des Journalistes de France 3 : Nicolas Sarkozy se verrait-il déjà à l'Elysée ? [...] A bon entendeur. La Société des Journalistes de France 3. Le 23 mars 2007 Quand les "marchés" frémissent, les chiens de garde gémissent. Au fait, avez-vous déjà vu frémir un marché au coin de la rue ? Le Canard Enchainé a traité ce sujet.
Invité ___ Publication: 30 mars 2007 Publication: 30 mars 2007 (modifié) Il a raison Sarkozy il faut nettoyer la rédaction de FR3 car elle ose montrer des travailleurs en lutte dans des usines occupées et traite le ministre de l'interieur comme le dernier des élécteurs. Il faut mettre JEAN-PIERRE PERNAUT à la tête de la rédaction de FR3 pour avoir enfin une information lisse et aseptisée et respectueuse du pouvoir en place. Modifié 30 mars 2007 par ___
antoine Publication: 30 mars 2007 Publication: 30 mars 2007 je ne suis pas pro sarko, loin de là mais l'indépendance de la presse !!!!....... quand on voit comment sont tournés les articles, mise en exergue la bonne pensée, mis au ban ceux qui ne la suivent pas... tout est joué d'avance ou presque (2002 a surpris ) c'est vrai que les journalistes sont souvent tendancieux mais dans ce cas sur france 3, sarkho attaque des journalistes du service public qui veulent faire correctement leur métier de plus ils ne sont pas soutenus par leur rédaction et leur hierarchie.
antoine Publication: 4 avril 2007 Publication: 4 avril 2007 Les syndicats prêts à s'opposer à une réforme des régimes spéciaux Nicolas Sarkozy assure pouvoir financer la revalorisation des petites retraites et des pensions de reversion "grâce aux économies qu'(il obtiendra) en réformant les régimes spéciaux de retraite". La question est, avec la réforme du droit de grève dans les services publics, de celles qui crispent les syndicats des principales entreprises concernées, la SNCF, la RATP, EDF et GDF qui ont réussi à préserver le régime spécifique des salariés. Avec 500 000 cotisants pour un million de retraités (5,8 % du total), les 124 systèmes de retraite accolés à des entreprises ou à des secteurs d'activité (mines, marine...) ont échappé aux réformes de 1993 sur l'allongement de la durée d'activité puis de 2003 concernant l'alignement du public sur le privé. En 1995, Alain Juppé avait échoué après une grave crise sociale. Un premier pas vers la transformation du financement de ces régimes a été accompli dans certaines de ces entreprises contraintes par la réglementation européenne d'adopter de nouvelles normes comptables intégrant la dette sociale. Des négociations ont été engagées soit pour adosser les régimes concernés à la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV), soit pour créer un nouvel organisme. A la RATP, cette modification tarde à intervenir en raison d'un contentieux persistant entre la CNAV et l'Etat, qui rechigne à verser une somme comprise "entre 700 millions et 1,5 milliard d'euros", a déploré la section CFDT de l'entreprise lors d'une conférence de presse, mardi 2 avril... Tout en relativisant la nature des "avantages acquis", le syndicat s'inquiète surtout de la remise en cause de dispositions liées au maintien du pouvoir d'achat des retraités, indexé sur celui des actifs. Des craintes identiques sont apparues à la SNCF où SUD-Rail et l'UNSA s'opposent à la création d'une caisse de prévoyance et de retraite qui devrait gérer la situation de 160 000 actifs, 190 000 retraités et 115 000 veufs ou veuves d'agents. Alors que cette disposition devrait être soumise au conseil d'administration le 11 avril, les six autres organisations syndicales restent prudentes. "Il n'y a pas de réforme, seulement une adaptation à des normes que nous n'avons pas demandée", assure Didier Le Reste. Le secrétaire général de la fédération des cheminots CGT relativise l'engagement de l'Etat dans l'équilibre du régime compensé par l'entreprise. A la SNCF comme à la RATP, on surveille de près l'évolution de la négociation prévue, mardi 3 avril, concernant la compensation de la pénibilité du travail dans le secteur privé. Deux incidences particulières qui justifient, selon les syndicats, les avantages au moment de la retraite, tant à la SNCF qu'à la RATP. Michel Delberghe source: LE MONDE 3 avril
thesofasurfer Publication: 4 avril 2007 Publication: 4 avril 2007 Les syndicats prêts à s'opposer à une réforme des régimes spéciaux Nicolas Sarkozy assure pouvoir financer la revalorisation des petites retraites et des pensions de reversion "grâce aux économies qu'(il obtiendra) en réformant les régimes spéciaux de retraite". La question est, avec la réforme du droit de grève dans les services publics, de celles qui crispent les syndicats des principales entreprises concernées, la SNCF, la RATP, EDF et GDF qui ont réussi à préserver le régime spécifique des salariés. Avec 500 000 cotisants pour un million de retraités (5,8 % du total), les 124 systèmes de retraite accolés à des entreprises ou à des secteurs d'activité (mines, marine...) ont échappé aux réformes de 1993 sur l'allongement de la durée d'activité puis de 2003 concernant l'alignement du public sur le privé. En 1995, Alain Juppé avait échoué après une grave crise sociale. Un premier pas vers la transformation du financement de ces régimes a été accompli dans certaines de ces entreprises contraintes par la réglementation européenne d'adopter de nouvelles normes comptables intégrant la dette sociale. Des négociations ont été engagées soit pour adosser les régimes concernés à la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV), soit pour créer un nouvel organisme. A la RATP, cette modification tarde à intervenir en raison d'un contentieux persistant entre la CNAV et l'Etat, qui rechigne à verser une somme comprise "entre 700 millions et 1,5 milliard d'euros", a déploré la section CFDT de l'entreprise lors d'une conférence de presse, mardi 2 avril... Tout en relativisant la nature des "avantages acquis", le syndicat s'inquiète surtout de la remise en cause de dispositions liées au maintien du pouvoir d'achat des retraités, indexé sur celui des actifs. Des craintes identiques sont apparues à la SNCF où SUD-Rail et l'UNSA s'opposent à la création d'une caisse de prévoyance et de retraite qui devrait gérer la situation de 160 000 actifs, 190 000 retraités et 115 000 veufs ou veuves d'agents. Alors que cette disposition devrait être soumise au conseil d'administration le 11 avril, les six autres organisations syndicales restent prudentes. "Il n'y a pas de réforme, seulement une adaptation à des normes que nous n'avons pas demandée", assure Didier Le Reste. Le secrétaire général de la fédération des cheminots CGT relativise l'engagement de l'Etat dans l'équilibre du régime compensé par l'entreprise. A la SNCF comme à la RATP, on surveille de près l'évolution de la négociation prévue, mardi 3 avril, concernant la compensation de la pénibilité du travail dans le secteur privé. Deux incidences particulières qui justifient, selon les syndicats, les avantages au moment de la retraite, tant à la SNCF qu'à la RATP. Michel Delberghe source: LE MONDE 3 avril Ce qui va etre retenu et divulgué par nos chers dirigeants politiques, ca va etre le rejet de la responsabilité sur les "privilegies" des regimes speciaux en ce qui concerne le faible pouvoir d'achat des retraites du regime general... Preparez vous a essuyer cet argument qui va etre outrageusement diffusé...
antoine Publication: 7 avril 2007 Publication: 7 avril 2007 Pédophilie : les propos de Sarkozy font polémique Le généticien André Langaney voit dans les déclarations du candidat, qui estime qu'"on naît pédophile", une réminiscence de "ce que voulaient faire des gens pendant la deuxième guerre mondiale". Nicolas Sarkozy (AP) Les récents propos de Nicolas Sarkozy sur la pédophilie et le suicide des jeunes ont été jugés "inquiétants" par le candidat de l'UDF François Bayrou, et qualifiés de "surprenants" par un proche de la socialiste Ségolène Royal. En campagne en Corse, le candidat de l'UDF a vivement critiqué les "propos terriblement inquiétants" et "glaçants" de Nicolas Sarkozy, dans un récent entretien avec le philosophe Michel Onfray paru dans Philosophie magazine. Dans cette discussion, le candidat de l'UMP assure "incliner (...) à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions pas gérer cette pathologie". "Il y a 1.200 ou 1.300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable", poursuit par ailleurs Nicolas Sarkozy. "Glaçant" "C'est un propos très grave, ça voudrait dire qu'on n'a aucune chance, que son destin est joué à l'avance. Je ne crois pas qu'il y ait un médecin, un psychiatre en France qui puisse entendre ces propos sans frémir", a déclaré François Bayrou. Pour lui, les propos de Nicolas Sarkozy constituent "un dérapage très lourd de conséquences". "Ce sont des propos qui ne sont plus des propos humanistes, c'est glaçant". "Dire que les adolescents qui se suicident le font parce qu'ils sont nés comme ça, c'est quelque chose qui nous détournerait de notre travail de prévention, de soins", a-t-il ajouté. "Si on voulait pousser, ce sont des propos comme on n'en a pas tenus en Europe depuis très longtemps", a dit le candidat UDF. Réactions au PS De Montauban (Tarn-et-Garonne), où il accompagnait la candidate socialiste Ségolène Royal, son codirecteur de campagne Jean-Louis Bianco a lui qualifié ces propos de "surprenants". "Bien sûr, il appartient à des scientifiques de réagir à ces propos pour le moins surprenants. On a vu d'autres pays remettre en cause les théories de Darwin... Dans ce cas particulier, ce type de propos tend à excuser par avance tous les prédateurs d'enfants", a-t-il estimé. "Je laisse les scientifiques répondre", a pour sa part déclaré Ségolène Royal, interrogée par la presse sur le même sujet. Tri des embryons Le généticien André Langaney a vu dans les déclarations de Nicolas Sarkozy une réminiscence de "ce que voulaient faire des gens pendant la deuxième guerre mondiale". "Il y a des scientifiques d'extrême droite qui pensent qu'on a tout à la naissance et qu'on ne peut plus rien changer. Si on suit ces gens-là, il faudrait presque faire des tests génétiques à la naissance ou faire un tri des embryons pour éliminer les pédophiles avant qu'ils naissent", a-t-il dit sur France Info. L'ancien ministre de l'Intérieur avait déjà proposé le dépistage précoce des troubles du comportement dans son projet de loi relatif à la prévention de la délinquance. Mais face aux critiques, il avait dû retirer ces dispositions de son projet de loi en juin 2006. (AFP)
assouan Publication: 7 avril 2007 Publication: 7 avril 2007 C'est grave... mais attendons de voir comment cela sera repris dans les medais... J'avais entendu il y a à peine quelque mois Janny le Pen sur France Inter qui parlait de son amour des animaux, le journaliste lui demande alors : - donc votre manteau de fourrure là ??? - oh non c'est du faux !!!! C'est du lapin... Je pensais que tout le monde allait en parler partout (le lapin n'est pas un vrai animal !!!!) eh bien : ... rien !!!!! Donc, prudence... attendons de voir un peu (hélas)
antoine Publication: 7 avril 2007 Publication: 7 avril 2007 C'est grave... mais attendons de voir comment cela sera repris dans les medais... J'avais entendu il y a à peine quelque mois Janny le Pen sur France Inter qui parlait de son amour des animaux, le journaliste lui demande alors : - donc votre manteau de fourrure là ??? - oh non c'est du faux !!!! C'est du lapin... Je pensais que tout le monde allait en parler partout (le lapin n'est pas un vrai animal !!!!) eh bien : ... rien !!!!! Donc, prudence... attendons de voir un peu (hélas) Janny LE PEN a le QI d'une huitre.
nekro Publication: 13 avril 2007 Publication: 13 avril 2007 Janny LE PEN a le QI d'une huitre. c'est pas parce que les huitres peuvent pas te répondre que t'es obligé de les insulter mdrmdr
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant